On dirait finalement...que je ne t'ai pas tant aimé
Tout est comme avant, mais je n'suis plus tien
Et c'est pas important avec qui ce soir
Tu écoutes cette chanson et si tu pleures
Mais des fois tes lettres me manques
Même si nous ne sommes plus
Ecris, écris des fois une ou deux lignes
Ecris, je sais que y'a peu de temps et que tu n'y arriveras pas
Décris moi ces endroits
Ou jamais nous n'irons
Tu es le dernier romantisme au monde
Qui doucement avance et attend le paradis
Tu as juste changé les acteurs
Mais c'est la même pièce, la même intrigue et la même fin
Mais des fois tes lettres me manques
Même si nous ne sommes plus
Ecris, écris des fois une ou deux lignes
Ecris, je sais que y'a peu de temps et que tu n'y arriveras pas
Décris moi ces endroits
Ou jamais nous n'irons
TisseurDeRêves
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Ecris...
13 novembre 2007 - 11:12
La nuit
26 septembre 2007 - 10:18
On l'attend..
Ou..
On en a peur...
Pour moi elle espoir...
Un manteau de reconfort.
Une lettre au passé
24 septembre 2007 - 11:57
Un text que j'ai écrit il y a déjà longtemps, une période de tristesse, de deuil et de douleur. Ce text parle de deux personnes...deux personnes qui ont marqués ma vie.
Lettre au passé
Cette nuit...comme toutes les nuits depuis je n'sais combien de temps déjà ...
Poussés par mes larmes des mots sortent...
Je te les écris...pour que tu saches...pour que tu comprennes...ce que je
ressens...
La rivière avait un pont...
L'invité avait une maison...
Le temps avait de l'importance...
L'amour avait une fin...
Comment vas-tu ma douleur... ?
Que fais tu maintenant ?
Ca fait longtemps...
Et je m'y habitue...
Ma vie...est-ce que tu vis encore... ?
Pour que tu me dises...qui est le fautif...
Et on est triste tout les deux...
Ma vie...est-ce que tu vis encore...?
Ou sont les vieux amis... ?
Est-ce que c'est comme avant ?
Quand nous étions enfants...
Quelqu'un a détruit le pont...
L'invité est parti...
Le temps a perdu son importance...
Seul l'amour a une fin......
Pourquoi...me condamner...a pleurer eternellement...
A me battre contre moi même...
A me retrouver face à moi toutes les nuits...
Incapable de dormir...parfois a errer dans ces rues sans fin...
A chercher tes traces...a chercher tes parfums...chercher ta lueur...
J'en ai coisé tellement...
Elles...toutes...était en noir et blanc...
Elles ne brillaient pas...Elle n'avait pas...
En fait...elles n'étaient pas toi...
Par fois...quand je me retourne...je te vois...
J'ouvre la bouche...pour t'appeler...
Mais tu disparais...Tu pars...je ne sais ou...
Et je continue...jusqu'Ã ce que mes forces me trahissent...
Je ne demande pas bcp...
Juste...juste une petite journée ordinaire...dans tes bras...
Sur tes levres...
Dans tes yeux...
Je vais continuer...a errer...comme un damné...pour l'eternité...
Dans ces memes rues...
A croisé ces memes gens...
Ils s'habitueront a me voir là ...
Ils ne me salueront pas...ils ne me parleront pas...
Ils ne me regarderont pas...
Par peur de devenir comme moi...
Je ne combattrai plus mes peurs...
Je ne secherai plus mes larmes...
Je les laisserai m'enveloper...former une carapace...
M'enfermer dans ce monde noir...dans ce monde qui est le mien...
Dans ce monde ou reigne la douleur...la haine...la souffrance...
L'amour...l'espoir...sont venu combattre dans ce monde...
Je les ai vu partir a cette guerre...tout deux fier...
Mais...je n'les ai jamais vu revenir...
Vaincu par les chevaliers aux noirs destriers...
Ils ont sucombé...
Perdu le combat...
Maintenant leur lueur à jamais s'est éteinte...
Le destin m'a abandonné...
Lui, non plu, ne savait plus que me donner...
Dieu...m'a tourné le dos...
Honte de son enfant noir...honte de son fils détruit...
Honte...du lâche qu'il a créé...
Les anges...après avoir longtemps lutté...
Partent...laissant couler leurs larmes sur mon visage...
Eux aussi m'abandonne...ne sachant plus que faire...
Seuls...haine et souffrance m'accompagne...
S'agrippe a moi...comme pour dire que je suis leurs...
Leurs sourires glacés m'otent tout courage...
A chaque larme versée...elles grandissent en moi...
Prennent de plus en plus d'importance...
J'entends...j'entends des mots qui me blessent...
J'entend...j'entend les rires...
J'entend encore ces coups de feu...
Je vois encore...ce sang couler...souiller mes mains...
Souiller mon coeur...souiller mon âme...
Detruire ma confiance......
Je vois...mes chers...sucombé sous le poid du plomb......
Je n'entend plus les coeurs battre...
Je n'entend que les rires de ces losers...
J'entend des pleures d'enfants...
J'entends...des pleures de femmes...
Ces créatures de dieu...si fragiles et si douce...
Je les entends crier leur peine...
Encore ce soir...je les entends...
J'entends ces démons rire...
J'entend...quelqu'un qui me reconforte...
Puis je ne l'entend plus...
Je le vois alongé près de moi...
Il dort...
Profondemment...
Son visage est doux et paisible...
il souri presque...
Ses vetements...recouvert d'un liquide rougeâtre...
