Sur ta macula
K-nnay
Il est un monde, Il est un monde
Une place, un univers
Une enceinte ronde, Une enceinte ronde
Et blanche où arrive la lumière !
L'image inonde, L'image inonde
Embrase tes sphères oculaires
Une nuit immonde, Une nuit immonde
Lorsque se baissent tes paupières !
En ce saint siège, En ce saint siège,
Jetant la foudre et des éclairs
Bouchon de liége, Bouchon de liége,
Je me vois coller, la tête a l'envers !
En ce saint siège, En ce saint siège,
Jetant la foudre et des éclairs
Il n'y a pas de piège, Il n'y a pas de piège,
Juste une paroi plus fragile que le verre !
Ca me rassure de me savoir sur ta macula
Plus de blessure, que du bien être sur ce
Matelas !
Ca me rassure de me sentir sur ta macula
Plus d'aventure, sais pas pourquoi, moi, suis bien la !
De l'extérieur, de l'extérieur,
Tant de merveilles se voient éclairées !
A l'intérieur, a l'intérieur,
Je ne regrette pas de pouvoir y plonger !
En Mi mineur, en Mi mineur,
La profondeur de ton regard bleuté !
En Do majeur, en Do majeur,
Toute la douceur d'être ainsi regardé !
C'est un régal, c'est un régal,
Quand tes deux billes veulent me brûler !
Tout est normal, tout est normal,
Il suffit d'un rien, plus besoin de parler !
C'est un régal, c'est un régal,
Quand tes deux billes veulent m'irradier !
Tu es géniale, tu es géniale,
Avec tes yeux, tu peux me soigner !
Ca me rassure de me savoir sur ta macula
Plus de blessure, que du bien être sur ce
Matelas !
Ca me rassure de me sentir sur ta macula
Plus d'aventure, sais pas pourquoi, moi, suis bien la !
PONT
Ca me rassure de me savoir sur ta macula
Plus de blessure, que du bien être sur ce
Matelas !
Ca me rassure de me sentir sur ta macula
Plus d'aventure, sais pas pourquoi, moi, suis bien la !
Qui a pensé ? Qui a pensé,
Qu'un seul regard pouvait me bouleverser ?
J'avais pourtant, j'avais pourtant,
Tout verrouillé, pour raison garder !
Qui a pensé ? Qui a pensé,
Qu'autant de place tu pouvais occuper ?
Qui penserait ? Qui penserait,
Qu'en un instant, je m'enflammerais !
On dit souvent, on dit souvent,
Que le regard est de l'âme le reflet,
Des a présent, des a présent,
Je sais pourquoi pour toi je suis tombé !
On dit souvent, on dit souvent,
Que le regard est de l'âme le reflet,
J'y ai vu dedans, j'y ai vu dedans,
La paix, l'amour, et tout ce qui me manquait !
Ca me rassure de me savoir sur ta macula
Plus de blessure, que du bien être sur ce
Matelas !
Ca me rassure de me sentir sur ta macula
Plus d'aventure, sais pas pourquoi, moi, suis bien la !
Ca me rassure de me savoir sur ta macula
Plus de blessure, que du bien être sur ce
Matelas !
Ca me rassure de me sentir sur ta macula
Plus d'aventure, sais pas pourquoi, moi, suis bien la !
K-nnay
Inscrit(e) : 02 oct. 2007Hors-ligne Dernière activité : oct. 09 2007 05:27
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Sur ta macula
03 octobre 2007 - 03:55
Te donner des ailes
03 octobre 2007 - 03:51
Te donner des ailes
k-nnay
Je rêve de te donner des ailes
Et virevolter à tes cotes !
Car il est clair que tu es celle,
Celle avec qui tout est parfait !
Je rêve de te donner des ailes
Sans même crainte de te voir filer,
Te rendre heureuse belle demoiselle
Fait que dans mes bras, tu viens danser !
Pré Chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Je rêve de te donner des ailes
Et vers l'amour te voir aller !
Caresser tes plumes, et sans zèle,
De ma plume écrire pour t'éclairer !
Je rêve de te donner des ailes
Allez ma belle, il faut t'envoler !
Quitter le sol, ce jeu de marelle,
T'entendre rire, me récompenser !
Pré chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Chorus
C'est a force de s'emprisonner
Que les sentiments sont émoussés !
Sait-on jamais, si on s'aimait en liberté !!!
Dessous l'écorce, du bois libéré,
Les charpentes sont faites et bien posées !
Sait-on jamais, si on vivait en liberté !!!
