…Et je suis en plein dedans…
La TOTALE!
Comment puis-je répondre de ces actes
Quand je sombre en vain dans le trou de l'exubérante noirceur
Qui me chipote les idées et surpasse ma liberté?
Mes pensées se noient dans la pénombre
Elles ne reconnaissent plus le doux sourire de la raison
Elles ne fréquentent plus
Le cyber espace des souvenirs heureux
Depuis le 11 septembre rien ne va plus
Les jeux sont faits
Et moi dans cette totale frayeur…
Je me noie dans l'absence.
Missterre
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Absence
22 décembre 2008 - 01:58
Rêve
17 décembre 2008 - 10:48
Rêve et rêve encore
De cette fleur sacrée
Mi-miel
Mi-sel
Le fruit défendu a le goût inconnu
Des entrailles d'un monde sans bornes
Rêve…
Rêve de tout ce qui est à rêver
Du plus profond du calice de la fleur
N'oublie jamais de désirer
Le bourgeon d'espoir
Tant convoité par les heures qui passent
Et ces sentimentales hécatombes surréelles
Devenues indolentes
Au fil des années
Faut-il bien se cacher pour ne pas sombrer
Dans le noir silence de ses yeux insomniaques?
Rêve et rêve encore…
D'elle
Au goût de ciel
Mi-miel
Mi- sel
De cette fleur sacrée
Mi-miel
Mi-sel
Le fruit défendu a le goût inconnu
Des entrailles d'un monde sans bornes
Rêve…
Rêve de tout ce qui est à rêver
Du plus profond du calice de la fleur
N'oublie jamais de désirer
Le bourgeon d'espoir
Tant convoité par les heures qui passent
Et ces sentimentales hécatombes surréelles
Devenues indolentes
Au fil des années
Faut-il bien se cacher pour ne pas sombrer
Dans le noir silence de ses yeux insomniaques?
Rêve et rêve encore…
D'elle
Au goût de ciel
Mi-miel
Mi- sel
Amère
08 décembre 2008 - 07:51
À l'air libre
Mon corps errant
Sans vie, sans espoir
Cherche désespérément
Le bonheur des mots
Et le chant du soleil
Amère de souvenirs
Je suis sans aucun doute
La flamme de mon propre désir
Le sourire de ma mémoire
Et encore… Et encore… Amère
À l'horizon… qu'une simple ombre
Mon corps errant
Sans vie, sans espoir
Cherche désespérément
Le bonheur des mots
Et le chant du soleil
Amère de souvenirs
Je suis sans aucun doute
La flamme de mon propre désir
Le sourire de ma mémoire
Et encore… Et encore… Amère
À l'horizon… qu'une simple ombre
Savais-tu mon amour
16 janvier 2008 - 03:34
Savais-tu mon amour
Que l’éclat dans tes yeux
Jaillit au fond de moi
Comme un air mélodieux
Que le son de ta voix
Qui résonne à mille lieues
Me fait trembler d’émoi
D’un frisson silencieux
Savais-tu mon amour…
Savais-tu mon amour
Qu’un seul de tes touchers
Achemine en mon cœur
Les plus divins péchés
Que mes lèvres t’attendent
Comme la brise d’été
Que mes chagrins se meurent
En soupirs d’allégresse
Savais-tu mon amour…
Savais-tu mon amour
Qu’il n’y a pas de mots
Pour avouer ce penchant
Que je crie à mi-maux
Que je pleure chaque jour
Quand je ne te vois pas
Que je meurs à mon tour
Comme les autres divas
Savais-tu mon amour…
Que l’éclat dans tes yeux
Jaillit au fond de moi
Comme un air mélodieux
Que le son de ta voix
Qui résonne à mille lieues
Me fait trembler d’émoi
D’un frisson silencieux
Savais-tu mon amour…
Savais-tu mon amour
Qu’un seul de tes touchers
Achemine en mon cœur
Les plus divins péchés
Que mes lèvres t’attendent
Comme la brise d’été
Que mes chagrins se meurent
En soupirs d’allégresse
Savais-tu mon amour…
Savais-tu mon amour
Qu’il n’y a pas de mots
Pour avouer ce penchant
Que je crie à mi-maux
Que je pleure chaque jour
Quand je ne te vois pas
Que je meurs à mon tour
Comme les autres divas
Savais-tu mon amour…
Je voulais te dire
11 janvier 2008 - 02:57
Je voulais te dire
Naïvement…
Mais tu ne sauras jamais…
Tous ces discours à traduire
Je n’exprimerai point
Tu ne peux consentir…
Je boycotte la solitude
Je conteste ton absence
Je proteste l’ignorance
Et l’abstinence des chants joyeux de tes mots…
Fondre en larmes devant des pages vides
Et accéder aux bas fonds de la désespérance…
Tel est mon pitoyable sortilège
Une laborieuse mésaventure
Un chemin si gauchement tracé
Vers les routes de la déchéance
Vers la véhémence des rives du Styx
Je voulais te dire
De ma mélancolique pénombre
La douceur de mes maux…
Mais tu ne sauras jamais
Naïvement…
Mais tu ne sauras jamais…
Tous ces discours à traduire
Je n’exprimerai point
Tu ne peux consentir…
Je boycotte la solitude
Je conteste ton absence
Je proteste l’ignorance
Et l’abstinence des chants joyeux de tes mots…
Fondre en larmes devant des pages vides
Et accéder aux bas fonds de la désespérance…
Tel est mon pitoyable sortilège
Une laborieuse mésaventure
Un chemin si gauchement tracé
Vers les routes de la déchéance
Vers la véhémence des rives du Styx
Je voulais te dire
De ma mélancolique pénombre
La douceur de mes maux…
Mais tu ne sauras jamais