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Les yeux dans les yeux
Amour, comme un aveu
Ô qu' il fait bleu
Pas encore de désaveu.
Caresses contre caresses
Amour, dans l'allégresse
Déjà moins de détresse
Et tout en finesse.
La main dans la main
Amour, si soudain
Un peu peur du lendemain
Et peut être un peu lointain.
Dos contre dos
Amour, plus dispo
Voilà finit l'adagio
Je repars vers mon ilot.
joss
Inscrit(e) : 28 sept. 2007Hors-ligne Dernière activité : déc. 10 2008 07:09
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05 juil. 2008 - 05:48
Publications sur Toute La Poésie
Amour d'un jour
08 juillet 2008 - 04:29
Nos chemins
04 juillet 2008 - 10:04
Nous nous sommes tendu la main
Ce jour là , tu le sais bien
Nous en avions besoin.
Depuis nous avons croisé nos chemins
Amis.J'aimerai tellement le dire
Les mots se taisent, impossible à écrire
Quand je te vois j'esquisse un sourire
C'est pour mieux cacher mon désir.
Dans le profond de tes yeux noirs
Je ne vois jamais l'espoir
Peut être un peu de désespoir
Et quelques étincelles certain soir.
Mon ami, mon confident, mon destin
A toi je confie mes joies, mes chagrins.
pourtant je dis tout mais tu ne sais rien,
J'espère toujours qu'un jour tu seras mien.
Ce jour là , tu le sais bien
Nous en avions besoin.
Depuis nous avons croisé nos chemins
Amis.J'aimerai tellement le dire
Les mots se taisent, impossible à écrire
Quand je te vois j'esquisse un sourire
C'est pour mieux cacher mon désir.
Dans le profond de tes yeux noirs
Je ne vois jamais l'espoir
Peut être un peu de désespoir
Et quelques étincelles certain soir.
Mon ami, mon confident, mon destin
A toi je confie mes joies, mes chagrins.
pourtant je dis tout mais tu ne sais rien,
J'espère toujours qu'un jour tu seras mien.
l'envie
06 mai 2008 - 08:42
J’ai envie de te dire bonjour
D’un peu d’humour
De t’aimer sans détour
J’ai envie d’amour
J’ai envie d’être ta déesse
D’un peu d’allégresse
De t’aimer sans cesse
J’ai envie de délicatesse
J’ai envie de tes baisers
Un peu framboisé
De t’aimer apprivoisé
J’ai envie d’être bouleversée
J’ai envie d’avoir l’envie
D’un peu alchimie
De t’aimer à l’agonie
J’ai envie de toi mon ami
D’un peu d’humour
De t’aimer sans détour
J’ai envie d’amour
J’ai envie d’être ta déesse
D’un peu d’allégresse
De t’aimer sans cesse
J’ai envie de délicatesse
J’ai envie de tes baisers
Un peu framboisé
De t’aimer apprivoisé
J’ai envie d’être bouleversée
J’ai envie d’avoir l’envie
D’un peu alchimie
De t’aimer à l’agonie
J’ai envie de toi mon ami
jour ou nuit
01 mai 2008 - 08:21
Entre beaucoup de peu et tellement de rien
La vie passe le long du chemin
Entre le jour si tragique
Et la nuit impudique
Gardons dans la vie
Cette grande ligne de folie
Petite souris grise
Est partie sans faire de crise
Mais n'est jamais seule,ni contrariée
Sur la grande route de l'amitié
Entre les cris du silence
Et les mots de l'offense
Le vide des paroles
Laissez la ! Elle rigole
Aujourd'hui Noire
Couleur désespoir
Demain blanc
Oh !!! le beau roman
La vie passe le long du chemin
Entre le jour si tragique
Et la nuit impudique
Gardons dans la vie
Cette grande ligne de folie
Petite souris grise
Est partie sans faire de crise
Mais n'est jamais seule,ni contrariée
Sur la grande route de l'amitié
Entre les cris du silence
Et les mots de l'offense
Le vide des paroles
Laissez la ! Elle rigole
Aujourd'hui Noire
Couleur désespoir
Demain blanc
Oh !!! le beau roman
Désir du matin
27 avril 2008 - 04:45
Le désir du matin
C'est autre chose que la douce lumière du soleil
Qui dans le doux matin la réveille ?
Prise entre ses mains
Il joue les magiciens
Elle s'abandonne dans le velours
Se laisse aller sans détour
Souple et dur à la fois, énorme liane
Qui épouse le tronc qu'elle gagne
Elle suit et amorce une caresse
Qui la conduit vers Ses faiblesses ?
Sa bouche prend la Sienne
Et elle se fait reine
Mélange de saveurs
De sens et d'odeurs
Son ventre contre le sien
Amour sans détour de ses seins
Forcé en elle, elle sent au creux de ses reins
Ce grand désir dont il est le gardien
C'est autre chose que la douce lumière du soleil
Qui dans le doux matin la réveille ?
Prise entre ses mains
Il joue les magiciens
Elle s'abandonne dans le velours
Se laisse aller sans détour
Souple et dur à la fois, énorme liane
Qui épouse le tronc qu'elle gagne
Elle suit et amorce une caresse
Qui la conduit vers Ses faiblesses ?
Sa bouche prend la Sienne
Et elle se fait reine
Mélange de saveurs
De sens et d'odeurs
Son ventre contre le sien
Amour sans détour de ses seins
Forcé en elle, elle sent au creux de ses reins
Ce grand désir dont il est le gardien