Et si ce soir je te donnais des ailes
Juste pour le fun, juste pour jouer,
Pour faire la course dans les ruelles
Donner au vent des coups de pied !
Et si ce soir je te donnais des ailes
Juste pour une fois, pour essayer,
Pour te montrer Emmanuelle
Que l'on peut aimer en liberté !
Pré chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Et si ce soir je te donnais des ailes
Je pourrais alors t'accompagner !
Saisir ta main, Emmanuelle
Tel un manège te faire tourner !
Et si ce soir je te donnais des ailes
Ce n'est sûrement pas pour t'attacher !
Ca serait plutôt belle demoiselle
Un petit cadeau pour te charmer !
Pré chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Chorus
C'est a force de s'emprisonner
Que les sentiments sont émoussés !
Sait-on jamais, si on s'aimait en liberté !!!
Dessous l'écorce, du bois libéré,
Les charpentes sont faites et bien posées !
Sait-on jamais, si on vivait en liberté !!!
C'est a force de s'emprisonner
Que les sentiments sont émoussés !
Sait-on jamais, si on s'aimait en liberté !!!
Dessous l'écorce, du bois libéré,
Les charpentes sont faites et bien posées !
Sait-on jamais, si on vivait en liberté !!!
k-nnay
Je rêve de te donner des ailes
Et virevolter à tes cotes !
Car il est clair que tu es celle,
Celle avec qui tout est parfait !
Je rêve de te donner des ailes
Sans même crainte de te voir filer,
Te rendre heureuse belle demoiselle
Fait que dans mes bras, tu viens danser !
Pré Chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Je rêve de te donner des ailes
Et vers l'amour te voir aller !
Caresser tes plumes, et sans zèle,
De ma plume écrire pour t'éclairer !
Je rêve de te donner des ailes
Allez ma belle, il faut t'envoler !
Quitter le sol, ce jeu de marelle,
T'entendre rire, me récompenser !
Pré chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Chorus
C'est a force de s'emprisonner
Que les sentiments sont émoussés !
Sait-on jamais, si on s'aimait en liberté !!!
Dessous l'écorce, du bois libéré,
Les charpentes sont faites et bien posées !
Sait-on jamais, si on vivait en liberté !!!
Et si ce soir je te donnais des ailes
Juste pour le fun, juste pour jouer,
Pour faire la course dans les ruelles
Donner au vent des coups de pied !
Et si ce soir je te donnais des ailes
Juste pour une fois, pour essayer,
Pour te montrer Emmanuelle
Que l'on peut aimer en liberté !
Pré chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Et si ce soir je te donnais des ailes
Je pourrais alors t'accompagner !
Saisir ta main, Emmanuelle
Tel un manège te faire tourner !
Et si ce soir je te donnais des ailes
Ce n'est sûrement pas pour t'attacher !
Ca serait plutôt belle demoiselle
Un petit cadeau pour te charmer !
Pré chorus
A-t-on besoin de s'entraver
Par peur de se quitter ?
Sait-on jamais, si on s'aimait
En liberté !!!
Chorus
C'est a force de s'emprisonner
Que les sentiments sont émoussés !
Sait-on jamais, si on s'aimait en liberté !!!
Dessous l'écorce, du bois libéré,
Les charpentes sont faites et bien posées !
Sait-on jamais, si on vivait en liberté !!!
C'est a force de s'emprisonner
Que les sentiments sont émoussés !
Sait-on jamais, si on s'aimait en liberté !!!
Dessous l'écorce, du bois libéré,
Les charpentes sont faites et bien posées !
Sait-on jamais, si on vivait en liberté !!!
Me dire au revoir
02 octobre 2007 - 12:34
me dire au revoir !
J'ai eu la chance, un jour
De la connaître, de l'accompagner,
De pouvoir recevoir tout l'amour
Qu'une femme pouvait donner !
Nous avions la vie pour nous, et tout autour,
Les oiseaux, les anges, que de légèreté !
Et même une vie c'est court
Quand de cette manière nous nous sommes aimes !
Nous ne faisions pas de beaux discours,
Entre nous, ce n'était pas compliqué !
J'étais son fou, elle était ma tour,
Il n'y avait que deux pièces sur cet échiquier !
Mais autant la chance se savoure
Et il est rare de la rencontrer !
Que le malheur est aveugle et sourd
Il ne fait cas des gens, des peines qu'il a semé !
Nous étions bien, ensemble,
Nous vivions une belle histoire
Rien que d'y penser, tout mon être en tremble !
Elle n'a pas pu me dire au revoir !
