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Nacrey

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Publications sur Toute La Poésie

De cette douleur qui m'assaille

24 juin 2008 - 09:18


De cette douleur qui m'assaille

De cette douleur qui m'assaille que de bon en sortira !
Quand elle me prend sous son joug et qu'elle rentre
Toutes griffes ouvertes dans ma chair endolorie
Que mon cri de souffrance sort de la profondeur
De ma gorge pour implorer ma délivrance.

Pourquoi en ferais-je ma compagne, mon amie,
Mon alliée, pourquoi ? Parce que autour de moi
L'on me dit forte et que je peux encaisser. Les chocs
Et bien non ! Je n'accepte pas de la subir! Là où la
Médecine humaine s'arrête quel choix me reste t-il ?


L'acceptation de cet état! Par ce que les gens me
Serinent les oreilles par des « tu es capables,
tu es forte » Me vêtir de cette cotte de mailles qui
m’assujetti petit à petit à une douleur chronique.
Et parvient à me faire perdre toute identité!


Non, non et non. Écoute, Père ma voix qui s'élève jusqu'à
Toi. Cette blessure que je me suis infligée consciemment
où inconsciemment fut mon pédagogue il m'a enseigné
la mansuétude pour ceux qui souffrent. Néanmoins délivre
m'en je Te promets de ne plus juger mon prochain.

Délivre-moi ! Père Tu Le Peux. Par cette affliction
J'ai compris ... Je te crie mon désarrois parce que je suis
Humain et que ma chaire me fait tant souffrir...J'aurai
Voulu être plus, forte mais je me rencontre que je suis faible.
Et tout au fond de moi je n'en ai pas honte.


Parce que comme l'enfant qui a mal et appelle son père pour le réconforter , celui-ci se penche pour le consoler. De même en est-il de moi… ta fille

Ton corps sera ma lyre

01 mai 2008 - 12:29


Ton corps sera ma lyre


Ton corps sera ma lyre, mon chéri
De mon doigt caressant et agissant,
J’en sortirai un bouquet de câlineries
De mon cœur euphorique jaillissant
De mil et une délicatesses nourries
De la grâce d’un amour naissant.

Ton corps sera ma lyre, instrument prêté
Harmonie d’une sensualité divine
Sur lequel mon espoir prémédité
Brisera ta chaine de la cavité de ta ravine
Pour que tu renaisses en toute nécessité
De tes cendres et de ton exutoire avine

Ton corps sera ma lyre
, cœur de mon cœur
Sur lequel tendrement j’y poserai ma bouche
Intiment, elle y jouera de ses accords, en chœur
Sur ton instrument magnifiquement farouche
Où jaillira l’unique accord signé par moi ton cœur
Qui t’aime, comme une nuit étoilée qui se couche.

Ton corps sera ma lyre de tendresse
Où l’artiste en moi posera son écho
Aux odeurs du vent printanier qui se dresse
Pour en faire une symphonie de coquelicots
Comme jamais un homme dans l’amour de l’ivresse
S’est fait aimer par une femme à l’odeur d'abricot



Ce fut toi pour moi,Ce fut moi pour toi.

19 avril 2008 - 09:51



Ce fut toi pour moi,
Ce fut moi pour toi.


Dans le secret des secrets, mon Dieu,
Un jour, écrit sur la feuille blanche, du temps
Que nos pas se croiseraient, aujourd’hui même,
Deux êtres humains, parmi des milliards


Ce fut toi pour moi
Ce fut moi pour toi.


La question suprême, est pourquoi cela,
Dans le secret des secrets, mon Dieu,
Nous le tient caché et confidentiel,
L’épilogue, écrit sur la feuille blanche du temps.



Ce fut toi pour moi
Ce fut moi pour toi.


Nous fait-Il assez confiance,
Pour que nous nous ouvrons nos cœurs,
En toute confiance à l’autre,
Pour que la flamme, ne consume pas, nos souffles.[/color]

Folie, mais combien délectable .

19 avril 2008 - 11:43

Folie,
Cet attachement, mais combien délectable
Blanche
Et si pure en nos cœurs amoureux
Alors,
Qu'attendons-nous pour que ce moment devienne
Éternel,
Amour entre deux êtres qui s'aiment
Comment,
Pourrait-il en être autrement de ce sentiment
Résonnant,
Palpitant, aux endroits les plus secrets
Interactions
De l’alchimie,
De deux corps qui se veulent
Sérénade,
D'une femme courtisée à l'automne de sa vie.

Quand tu ne me vois pas. Ne me cherche pas!

25 mars 2008 - 11:42

Je te tire ma révérence de docilité.


Quand tu ne me vois pas. Ne me cherche pas!

Ne me pose pas de question, Jai besoin d’air et non de trépas
Pour exister, le comprends-tu! Toi qui dis
M’aimer, j’ai besoin d’une overdose de paradis
D’oxygène, d’espace, et de tranquillité.

Quand tu ne me vois pas. Ne me cherche pas!

Calamité est ton nom, pour que tu sois mon geôlier à chaque pas!
Tu sais pertinemment que je suis tout près de toi
Ne perçois-tu pas mon amour les dégâts collatéraux , chez-toi?
De ton manque de sécurité, conduite notre couple à l’altérabilité.
Quand tu ne me vois pas. Ne me cherche pas!

Plus tu me poursuis plus je fais des faux-pas
Je me sens mal, je me sens séquestrée dans ma maison
Tu appelles cela de l’amour mon amour et moi je l’appelle, poison
J’ai beau te le notifier tu restes froid à ma condition de vulnérabilité.

Quand tu ne me vois pas. Ne me cherche pas!

Le chemin que tu poursuis et un chemin semé de larmes, pas sympa
De dérision, de désarroi et de tristesse sans fin de lassitude.
Mais tu t’en fous. Je me sens violée plus d’une fois par ton attitude,
Nombriliste de ton Moi, aujourd’hui, je suis capable sans culpabilité,

Tirer ma révérence de docilité.