Il y va de ces destins formidables qui se heurtent aux vents
Qui s'exilent loin de tout les instants
Prenant à pleines mains, terres, brindilles et épines
Pour en forger les rêves, les désirs de l'atropine
Il y va de ces chemins de montagnes
A fleur de peau arrachée à l'aubépine
Mêlant au sang le parfum de cocagne
Un battement de coeur, le chant de la résine
Il y va de ces visions d'enfances
Où grandit par les discours discourtois
Nous nous égarons privé de défense
Où il faut retrouvé à travers le doute, la foi.
Il y va de ma vie, et de mon coeur,
Il y va de ma raison et de mon savoir
Il y va de mon œuvre et de mes sourires
Que de réapprendre à vivre...
TUPI
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Cheminement
01 septembre 2009 - 11:44
Mes musiques
06 juillet 2009 - 10:59
Rock dans la peau, Rock à fleur
Au bout de l'esprit, Délestable pensée
Que de respirer enfin; Délectable rêve
Que désirer fusionner, Detestable cri
De l'être aimé enfermé au cachot de ses craintes
Chanter seul en accord mineur, lampe au front
Plume au bec, Déchirement des serres,
Metal au fond du cerveau qui vibre
Au tocsin, au glas, au carillon de coeur vombrissant
Metal au fond de la peau qui aimante
Le désir de liberté, la liberté de désirer
Etre l'être l'aimé, Aimer l'aimé être
Gagner le comble de l'égoïsme
Se forger son âme à l'idéal beauté
Progressif en multi strates
Serre ma tête en étau
Martelle mes ailes, atteindre les étoiles
Rebondir en trombe, chemin de la goutte
Au sein des saints des océans de ma paix
Gagner ma paix, gagner ma guerre
Mon existence est ton existence.
Classique dans un gant de velour
Les runes cachent le sens de mes symboles
Je me dévoile dans la forme et le paraître
Enigme de charme en révérences
Je m'enroule dans le sens de ta pensée
Te transforme et te fais mienne
Ma beauté au dévoilé caché.
Jazz de ma vie, Kandinsky de ma forme
A contretemps de ce qui désire
Est, je n'en finis plus, Dieu est instant
Je suis l'instant, me forme en un plural
Plus râle que le drame, plus râle que ma comédie
Ma tragédie est belle, le blues est dans mes yeux
Votre comédie est belle, le rythme dans la peau.
Au bout de l'esprit, Délestable pensée
Que de respirer enfin; Délectable rêve
Que désirer fusionner, Detestable cri
De l'être aimé enfermé au cachot de ses craintes
Chanter seul en accord mineur, lampe au front
Plume au bec, Déchirement des serres,
Metal au fond du cerveau qui vibre
Au tocsin, au glas, au carillon de coeur vombrissant
Metal au fond de la peau qui aimante
Le désir de liberté, la liberté de désirer
Etre l'être l'aimé, Aimer l'aimé être
Gagner le comble de l'égoïsme
Se forger son âme à l'idéal beauté
Progressif en multi strates
Serre ma tête en étau
Martelle mes ailes, atteindre les étoiles
Rebondir en trombe, chemin de la goutte
Au sein des saints des océans de ma paix
Gagner ma paix, gagner ma guerre
Mon existence est ton existence.
Classique dans un gant de velour
Les runes cachent le sens de mes symboles
Je me dévoile dans la forme et le paraître
Enigme de charme en révérences
Je m'enroule dans le sens de ta pensée
Te transforme et te fais mienne
Ma beauté au dévoilé caché.
Jazz de ma vie, Kandinsky de ma forme
A contretemps de ce qui désire
Est, je n'en finis plus, Dieu est instant
Je suis l'instant, me forme en un plural
Plus râle que le drame, plus râle que ma comédie
Ma tragédie est belle, le blues est dans mes yeux
Votre comédie est belle, le rythme dans la peau.
Participe présent
05 février 2009 - 01:35
Une larme éclatée en tintinabulations célestes
S'effaçait de la grande ourse pédestre.
Se promenaient les sens, toujours plus à l'est
Diffusant la sauvage écume rupestre
En un cyclone sécrétant les secrets exaltants.
Au désert des instants, l'incertitude du présent,
Irradiait mes pleurs, mes peurs, mes serments.
Comme au matin, s'éteint le jour,
Un poing se lève, sans gloire aucune
Délivrant la belle, énigmant les runes
Invoquant le grand monde sourd.
Un hymne à la lyre heptacorde
Déambulait d'étoile en soleil, en chorde
Décrochant la lune aux instants perdus
Allégeant le ciel de la beauté des rues
Vomissant la rage, l'amour, le Tout,
Hurlant les pleurs des sourires des loups.
Brutalisant mon âme empêtré de graves
Je réveillais mon regard figé dans la lave
Découvrant aux suppliciées rêves envieux
L'irréversible ascendance de l'être amoureux
L'invention de nouveaux rivages, visages
Des temps retrouvés, oubliés des sages.
S'effaçait de la grande ourse pédestre.
Se promenaient les sens, toujours plus à l'est
Diffusant la sauvage écume rupestre
En un cyclone sécrétant les secrets exaltants.
Au désert des instants, l'incertitude du présent,
Irradiait mes pleurs, mes peurs, mes serments.
