La pluie
Elle frémit. Dehors l'orage blondit la nuit d'une chevelure d'angoisse. (...)
Essai avorté...de dernière publication.
Chop Suey
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À propos de moi
Pour information, il n'y aura plus de ma part de publication sur ce site de nouveaux textes. Les textes figurant encore sur ce site ne sauraient être utilisés dans un recueil de TLP, je ne l'autorise pas.
"Il y a des choses sur les gens que tu ne pourrais jamais deviner.
Il y a toujours chez quelqu'un quelque chose que tu ne sauras jamais.
Parfois je me dis qu'on est prisonniers des parties les plus obscures de nous-mêmes."
Well Matthew Mc Intosh
Puisse toute chose habituelle vous inquiéter.
B. Brecht
Cinq minutes avec la pluie qui tombe sur un toit parisien, toi et moi en train de nous promener dans le jardin du Luxembourg, nous dans un tout petit restaurant, nous en train de nourrir les poissons rouges.
Ce n'est pas une liaison. C'est une amitié romantique du plus bel ordre qui ne transgresse pas la loi de la morale.
Laurie Colwin Une épouse presque parfaite
Nous demeurons longtemps, vraiment, dans cette immobilité. Nous sommes au centre de ma chambre, au centre d'un monde.
Nous sommes immobiles et vivants. Nous sommes au plus près du vivant.
Philippe Besson En l'absence des hommes
In the mood of love
http://www.youtube.c...feature=related
http://www.youtube.c...feature=related
Quizas...
http://www.youtube.c...feature=related
Aquellos ojos verdes...
http://www.youtube.c...feature=related
http://www.youtube.c...feature=related
There's only one sun...Parle-moi de la lumière...
http://www.youtube.c...V69zp9YoeI&NR=1
Alesha Dixon
http://www.youtube.c...h?v=Ev44tKZzLSc
http://www.youtube.c...feature=related
http://www.youtube.c...h?v=clY2RAgXpM0
Le Corps, unique lieu de Rêve et de Raison, Asile du désir, de l'image et des sons . (Anna de Noailles)
"C'est par le mouvement qu'on s'approprie sa propre vie. Par la liberté d'aller, de venir, d'avoir des gestes d'amour, de colère, peu importe. Quand on est privé de mouvement comme je le suis, si on veut survivre, il faut ré-inventer le mouvement autrement." Benoît Labaye
"La vie est ce que nous en faisons. Les voyages ce sont les voyageurs eux mêmes. Ce que nous voyons n'est pas ce que nous voyons mais ce que nous sommes.", Fernando Pessoa
"Il y a des choses sur les gens que tu ne pourrais jamais deviner.
Il y a toujours chez quelqu'un quelque chose que tu ne sauras jamais.
Parfois je me dis qu'on est prisonniers des parties les plus obscures de nous-mêmes."
Well Matthew Mc Intosh
Puisse toute chose habituelle vous inquiéter.
B. Brecht
Cinq minutes avec la pluie qui tombe sur un toit parisien, toi et moi en train de nous promener dans le jardin du Luxembourg, nous dans un tout petit restaurant, nous en train de nourrir les poissons rouges.
Ce n'est pas une liaison. C'est une amitié romantique du plus bel ordre qui ne transgresse pas la loi de la morale.
Laurie Colwin Une épouse presque parfaite
Nous demeurons longtemps, vraiment, dans cette immobilité. Nous sommes au centre de ma chambre, au centre d'un monde.
Nous sommes immobiles et vivants. Nous sommes au plus près du vivant.
Philippe Besson En l'absence des hommes
In the mood of love
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Quizas...
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Aquellos ojos verdes...