Il dort...Je ne savais pas...à ce moment là ...
que plus jamais il ne se reveillerait...
Je savais pas...que plus jamais je n'pourrai dire ... papa.....
Je savais pas...j'étais petit...mais je m'en souviens...
Encore ce soir...je le vois...
Acoudé à la fenête...
Souriant...me regardant jouer...
Je l'entend parfois la nuit...me raconter ces histoires...
Je n'sais plus ou aller...pour lui dire combien il comptait...
Je n'sais pas ou aller...pour lui dire combien je l'ai aimé...
Combien j'étais desolé d'avoir été un mauvais garçon...
Combien j'étais désolé d'être devenu ce raté...
...
Le tisseur...de ténebres
Lettre au passé
Cette nuit...comme toutes les nuits depuis je n'sais combien de temps déjà ...
Poussés par mes larmes des mots sortent...
Je te les écris...pour que tu saches...pour que tu comprennes...ce que je
ressens...
La rivière avait un pont...
L'invité avait une maison...
Le temps avait de l'importance...
L'amour avait une fin...
Comment vas-tu ma douleur... ?
Que fais tu maintenant ?
Ca fait longtemps...
Et je m'y habitue...
Ma vie...est-ce que tu vis encore... ?
Pour que tu me dises...qui est le fautif...
Et on est triste tout les deux...
Ma vie...est-ce que tu vis encore...?
Ou sont les vieux amis... ?
Est-ce que c'est comme avant ?
Quand nous étions enfants...
Quelqu'un a détruit le pont...
L'invité est parti...
Le temps a perdu son importance...
Seul l'amour a une fin......
Pourquoi...me condamner...a pleurer eternellement...
A me battre contre moi même...
A me retrouver face à moi toutes les nuits...
Incapable de dormir...parfois a errer dans ces rues sans fin...
A chercher tes traces...a chercher tes parfums...chercher ta lueur...
J'en ai coisé tellement...
Elles...toutes...était en noir et blanc...
Elles ne brillaient pas...Elle n'avait pas...
En fait...elles n'étaient pas toi...
Par fois...quand je me retourne...je te vois...
J'ouvre la bouche...pour t'appeler...
Mais tu disparais...Tu pars...je ne sais ou...
Et je continue...jusqu'Ã ce que mes forces me trahissent...
Je ne demande pas bcp...
Juste...juste une petite journée ordinaire...dans tes bras...
Sur tes levres...
Dans tes yeux...
Je vais continuer...a errer...comme un damné...pour l'eternité...
Dans ces memes rues...
A croisé ces memes gens...
Ils s'habitueront a me voir là ...
Ils ne me salueront pas...ils ne me parleront pas...
Ils ne me regarderont pas...
Par peur de devenir comme moi...
Je ne combattrai plus mes peurs...
Je ne secherai plus mes larmes...
Je les laisserai m'enveloper...former une carapace...
M'enfermer dans ce monde noir...dans ce monde qui est le mien...
Dans ce monde ou reigne la douleur...la haine...la souffrance...
L'amour...l'espoir...sont venu combattre dans ce monde...
Je les ai vu partir a cette guerre...tout deux fier...
Mais...je n'les ai jamais vu revenir...
Vaincu par les chevaliers aux noirs destriers...
Ils ont sucombé...
Perdu le combat...
Maintenant leur lueur à jamais s'est éteinte...
Le destin m'a abandonné...
Lui, non plu, ne savait plus que me donner...
Dieu...m'a tourné le dos...
Honte de son enfant noir...honte de son fils détruit...
Honte...du lâche qu'il a créé...
Les anges...après avoir longtemps lutté...
Partent...laissant couler leurs larmes sur mon visage...
Eux aussi m'abandonne...ne sachant plus que faire...
Seuls...haine et souffrance m'accompagne...
S'agrippe a moi...comme pour dire que je suis leurs...
Leurs sourires glacés m'otent tout courage...
A chaque larme versée...elles grandissent en moi...
Prennent de plus en plus d'importance...
J'entends...j'entends des mots qui me blessent...
J'entend...j'entend les rires...
J'entend encore ces coups de feu...
Je vois encore...ce sang couler...souiller mes mains...
Souiller mon coeur...souiller mon âme...
Detruire ma confiance......
Je vois...mes chers...sucombé sous le poid du plomb......
Je n'entend plus les coeurs battre...
Je n'entend que les rires de ces losers...
J'entend des pleures d'enfants...
J'entends...des pleures de femmes...
Ces créatures de dieu...si fragiles et si douce...
Je les entends crier leur peine...
Encore ce soir...je les entends...
J'entends ces démons rire...
J'entend...quelqu'un qui me reconforte...
Puis je ne l'entend plus...
Je le vois alongé près de moi...
Il dort...
Profondemment...
Son visage est doux et paisible...
il souri presque...
Ses vetements...recouvert d'un liquide rougeâtre...
Il dort...Je ne savais pas...à ce moment là ...
que plus jamais il ne se reveillerait...
Je savais pas...que plus jamais je n'pourrai dire ... papa.....
Je savais pas...j'étais petit...mais je m'en souviens...
Encore ce soir...je le vois...
Acoudé à la fenête...
Souriant...me regardant jouer...
Je l'entend parfois la nuit...me raconter ces histoires...
Je n'sais plus ou aller...pour lui dire combien il comptait...
Je n'sais pas ou aller...pour lui dire combien je l'ai aimé...
Combien j'étais desolé d'avoir été un mauvais garçon...
Combien j'étais désolé d'être devenu ce raté...
...
Le tisseur...de ténebres