La fièvre envahissante,alourdissant le corps
le visage défaits par de puissants efforts
quelques cris étouffés de larmes agonisante
douleur et joie mêlées pénètrent le silence.
Frémissante,impudique,souffrant elle se tortille
son corps là ,abandonne,puis se recroqueville
dans un élan soudain,avant la délivrance
arrachant à la nuit,le fruit de la naissance.
choupinette
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Naissance
17 octobre 2007 - 05:49
Pensée
15 octobre 2007 - 01:40
Peut être est-elle lÃ
la douce voie de l'espérence,
dans le mutisme de ces voix
que balbutie mon ignorance.
Peut être est-elle lÃ
la douce voix de mon enfance,
qui tracassée par de multiples voies
sourit au monde en se voilant la face.
Peut être est-elle lÃ
la force de ma vie,qui
galvaudée de ci,de lÃ
chaque jours un peu plus me vieillis.
la douce voie de l'espérence,
dans le mutisme de ces voix
que balbutie mon ignorance.
Peut être est-elle lÃ
la douce voix de mon enfance,
qui tracassée par de multiples voies
sourit au monde en se voilant la face.
Peut être est-elle lÃ
la force de ma vie,qui
galvaudée de ci,de lÃ
chaque jours un peu plus me vieillis.
Coup de foudre
14 octobre 2007 - 09:45
Ils se tenaient sur la grand place,au milieu des buveurs qui titubaient,
accolés l'un à l'autre,face à face,on aurait dit qu'ils allaient se mettre à danser.
L'orchestre qui faisait vibrer l'espace,ne les faisait même pas bouger,
il restaient là ,figés,paralysés,de glaçe et plus rien autour d'eux n'avait l'air d'exister.
La musique était belle et la vie aussi
et dans cet air de fête,où leur amour naquit,
la nuit cachée par sa robe d'étoiles,
auréolée par la lune aussi,
observait ce couple tranquille,inerte qui s'élevait dans la galaxie.
Pourtant dans le hâle de l'été,et les vapeurs de bières,
des danseurs déchainés par des musiques rebelle,
dasaient tout excités,se ruaient vers la scène,
emportant avec eux les couples qui dansaient.
Mais ce couple enlacé,ignorant la déchaîne,
se fixait sans bouger en se baisant les lèvres,
le regard immobile accroché à un rêve,
résistant sans combattre à la foule qui poussait.
Ils se tenaient sur la grand place,au milieu des buveurs qui décuvaient,
accolés l'un à l'autre,face à face,on aurait dit qu'ils allaient s'envoler.
L'orchestre qui déjà vidait l'estrade,ne les faisait même pas bouger,
ils étaient là ,figés sur cette place,
et plus rien autour d'eux n'avait eue l'air d'exister...
accolés l'un à l'autre,face à face,on aurait dit qu'ils allaient se mettre à danser.
L'orchestre qui faisait vibrer l'espace,ne les faisait même pas bouger,
il restaient là ,figés,paralysés,de glaçe et plus rien autour d'eux n'avait l'air d'exister.
La musique était belle et la vie aussi
et dans cet air de fête,où leur amour naquit,
la nuit cachée par sa robe d'étoiles,
auréolée par la lune aussi,
observait ce couple tranquille,inerte qui s'élevait dans la galaxie.
Pourtant dans le hâle de l'été,et les vapeurs de bières,
des danseurs déchainés par des musiques rebelle,
dasaient tout excités,se ruaient vers la scène,
emportant avec eux les couples qui dansaient.
Mais ce couple enlacé,ignorant la déchaîne,
se fixait sans bouger en se baisant les lèvres,
le regard immobile accroché à un rêve,
résistant sans combattre à la foule qui poussait.
Ils se tenaient sur la grand place,au milieu des buveurs qui décuvaient,
accolés l'un à l'autre,face à face,on aurait dit qu'ils allaient s'envoler.
L'orchestre qui déjà vidait l'estrade,ne les faisait même pas bouger,
ils étaient là ,figés sur cette place,
et plus rien autour d'eux n'avait eue l'air d'exister...
