J'ai perdu la raison, tu en es la cause
Mon amour et ma passion, sur toi se reposent
Mon coeur cesse de battre depuis que tu m'as quitté
Ce n'était certes un mal de t'aimer.
Chez toi il reste plus rien que haine et mépris
Tu as aucune raison de mettre ma tête à prix
Je me résigne hélas à vivre dans l'anxiété
Malheureux toute ma vie, car mes jours sont comptés.
Pour quelqu'un d'autre certes, cet amour fleurit
C'est peut-être incertain, ma pensée le déduit
Déjà ses jours heureux m'ont rendu malheureux
Je n'empêcherais point tes moments impétueux.
Sa joie fera sans doute ma tristesse éternelle
Je cacherai mes regards à cet ennemi mortel
Stimulant son succès pour augmenter ma peine
Et bannir à jamais mes victoires lointaines.
J'ai connu des nuits sombres et des journées amères
Ta légèreté d'esprit, tes amours mensongères
Ton allure de grande femme ton comportement sournois
N'apporte rien d'autre que le désarroi.
Le désespoir sans doute mettra fin à ma vie
Ce calice d'absinthe me coupe l'appétit
Ton amour pour moi n'est autre que rancœur
C'est ainsi quand on aime la fille de l'imposteur.
Maurice Oreste
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Publications sur Toute La Poésie
Désespoir
28 novembre 2007 - 05:00
Reviens
27 novembre 2007 - 03:06
Perds-toi au creux de mes bras
Sans rancœur ni regrets
Pour reprendre ta place
Dans ce coeur qui palpite
Au moindre signe de joie
Causé par un je t'aime.
Reviens à moi ma belle
Comme cet oiseau blessé
Qui revient dans son nid
Ou cette brebis égarée
Après tant de tourments
Qui revient au bercail.
Mon coeur devient vide
Comme un ciel sans étoile
Des petits mots d'amour
Feront bien son bonheur,
Mais il n'y a que toi
Qui puisses y mettre la joie.
Certes, le mal de toi
Ne fait point d'heureux
Vivre sans ton amour
Apporte du chagrin,
Un coeur qui souffre
Est un coeur qui saigne.
Un sourire élégant,
Un amour sans fin
Seraient tout ce qu'il faut
Pour calmer la douleur,
L'angoisse et la tristesse
Dans ce coeur meurtri.
Reviens à moi trésor
L'amour doit triompher
Pour combler ce néant
Laissé après toi,
Viens panser ce coeur
Que tu as brisé.
Le charme de ton sourire
Ce qui me manque le plus
La douceur de tes yeux
Symbole de tendresse…
La sveltesse de ton corps
Fait rêver en plein jour.
Mes yeux sont un fleuve
Qui prend sa source
Dans ton absence...
Viens chérie, viens amour
Viens sauver le coeur
Que tu as immolé.
Sans rancœur ni regrets
Pour reprendre ta place
Dans ce coeur qui palpite
Au moindre signe de joie
Causé par un je t'aime.
Reviens à moi ma belle
Comme cet oiseau blessé
Qui revient dans son nid
Ou cette brebis égarée
Après tant de tourments
Qui revient au bercail.
Mon coeur devient vide
Comme un ciel sans étoile
Des petits mots d'amour
Feront bien son bonheur,
Mais il n'y a que toi
Qui puisses y mettre la joie.
Certes, le mal de toi
Ne fait point d'heureux
Vivre sans ton amour
Apporte du chagrin,
Un coeur qui souffre
Est un coeur qui saigne.
Un sourire élégant,
Un amour sans fin
Seraient tout ce qu'il faut
Pour calmer la douleur,
L'angoisse et la tristesse
Dans ce coeur meurtri.
Reviens à moi trésor
L'amour doit triompher
Pour combler ce néant
Laissé après toi,
Viens panser ce coeur
Que tu as brisé.
Le charme de ton sourire
Ce qui me manque le plus
La douceur de tes yeux
Symbole de tendresse…
La sveltesse de ton corps
Fait rêver en plein jour.
Mes yeux sont un fleuve
Qui prend sa source
Dans ton absence...
Viens chérie, viens amour
Viens sauver le coeur
Que tu as immolé.
Confessions
22 novembre 2007 - 06:14
Je viens à toi Seigneur,
Maître de l'univers,
Créateur du ciel
Dieu de la terre
Te demander pardon
De mes iniquités
Car je suis convaincu
De t'avoir offensé.
J'ai péché contre toi
J'ai péché contre le ciel
Pourtant dans ton royaume
Coulent du lait et du miel
C'est la vie infinie,
C'est l'éternité
Mais pas la récompense
Des âmes damnées.
J'ai été tenté par des désirs ardents,
Comme toi-même fus une nuit
Tenté par Satan
Faible d'esprit et de peu de foi,
J'abandonne la vraie vie
Avec toutes ses lois.
Tu m'avais bien donné
Le moyen de choisir,
J'ai dû prendre malgré tout
La route du plaisir
Qui va à l'encontre
Des règlements divins,
J'ai eu tort d'ignorer
Ton pouvoir souverain.
Je regrette, Seigneur
De t'avoir offensé
Tu es infiniment bon
Je cherche ta pitié,
Ne tourne pas grand Dieu
Ta face contre moi
Prends-moi dans ta demeure
Augmente ma foi.
J'accorde trop d'importance
Aux plaisirs de la chair,
Ma vie est tissée
De serments, de colère
Du sein de ma mère
Je ne cesse de pécher,
Je refuse d'appliquer
Tes paroles sacrées.
J'aimerais bien être
Du nombre des élus,
Que dois-je faire, Seigneur
Pour avoir le salut
Que tu as préparé
Pour ceux qui te craignent,
Ceux qui jurent de vivre
Et mourir sous ton règne.
