Ni rouge ni vert, juste clair ! Mais vous semblez ne voir que ce que vous avez envie de de voir!!
Enfin....
Non, encore une chose... après avoir lu vos "poèmes" j'ai décidé de clore le sujet!!
l_homme_au_carnet_bleu
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Messages que j'ai posté
Dans la publication : Exorde
14 octobre 2007 - 09:51
Dans la publication : Exorde
13 octobre 2007 - 05:04
Bonjour !
Je constate, cher monsieur, que nous ne partageons pas le même point de vue. Croyez-moi, cela me réjouit. Sachez, encore, que je ne m’entêtais pas en vous répondant. Je voulais simplement vous expliquer mon point de vue. Vous l’avez mal compris ou peut-être mal pris en confondant explication et entêtement à moins que vous vous cramponniez à me prouver que vous aviez raison et considériez toute explication comme entêtement.
Quant à mes « chapitres », je les préfère ainsi, plutôt que de paraphraser d’autres poèmes, voire d’autres chansons. Je refuse que mes chapitres, comme vous le dites, sentent « le déjà vu ».
La poésie est une affaire personnelle, un rythme personnel, un rêve solitaire bien le message soit collectif. Si les autres suivent, c’est tant mieux, sinon c’est encore tant mieux. Imaginez qu’on ait suivi cette tyrannie de l’unilatéral sclérosant, il n’y aurait eu ni Villon, ni Du Bellay, ni Hugo, ni Verlaine ou Rimbaud, il n’y aurait jamais eu un St-Jean Perse, un René Char, un Aimé Césaire ou un Breton, et Reggiani n’aurait chanté que des lais ou des rondeaux et encore !!! mais jamais une belle chanson comme « Il suffirait de presque rien » par exemple, Bonne écoute !
Je constate, cher monsieur, que nous ne partageons pas le même point de vue. Croyez-moi, cela me réjouit. Sachez, encore, que je ne m’entêtais pas en vous répondant. Je voulais simplement vous expliquer mon point de vue. Vous l’avez mal compris ou peut-être mal pris en confondant explication et entêtement à moins que vous vous cramponniez à me prouver que vous aviez raison et considériez toute explication comme entêtement.
Quant à mes « chapitres », je les préfère ainsi, plutôt que de paraphraser d’autres poèmes, voire d’autres chansons. Je refuse que mes chapitres, comme vous le dites, sentent « le déjà vu ».
La poésie est une affaire personnelle, un rythme personnel, un rêve solitaire bien le message soit collectif. Si les autres suivent, c’est tant mieux, sinon c’est encore tant mieux. Imaginez qu’on ait suivi cette tyrannie de l’unilatéral sclérosant, il n’y aurait eu ni Villon, ni Du Bellay, ni Hugo, ni Verlaine ou Rimbaud, il n’y aurait jamais eu un St-Jean Perse, un René Char, un Aimé Césaire ou un Breton, et Reggiani n’aurait chanté que des lais ou des rondeaux et encore !!! mais jamais une belle chanson comme « Il suffirait de presque rien » par exemple, Bonne écoute !
Dans la publication : Exorde
12 octobre 2007 - 09:11
Cet adverbe "Ce peut-être" qui vous dérange, remplacez-le par le substantif "doute" vous décoderez la phrase.
Comme je l'ai déjà signalé, je n'entends rien à cette écriture devenue quotidienne et banale où les métaphores sont tellement usées qu'elles se sont muées en clichés et où les mots rappellent d'autres mots et les images d'autres images.. comme si les poètes de ce jour, ne sont que les échos ternes des temps lumineux. Je voudrais une écriture qui ne soit pas conforme à la norme. Je la voudrais autre. Je comprends que cela choque. A dire vrai, cela ne m'affolle pas car ce n'est pas la première fois que cela arrive. A chacun son rythme, à chacun son vertige et à chacun son verbe. Je respecte vos goûts.
Comme je l'ai déjà signalé, je n'entends rien à cette écriture devenue quotidienne et banale où les métaphores sont tellement usées qu'elles se sont muées en clichés et où les mots rappellent d'autres mots et les images d'autres images.. comme si les poètes de ce jour, ne sont que les échos ternes des temps lumineux. Je voudrais une écriture qui ne soit pas conforme à la norme. Je la voudrais autre. Je comprends que cela choque. A dire vrai, cela ne m'affolle pas car ce n'est pas la première fois que cela arrive. A chacun son rythme, à chacun son vertige et à chacun son verbe. Je respecte vos goûts.
Dans la publication : L'ATTENTE
11 octobre 2007 - 11:13
J'aime ces mots gris écris en bleu si ciel!!!
Douce douleur, je sais toi et connais tes émois
Douce douleur, je sais toi et connais tes émois
Dans la publication : Exorde
11 octobre 2007 - 10:55
Le bonsoir le monde !!
Ce poème "Exorde" est un extrait d'un recueil intitulé "Autrement". Dans ce recueil, je voulais écrire "autrement" au risque d'offusquer la bonne grammaire et de glisser certains termes de leur classe grammaticle vers une autre, (Tel est le cas des adverbes qui deviennent des substantifs). Je pense ainsi, donner à ces mots une autre dimention, un autre sens, une vie nouvelle avec un statu nouveau.
L'encombrement des adjectifs est voulu. Il est vrai que des fois il semble alourdir la phrase surtout en l'absence d'une ponctuation claire. Cependant, cela vise surtout à essoufler le lecteur inattentif et à le pousser à relire afin de découvrir le sens profond de l'image. La phrase simple ne pousse pas le lecteur à réécrire le poème. Moi, je lui ferme les portes et c'est à lui de découvrir et de s'arrêter là où bon lui semble.Ainsi, il participera à "l'édification du Poème" aussi bien au niveau du rythme enivrant et vertigineux, qu'au niveau du sens qui fera de la lecture du poème une lecture cérébrale.
Merci encore et toujours pour votre intérêt qui m'honore et me fait l'âme très en bleu ciel.
Ce poème "Exorde" est un extrait d'un recueil intitulé "Autrement". Dans ce recueil, je voulais écrire "autrement" au risque d'offusquer la bonne grammaire et de glisser certains termes de leur classe grammaticle vers une autre, (Tel est le cas des adverbes qui deviennent des substantifs). Je pense ainsi, donner à ces mots une autre dimention, un autre sens, une vie nouvelle avec un statu nouveau.
L'encombrement des adjectifs est voulu. Il est vrai que des fois il semble alourdir la phrase surtout en l'absence d'une ponctuation claire. Cependant, cela vise surtout à essoufler le lecteur inattentif et à le pousser à relire afin de découvrir le sens profond de l'image. La phrase simple ne pousse pas le lecteur à réécrire le poème. Moi, je lui ferme les portes et c'est à lui de découvrir et de s'arrêter là où bon lui semble.Ainsi, il participera à "l'édification du Poème" aussi bien au niveau du rythme enivrant et vertigineux, qu'au niveau du sens qui fera de la lecture du poème une lecture cérébrale.
Merci encore et toujours pour votre intérêt qui m'honore et me fait l'âme très en bleu ciel.