Mot à maux
07 octobre 2007 - 01:24
Accrochée à ce monde par d'infinies tristesses,
je regarde ces ombres qui passent devant moi.
Et je ne parle plus,de rien, sans la sagesse,
que mon âme à acquise,tissée au fil du temps.
Je vois ces braves gens qu'on chasse de leur terre,
fuyant et sans savoir ce que sera demain.
Ils partent de chez eux,derrière c'est la guerre,
ils partent malheureux en nous tendant la main.
Mais notre terre encore,encore soit-elle à nous,
ne laisse pas de place,en serions nous jaloux?
A tous ces innocents qui vivent de misère,
parce que dans le silence,nous avons laissés taire.
Prier,c'est bien facile ne demandant que peu d'efforts,
la pitié nous rassure cachant de faux élans,
l'action dans le vocable voilant nos propres torts,
la peur peut-être,encore,la peur finalement.
A bien raison de nous,car tous elle nous condamne,
tout en fermant la bouche,silence plein d'abus,
a voir un jour, peut-être,tous ces maux que l'on blâme,
s'évaporer dans l'indulgence et dans l'urgence d'un salut.
je regarde ces ombres qui passent devant moi.
Et je ne parle plus,de rien, sans la sagesse,
que mon âme à acquise,tissée au fil du temps.
Je vois ces braves gens qu'on chasse de leur terre,
fuyant et sans savoir ce que sera demain.
Ils partent de chez eux,derrière c'est la guerre,
ils partent malheureux en nous tendant la main.
Mais notre terre encore,encore soit-elle à nous,
ne laisse pas de place,en serions nous jaloux?
A tous ces innocents qui vivent de misère,
parce que dans le silence,nous avons laissés taire.
Prier,c'est bien facile ne demandant que peu d'efforts,
la pitié nous rassure cachant de faux élans,
l'action dans le vocable voilant nos propres torts,
la peur peut-être,encore,la peur finalement.
A bien raison de nous,car tous elle nous condamne,
tout en fermant la bouche,silence plein d'abus,
a voir un jour, peut-être,tous ces maux que l'on blâme,
s'évaporer dans l'indulgence et dans l'urgence d'un salut.
sans titre
06 octobre 2007 - 09:51
Perle d'eaux troubles à jaillit de mon coeur,
Faisant renaître en moi,de vieux amours passés.
Depuis mon âme traîne dans l'infini fraîcheur,
De tout ces rêves bleus qui ce sont éffacés.
Et mon coeur n'a de cesse,de battre sous tes yeux,
De s'emballer du reste,de ton regard figé.
Mais mon sourire tendre,qui reste silncieux,
A peur de tes sourires qui se fondent en baisers.
Ton corps frappe mon âme à grand coup de ciel bleu,
De son déhenchement si frêle,qui me fait perdre pied.
Ma peau qui te désire,me rend le coeur joyeux,
Ma passion qui chavire,dans un amour qui naît.
Et mon regard te cherche,partout où tu n'est pas,
Ca fait nouer des tresses à mon coeur maheureux.
Mais mon amour pour toi,lui seul guide mes pas,
Tisse un grand arc en ciel,sous un ciel langoureux...
Faisant renaître en moi,de vieux amours passés.
Depuis mon âme traîne dans l'infini fraîcheur,
De tout ces rêves bleus qui ce sont éffacés.
Et mon coeur n'a de cesse,de battre sous tes yeux,
De s'emballer du reste,de ton regard figé.
Mais mon sourire tendre,qui reste silncieux,
A peur de tes sourires qui se fondent en baisers.
Ton corps frappe mon âme à grand coup de ciel bleu,
De son déhenchement si frêle,qui me fait perdre pied.
Ma peau qui te désire,me rend le coeur joyeux,
Ma passion qui chavire,dans un amour qui naît.
Et mon regard te cherche,partout où tu n'est pas,
Ca fait nouer des tresses à mon coeur maheureux.
Mais mon amour pour toi,lui seul guide mes pas,
Tisse un grand arc en ciel,sous un ciel langoureux...