J'ai eu le privilège
D'apprendre les commandements
Qui régissent les lois
De ton gouvernement,
Données à Moïse
Sur le mont Sinaï:
La seule condition
De voir le paradis.
Tu m'avais bien créé
Pour être ton dérivé,
J'ai été corrompu
Par cette société
Qui exige trop de moi,
Sans pouvoir rien m'offrir
Dissipant les vertus
Ne faisant que honnir.
Epargnes-moi Seigneur
Du feu de l'enfer
Ne me laisse pas boire
Cette coupe amère
Je suis prêt à offrir
Ma vie en sacrifice
Pour trouver le chemin
De la conversion.
Je me mets à genoux,
Ma face contre terre
Mes larmes me mouillent,
Ecoutes ma prière;
Préserve-moi Seigneur
Du sort de l'aversion,
Ne me condamne pas
Donne-moi l'absolution.
Maître de l'univers,
Créateur du ciel
Dieu de la terre
Te demander pardon
De mes iniquités
Car je suis convaincu
De t'avoir offensé.
J'ai péché contre toi
J'ai péché contre le ciel
Pourtant dans ton royaume
Coulent du lait et du miel
C'est la vie infinie,
C'est l'éternité
Mais pas la récompense
Des âmes damnées.
J'ai été tenté par des désirs ardents,
Comme toi-même fus une nuit
Tenté par Satan
Faible d'esprit et de peu de foi,
J'abandonne la vraie vie
Avec toutes ses lois.
Tu m'avais bien donné
Le moyen de choisir,
J'ai dû prendre malgré tout
La route du plaisir
Qui va à l'encontre
Des règlements divins,
J'ai eu tort d'ignorer
Ton pouvoir souverain.
Je regrette, Seigneur
De t'avoir offensé
Tu es infiniment bon
Je cherche ta pitié,
Ne tourne pas grand Dieu
Ta face contre moi
Prends-moi dans ta demeure
Augmente ma foi.
J'accorde trop d'importance
Aux plaisirs de la chair,
Ma vie est tissée
De serments, de colère
Du sein de ma mère
Je ne cesse de pécher,
Je refuse d'appliquer
Tes paroles sacrées.
J'aimerais bien être
Du nombre des élus,
Que dois-je faire, Seigneur
Pour avoir le salut
Que tu as préparé
Pour ceux qui te craignent,
Ceux qui jurent de vivre
Et mourir sous ton règne.
J'ai eu le privilège
D'apprendre les commandements
Qui régissent les lois
De ton gouvernement,
Données à Moïse
Sur le mont Sinaï:
La seule condition
De voir le paradis.
Tu m'avais bien créé
Pour être ton dérivé,
J'ai été corrompu
Par cette société
Qui exige trop de moi,
Sans pouvoir rien m'offrir
Dissipant les vertus
Ne faisant que honnir.
Epargnes-moi Seigneur
Du feu de l'enfer
Ne me laisse pas boire
Cette coupe amère
Je suis prêt à offrir
Ma vie en sacrifice
Pour trouver le chemin
De la conversion.
Je me mets à genoux,
Ma face contre terre
Mes larmes me mouillent,
Ecoutes ma prière;
Préserve-moi Seigneur
Du sort de l'aversion,
Ne me condamne pas
Donne-moi l'absolution.
Confessions
22 novembre 2007 - 06:12
Amour incertain
21 novembre 2007 - 02:30
Pensées amères, nuits lamentables
Des douleurs atroces épousent ce cœur,
Victime de désirs ardents et cruels,
Battu par des amours mensongères
Elle fait mille incartades.
Candide, âme magnanime
Chevillée à son corps de vingt ans
Elle chante, chante au vent,
Aux étoiles et au firmament ;
Une chanson aux mots doux et sublimes.
C’est la chanson d’amour
Qui nous brûle les cœurs
Séchant nos larmes et pleurs
Et nous apporte le bonheur
Que nous cueillons chaque jour.
Derrière ses petits sourires fragiles,
Nous éprouvons des plaisirs agréables.
Quand clignotant ses yeux…
Rien de pareille, mais sa beauté,
Son corps, c’est plus que parfait.
Devant elle un cœur brisé ;
Immolé par de folles amours,
Les promesses fallacieuses
Laissent les peines de l’amour
Mordre sur son petit cœur .
Soudain un autre coup de cœur,
Une belle auto mais la tête creuse
Elle s’est livrée corps et âme,
Aux dérèglements de toutes sortes
Qui l’emportent vers la fatalité…
Des douleurs atroces épousent ce cœur,
Victime de désirs ardents et cruels,
Battu par des amours mensongères
Elle fait mille incartades.
Candide, âme magnanime
Chevillée à son corps de vingt ans
Elle chante, chante au vent,
Aux étoiles et au firmament ;
Une chanson aux mots doux et sublimes.
C’est la chanson d’amour
Qui nous brûle les cœurs
Séchant nos larmes et pleurs
Et nous apporte le bonheur
Que nous cueillons chaque jour.
Derrière ses petits sourires fragiles,
Nous éprouvons des plaisirs agréables.
Quand clignotant ses yeux…
Rien de pareille, mais sa beauté,
Son corps, c’est plus que parfait.
Devant elle un cœur brisé ;
Immolé par de folles amours,
Les promesses fallacieuses
Laissent les peines de l’amour
Mordre sur son petit cœur .
Soudain un autre coup de cœur,
Une belle auto mais la tête creuse
Elle s’est livrée corps et âme,
Aux dérèglements de toutes sortes
Qui l’emportent vers la fatalité…