Comme au matin, s'éteint le jour,
Un poing se lève, sans gloire aucune
Délivrant la belle, énigmant les runes
Invoquant le grand monde sourd.
Un hymne à la lyre heptacorde
Déambulait d'étoile en soleil, en chorde
Décrochant la lune aux instants perdus
Allégeant le ciel de la beauté des rues
Vomissant la rage, l'amour, le Tout,
Hurlant les pleurs des sourires des loups.
Brutalisant mon âme empêtré de graves
Je réveillais mon regard figé dans la lave
Découvrant aux suppliciées rêves envieux
L'irréversible ascendance de l'être amoureux
L'invention de nouveaux rivages, visages
Des temps retrouvés, oubliés des sages.
le temps
12 janvier 2009 - 02:56
Il se disait, le temps n’existe plus
Une douleur immortelle, immobile
Dans une douceur si facile
Que l’étourdi tourbillonne en pluie
Il se disait, n’existe plus que le temps
Effacement d’un renouveau d’une naissance
Détachement des fruits de la fleur
De la feuille de mes pensées rances
Il se disait, rien n’est le temps sans rien
Au paradis des sens s’exaltaient le chemin
Comme une fleur exhale le parfum
Comme un cabot devenu chien.
Il se disait, le temps n’est rien sans rien
A l’insouciante majesté du paraître
S’ignorait l’incongrue force de l’hêtre
S’entrouvrait le rêve d’un lien
Il se disait, rien n’est rien sans le temps
Une chute immobile du devenir pensant
Penchant vers les sommets du désir
L’apothéose de la beauté d’un rire.
Une douleur immortelle, immobile
Dans une douceur si facile
Que l’étourdi tourbillonne en pluie
Il se disait, n’existe plus que le temps
Effacement d’un renouveau d’une naissance
Détachement des fruits de la fleur
De la feuille de mes pensées rances
Il se disait, rien n’est le temps sans rien
Au paradis des sens s’exaltaient le chemin
Comme une fleur exhale le parfum
Comme un cabot devenu chien.
Il se disait, le temps n’est rien sans rien
A l’insouciante majesté du paraître
S’ignorait l’incongrue force de l’hêtre
S’entrouvrait le rêve d’un lien
Il se disait, rien n’est rien sans le temps
Une chute immobile du devenir pensant
Penchant vers les sommets du désir
L’apothéose de la beauté d’un rire.
chute
28 mai 2008 - 03:28
Au loin, un roulement de tambour tremblait à l'horizon
Sous la chaleur d'un soleil désertique, l'eau en illusion
Au près, un tambourinement d'une roue perçait les murs
Sous le froid d'une ombre en drapeau, l'amour qui susurre
Que nous étions heureux dans le présent et dans nos rêves
Que notre passé nous a hanté, à empeché qu'on se lève...
Alors je me suis envolé, tu es partie avec notre petit paradis
Il avait été tellement beau, une fontaine sur le bord des lèvres
Un arbre nous couvrant par ses larges feuilles de toutes les pluies
De l'herbe douce en folie, voilà de quoi il faut que je me sèvre
Au loin le présent du bonheur est devenu le passé froid
De l'ombre de la dune, poussière des pierres de contruction
Au près, le passé qui toune les douces douceurs en frictions
Sous la chaleur d'un soleil de pluie, un paysage qui déçoit
Alors tu t'es envolée, je suis parti avec notre petit paradis
Il y avait eu des étoiles et des fleurs qui toutes filaient
A travers les champs et les cieux, elles nous confortaient
Le sourire en chaque geste, les mains pleines de vie
Que faire alors du découragement qui tombe sur nos gueules
Comme un coup de vent ouvre au néant ce qu'il y a de veul
Comme un coup de porte qui fracasse l'espoir et l'intuition
Comme un coup du contrecoups qui devient vaine séduction
Me relever, te relever, nous relever et marcher vers l'or
Regarder dans la même direction, redevenir un seul corps
Sous la chaleur d'un soleil désertique, l'eau en illusion
Au près, un tambourinement d'une roue perçait les murs
Sous le froid d'une ombre en drapeau, l'amour qui susurre
Que nous étions heureux dans le présent et dans nos rêves
Que notre passé nous a hanté, à empeché qu'on se lève...
Alors je me suis envolé, tu es partie avec notre petit paradis
Il avait été tellement beau, une fontaine sur le bord des lèvres
Un arbre nous couvrant par ses larges feuilles de toutes les pluies
De l'herbe douce en folie, voilà de quoi il faut que je me sèvre
Au loin le présent du bonheur est devenu le passé froid
De l'ombre de la dune, poussière des pierres de contruction
Au près, le passé qui toune les douces douceurs en frictions
Sous la chaleur d'un soleil de pluie, un paysage qui déçoit
Alors tu t'es envolée, je suis parti avec notre petit paradis
Il y avait eu des étoiles et des fleurs qui toutes filaient
A travers les champs et les cieux, elles nous confortaient
Le sourire en chaque geste, les mains pleines de vie
Que faire alors du découragement qui tombe sur nos gueules
Comme un coup de vent ouvre au néant ce qu'il y a de veul
Comme un coup de porte qui fracasse l'espoir et l'intuition
Comme un coup du contrecoups qui devient vaine séduction
Me relever, te relever, nous relever et marcher vers l'or
Regarder dans la même direction, redevenir un seul corps