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-Si je n'avais rien a foutre je serais surement heureux.
-La science s'oppose a l'opinion mon petit. Il faut surtout savoir poser des problemes.
-Si je n'avais rien a foutre, je serais surement heureux?
-Maintenant il faut savoir que l'instinct formatif est superieur a l'instinct conservatif. Pose une nouvelle question ou meurt.
-Mais, et mon probleme ?
-Ton probleme doit se contredire. Et surtout garde de l'empirique mon pote. Garde toi de la rationalisation mais reste dans le chemin de l'abtraction, la est la cle de ta mutation.
-Vous me voulez donc une cosmologie non theologique?
-Tout a fait, car sinon tu ne serais qu'une tete bien faite pretentieuse. Interroge !
-Le savoir n'est qu'une maniere de poser des questions ?
-Derroge ta gorge.
roselapin
Inscrit(e) : 20 sept. 2007Hors-ligne Dernière activité : sept. 30 2007 02:39
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Publications sur Toute La Poésie
La science moderne.
29 septembre 2007 - 09:31
L'otarie.
28 septembre 2007 - 01:24
BOUM
Je flotte.
J’associe
Les points comme autant
D’ignorances previsibles et orgueilleuses.
Voila; ecrire sans rien savoir.
Et je reviens
Au meme point:
Que j’ignore.
J’ai pourtant parcouru un chemin, du chemin,
Que je ne tracerais pas ici.
De toutes facons, d’autres ont marche a ma place.
Et l’on dit, avec des accents.
Tu flottes.
Tu associes
Les points comme autant
D’ignorances previsibles et orgueilleuses.
Tu reviens
Au meme point:
Que tu ignores.
Tu as pourtant parcouru un chemin, du chemin,
Que tu ne traceras pas ici.
De toutes facons, d’autres ont marche a ta place.
Et l’on dit, avec des accents.
Tu m’associes pourtant,
Et je n’aurais pas la pretention
De vouloir te faire taire.
Je flotte.
J’associe
Les points comme autant
D’ignorances previsibles et orgueilleuses.
Voila; ecrire sans rien savoir.
Et je reviens
Au meme point:
Que j’ignore.
J’ai pourtant parcouru un chemin, du chemin,
Que je ne tracerais pas ici.
De toutes facons, d’autres ont marche a ma place.
Et l’on dit, avec des accents.
Tu flottes.
Tu associes
Les points comme autant
D’ignorances previsibles et orgueilleuses.
Tu reviens
Au meme point:
Que tu ignores.
Tu as pourtant parcouru un chemin, du chemin,
Que tu ne traceras pas ici.
De toutes facons, d’autres ont marche a ta place.
Et l’on dit, avec des accents.
Tu m’associes pourtant,
Et je n’aurais pas la pretention
De vouloir te faire taire.
Projet martien. An 0.
25 septembre 2007 - 06:44
Mars s’éveille.
Je croyais ne plus exister qu’en souvenir.
Mars s’éveille.
Je croyais dormir dans l’ocre de sa poussière,
Je croyais n’être qu’un de ses paysages ;
Que l’on oublie pas.
Les hommes ne sont plus seuls,
Mars s’éveille,
Et ses montagnes se dressent a nouveau.
«-Pour notre peule voila le renouveau.
-Je l’ai toujours sus.
-Voila que le blé repousse et que la terre se réchauffe.
-Voila que du sol resurgit l’eau. »
Je suis parti du pénitencier jusque dans la campagne. Dans chaque village que je traverse, les foules d’enfants tournent autour de moi et puis repartent dans un rire. Un vieil homme : « Raconte-moi ! ».
Je laisse mes plaies se refermer;
Sous le soleil,
La mer nous a rejoints.
Je croyais ne plus exister qu’en souvenir.
Mars s’éveille.
Je croyais dormir dans l’ocre de sa poussière,
Je croyais n’être qu’un de ses paysages ;
Que l’on oublie pas.
Les hommes ne sont plus seuls,
Mars s’éveille,
Et ses montagnes se dressent a nouveau.
«-Pour notre peule voila le renouveau.
-Je l’ai toujours sus.
-Voila que le blé repousse et que la terre se réchauffe.
-Voila que du sol resurgit l’eau. »
Je suis parti du pénitencier jusque dans la campagne. Dans chaque village que je traverse, les foules d’enfants tournent autour de moi et puis repartent dans un rire. Un vieil homme : « Raconte-moi ! ».
Je laisse mes plaies se refermer;
Sous le soleil,
La mer nous a rejoints.
Un peu de musique.
24 septembre 2007 - 08:06
Projet martien. An 0.
24 septembre 2007 - 06:39
Mars s’éveille.
Je croyais ne plus exister qu’en souvenir.
Mars s’éveille.
Je croyais dormir dans l’ocre de sa poussière,
Je croyais n’être qu’un de ses paysages ;
Que l’on oublie pas.
Les hommes ne sont plus seuls,
Mars s’éveille,
Et ses montagnes se dressent a nouveau.
«-Pour notre peule voila le renouveau.
-Je l’ai toujours sus.
-Voila que le blé repousse et que la terre se réchauffe.
-Voila que du sol resurgit l’eau. »
Je suis parti du pénitencier jusque dans la campagne. Dans chaque village que je traverse, les foules d’enfants tournent autour de moi et puis repartent dans un rire. Un vieil homme : « Raconte-moi ! ».
Je laisse mes plaies se refermer;
Sous le soleil,
La mer nous a rejoints.
Je croyais ne plus exister qu’en souvenir.
Mars s’éveille.
Je croyais dormir dans l’ocre de sa poussière,
Je croyais n’être qu’un de ses paysages ;
Que l’on oublie pas.
Les hommes ne sont plus seuls,
Mars s’éveille,
Et ses montagnes se dressent a nouveau.
«-Pour notre peule voila le renouveau.
-Je l’ai toujours sus.
-Voila que le blé repousse et que la terre se réchauffe.
-Voila que du sol resurgit l’eau. »
Je suis parti du pénitencier jusque dans la campagne. Dans chaque village que je traverse, les foules d’enfants tournent autour de moi et puis repartent dans un rire. Un vieil homme : « Raconte-moi ! ».
Je laisse mes plaies se refermer;
Sous le soleil,
La mer nous a rejoints.