Nous parlions d'enfants, ensemble,
Mais nous ne pouvions pas prévoir
Que les jours se suivent et ne se ressemblent,
Qu'elle n'aurait pas le temps de me dire au revoir !
Par malchance, c'était un mauvais jour
En prenant la route pour me retrouver,
Elle n'a pas vu l'entrée de ce foutu détour
C'est sur le bitume que sa route s'est achevée !
Rien pu faire, même pas appeler au secours,
Dans cet amas de taule elle a cessé de briller !
Rien pu faire, et même faisant parti des secours,
De cet amas de taule, seul gisait son corps inanimé !
Depuis ce moment ou, elle est partie pour toujours
Le chagrin, la peine, accablant, avaient gelé
Mon cœur, de la sorte endurcit pour un trop long séjour !
Seul, a continuer car la vie et la mort avaient un marche !
Il y eu des cris des clameurs dans tous les alentours,
Les oiseaux et les anges ne savaient plus que pleurer !
Il y eu des cris des clameurs dans tous les alentours,
Les oiseaux et les anges, pour moi se sont tus à jamais !
Nous étions bien, ensemble,
Nous vivions une belle histoire
Rien que d'y penser, tout mon être en tremble !
Elle n'a pas pu me dire au revoir !
Nous parlions d'enfants, ensemble,
Mais nous ne pouvions pas prévoir
Que les jours se suivent et ne se ressemblent,
Qu'elle n'aurait pas le temps de me dire au revoir !
Nous étions bien, ensemble,
Nous vivions une belle histoire
Rien que d'y penser, tout mon être en tremble !
Elle n'a pas pu me dire au revoir !
Nous parlions d'enfants, ensemble,
Mais nous ne pouvions pas prévoir
Que les jours se suivent et ne se ressemblent,
Qu'elle n'aurait pas le temps de me dire au revoir !
K-nnay
J'ai eu la chance, un jour
De la connaître, de l'accompagner,
De pouvoir recevoir tout l'amour
Qu'une femme pouvait donner !
Nous avions la vie pour nous, et tout autour,
Les oiseaux, les anges, que de légèreté !
Et même une vie c'est court
Quand de cette manière nous nous sommes aimes !
Nous ne faisions pas de beaux discours,
Entre nous, ce n'était pas compliqué !
J'étais son fou, elle était ma tour,
Il n'y avait que deux pièces sur cet échiquier !
Mais autant la chance se savoure
Et il est rare de la rencontrer !
Que le malheur est aveugle et sourd
Il ne fait cas des gens, des peines qu'il a semé !
Nous étions bien, ensemble,
Nous vivions une belle histoire
Rien que d'y penser, tout mon être en tremble !
Elle n'a pas pu me dire au revoir !
Nous parlions d'enfants, ensemble,
Mais nous ne pouvions pas prévoir
Que les jours se suivent et ne se ressemblent,
Qu'elle n'aurait pas le temps de me dire au revoir !
Par malchance, c'était un mauvais jour
En prenant la route pour me retrouver,
Elle n'a pas vu l'entrée de ce foutu détour
C'est sur le bitume que sa route s'est achevée !
Rien pu faire, même pas appeler au secours,
Dans cet amas de taule elle a cessé de briller !
Rien pu faire, et même faisant parti des secours,
De cet amas de taule, seul gisait son corps inanimé !
Depuis ce moment ou, elle est partie pour toujours
Le chagrin, la peine, accablant, avaient gelé
Mon cœur, de la sorte endurcit pour un trop long séjour !
Seul, a continuer car la vie et la mort avaient un marche !
Il y eu des cris des clameurs dans tous les alentours,
Les oiseaux et les anges ne savaient plus que pleurer !
Il y eu des cris des clameurs dans tous les alentours,
Les oiseaux et les anges, pour moi se sont tus à jamais !
Nous étions bien, ensemble,
Nous vivions une belle histoire
Rien que d'y penser, tout mon être en tremble !
Elle n'a pas pu me dire au revoir !
Nous parlions d'enfants, ensemble,
Mais nous ne pouvions pas prévoir
Que les jours se suivent et ne se ressemblent,
Qu'elle n'aurait pas le temps de me dire au revoir !
Nous étions bien, ensemble,
Nous vivions une belle histoire
Rien que d'y penser, tout mon être en tremble !
Elle n'a pas pu me dire au revoir !
Nous parlions d'enfants, ensemble,
Mais nous ne pouvions pas prévoir
Que les jours se suivent et ne se ressemblent,
Qu'elle n'aurait pas le temps de me dire au revoir !
K-nnay