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There's only one sun...Parle-moi de la lumière...
http://www.youtube.c...V69zp9YoeI&NR=1
Alesha Dixon
http://www.youtube.c...h?v=Ev44tKZzLSc
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http://www.youtube.c...h?v=clY2RAgXpM0
Le Corps, unique lieu de Rêve et de Raison, Asile du désir, de l'image et des sons . (Anna de Noailles)
"C'est par le mouvement qu'on s'approprie sa propre vie. Par la liberté d'aller, de venir, d'avoir des gestes d'amour, de colère, peu importe. Quand on est privé de mouvement comme je le suis, si on veut survivre, il faut ré-inventer le mouvement autrement." Benoît Labaye
"La vie est ce que nous en faisons. Les voyages ce sont les voyageurs eux mêmes. Ce que nous voyons n'est pas ce que nous voyons mais ce que nous sommes.", Fernando Pessoa
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La pluie
23 juillet 2009 - 09:40
Nouvelles
21 juillet 2009 - 03:58
Spécial nouvelles
Connaissez-vous la chute au commencement?

Péter Nádas
"Naturellement. Si je ne tenais pas la dernière image, voire la dernière phrase, je ne pourrais vraisemblablement pas commencer à écrire. Le promeneur de Combray connaît son itinéraire, mais ignore ce qui peut lui advenir en chemin.»
Kirsty Gunn
"Je ne connais jamais la fin quand je débute l'écriture d'une nouvelle.»
Adam Haslett
"Je sais dans quelle direction je veux aller, et parfois dans quel état émotionnel final je souhaite que les personnages et le lecteur se retrouvent à la fin de l'histoire, mais ça ne suffit pas à dicter ou à suggérer comment l'intrigue à proprement parler va se résoudre. Cela survient pendant le processus d'écriture de l'histoire.»
Fabrice Pataut
"Oui. Comme Dieu dans la Bible, qui sait bien avant le premier des sept jours que la Chute avec un grand C ne pourra qu'avoir lieu. Quant à moi, je travaille à l'envers. Depuis la chute avec un petit c, qui peut tenir en une phrase ou même un mot, vers le début.»
David Gates
"Quand je me mets au travail, je ne connais absolument jamais la fin. Le milieu non plus, d'ailleurs. Je n'ai guère plus, au départ, que ma scène d'ouverture. Mais je crois avoir en moi déjà une esquisse de l'intrigue. A mon avis, une histoire a toujours besoin de moments cruciaux dans la vie des personnages, en particulier pour un roman, qui a besoin de nombreux événements, péripéties, ou actions. Vous pouvez écrire une nouvelle avec beaucoup moins de rebondissements.»
Jean Vautrin
"On n'est jamais obligé d'imaginer une fin fermée, on peut faire un arrêt sur image. Mais il faut qu'il y ait une tension et, à partir de là , on peut finir sur un point d'interrogation.»
Dominique Barbéris
"Non, pour les quelques textes que j'ai écrits. J'ai simplement une idée assez nette du dessin. Mais c'est pour moi une pratique nouvelle.»
Elizabeth Crane
"Je connais parfois la chute, mais, la plupart du temps, je n'en ai pas la moindre idée. C'est d'abord le plaisir de l'écriture qui me guide.»
Véronique Bizot
"Je ne connais jamais la fin, ni même le milieu, quand j'entame un récit. Le plus souvent je pars d'un lieu dans lequel surgissent des personnages dont je ne sais pas d'où ils viennent ni qui ils sont et je continue comme ça jusqu'au blocage. Là , j'admets qu'il faut bien réfléchir un peu à une trajectoire et donc à une fin. Quand je ne trouve pas de fin, soit je m'aperçois que la nouvelle peut s'arrêter là , soit je l'abandonne. Je ne peux, ou ne sais, rien planifier.»
William Boyd
"Oui, mais c'est également le cas avec mes romans. Mais, à certains égards, je crois que la nouvelle - parce que vous avez seulement quinze ou vingt pages (ou deux ou sept) - doit être plus réfléchie, planifiée, structurée. L'espace que vous avez dans un roman vous permet de faire des détours, des digressions - vous ne pouvez pas vraiment faire ça dans une nouvelle.»
Eric Holder
"Je ne suis pas un partisan de la chute dans la nouvelle.»
Hélène Lenoir
"Jamais.»
Connaissez-vous la chute au commencement?

Péter Nádas
"Naturellement. Si je ne tenais pas la dernière image, voire la dernière phrase, je ne pourrais vraisemblablement pas commencer à écrire. Le promeneur de Combray connaît son itinéraire, mais ignore ce qui peut lui advenir en chemin.»
Kirsty Gunn
"Je ne connais jamais la fin quand je débute l'écriture d'une nouvelle.»
Adam Haslett
"Je sais dans quelle direction je veux aller, et parfois dans quel état émotionnel final je souhaite que les personnages et le lecteur se retrouvent à la fin de l'histoire, mais ça ne suffit pas à dicter ou à suggérer comment l'intrigue à proprement parler va se résoudre. Cela survient pendant le processus d'écriture de l'histoire.»
Fabrice Pataut
"Oui. Comme Dieu dans la Bible, qui sait bien avant le premier des sept jours que la Chute avec un grand C ne pourra qu'avoir lieu. Quant à moi, je travaille à l'envers. Depuis la chute avec un petit c, qui peut tenir en une phrase ou même un mot, vers le début.»
David Gates
"Quand je me mets au travail, je ne connais absolument jamais la fin. Le milieu non plus, d'ailleurs. Je n'ai guère plus, au départ, que ma scène d'ouverture. Mais je crois avoir en moi déjà une esquisse de l'intrigue. A mon avis, une histoire a toujours besoin de moments cruciaux dans la vie des personnages, en particulier pour un roman, qui a besoin de nombreux événements, péripéties, ou actions. Vous pouvez écrire une nouvelle avec beaucoup moins de rebondissements.»
Jean Vautrin
"On n'est jamais obligé d'imaginer une fin fermée, on peut faire un arrêt sur image. Mais il faut qu'il y ait une tension et, à partir de là , on peut finir sur un point d'interrogation.»
Dominique Barbéris
"Non, pour les quelques textes que j'ai écrits. J'ai simplement une idée assez nette du dessin. Mais c'est pour moi une pratique nouvelle.»
Elizabeth Crane
"Je connais parfois la chute, mais, la plupart du temps, je n'en ai pas la moindre idée. C'est d'abord le plaisir de l'écriture qui me guide.»
Véronique Bizot
"Je ne connais jamais la fin, ni même le milieu, quand j'entame un récit. Le plus souvent je pars d'un lieu dans lequel surgissent des personnages dont je ne sais pas d'où ils viennent ni qui ils sont et je continue comme ça jusqu'au blocage. Là , j'admets qu'il faut bien réfléchir un peu à une trajectoire et donc à une fin. Quand je ne trouve pas de fin, soit je m'aperçois que la nouvelle peut s'arrêter là , soit je l'abandonne. Je ne peux, ou ne sais, rien planifier.»
William Boyd
"Oui, mais c'est également le cas avec mes romans. Mais, à certains égards, je crois que la nouvelle - parce que vous avez seulement quinze ou vingt pages (ou deux ou sept) - doit être plus réfléchie, planifiée, structurée. L'espace que vous avez dans un roman vous permet de faire des détours, des digressions - vous ne pouvez pas vraiment faire ça dans une nouvelle.»
Eric Holder
"Je ne suis pas un partisan de la chute dans la nouvelle.»
Hélène Lenoir
"Jamais.»
Melting pot de musiques et danse orientale moderne
24 janvier 2009 - 08:11
Melting pot de musiques à partager, tous styles.
Musiques métissées, world music, expérimentales, à textes, rnb, dance, hip hop, reggae, etc etc
Eclectiques.
Craig David tout d'abord, musique, look top sexy, sourire craquant, cool à regarder en live même sur petit écran. Just let feel the vibes! Laisse venir les sensations.
http://www.youtube.c...feature=related
http://www.youtube.c...feature=related
Kanye West
le clip génial
Ayo Technology Millow
le clip extra!
The Asteroids Galaxy Tour - Around the Bend
j'adore, sacrée danoise!!!Géniale!et puis les couleurs destroy!
http://www.youtube.c...feature=related
Eclectique...
et puis
Appaloosa
http://profile.myspa...endID=118186029
Musiques métissées, world music, expérimentales, à textes, rnb, dance, hip hop, reggae, etc etc
Eclectiques.
Craig David tout d'abord, musique, look top sexy, sourire craquant, cool à regarder en live même sur petit écran. Just let feel the vibes! Laisse venir les sensations.
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Kanye West
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j'adore, sacrée danoise!!!Géniale!et puis les couleurs destroy!
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Eclectique...
et puis
Appaloosa
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Tambours africains - la terre parle
13 décembre 2008 - 01:21
La terre parle...
Sur les chants des tambours les pas parlent. La terre danse. Les masques s'avancent. Les hommes s'enracinent. La terre est un cri. Ils la dansent. Ils s'abreuvent en elle. Ils boivent sa gorge sèche. Leurs lèvres murmurent un silence. Ils regardent. Leurs visages blancs disent les rituels. La terre est une marche. Les djembés résonnent. La terre tressaille. Elle craquèle. Sous leurs pas. Ils l'absorbent. Ils sont elles. Elle est eux. Ils lèvent leurs bras au ciel. Les masques dansent. La terre s'ouvre. Elle leur parle. Elle ouvre ses veines. Leur sang coule en elle. Son sang coule en eux. Les mains parlent. Elles frappent. La peau. La peau des tambours. Elles dansent. Mains qui se touchent. Corps qui apprennent. Qui s'apprennent. Pulsations. La vie est un rythme. Un rugissement. Les lionnes s'avancent dans les hautes herbes de la savane. Dans la jungle des villes. Sous le sol en béton. A la lumière des gratte-ciels. Sous les pieds. Le bois nu. La terre sèche. Les rides de l'eau. L'eau en eux.
Peintures de couleurs. Danse de la terre. De la vie. De l'amour. Le rythme est puissance. Les masques s'avancent en cadence. Rituels. Sacré. La puissance monte de ses entrailles. Elle les pénètre de sa force. Ils se fondent en elle. Ils récitent ses paroles. En leurs pas. En leurs voix. Voix de tambours. Silence de leurs voix. Cri de leurs pieds. Danse de l'en-dedans. Cris en-dehors. Lorsque dedans et dehors en leurs pieds et leurs mains, en leurs corps se rejoignent. Lorsqu'ils sont elles. Et elle est eux. Leurs ventres résonnent. Comme peaux de tambours. Elles se dansent. Elles dansent leurs mains.
Leurs mains se dansent. Leurs corps s'enlacent. Bleus. Roses. Couleurs. Peintures. Dessins.
Elles dessinent. La vie. La vie est. Une terre. Des pas. Un tambour qui résonne. Une peau qui frémit sous la main. Qui bat le rythme. Puissante vibration…en son centre. En leur centre.
Terres d'Afrique.
Terres de magie.
Terres d'énergie.
Le souffle du djembé. Les pieds en lui ensorcelés…
Les pas envoûtés…
Ils marchent. En elle. En eux. Ils dansent. Ils résonnent.
La terre est un cri. Une musique. Intérieure. Qui jaillit à l'extérieur. Lorsqu'elle se danse.
Dans une ultime transe.
Afrique…
Sur les chants des tambours les pas parlent. La terre danse. Les masques s'avancent. Les hommes s'enracinent. La terre est un cri. Ils la dansent. Ils s'abreuvent en elle. Ils boivent sa gorge sèche. Leurs lèvres murmurent un silence. Ils regardent. Leurs visages blancs disent les rituels. La terre est une marche. Les djembés résonnent. La terre tressaille. Elle craquèle. Sous leurs pas. Ils l'absorbent. Ils sont elles. Elle est eux. Ils lèvent leurs bras au ciel. Les masques dansent. La terre s'ouvre. Elle leur parle. Elle ouvre ses veines. Leur sang coule en elle. Son sang coule en eux. Les mains parlent. Elles frappent. La peau. La peau des tambours. Elles dansent. Mains qui se touchent. Corps qui apprennent. Qui s'apprennent. Pulsations. La vie est un rythme. Un rugissement. Les lionnes s'avancent dans les hautes herbes de la savane. Dans la jungle des villes. Sous le sol en béton. A la lumière des gratte-ciels. Sous les pieds. Le bois nu. La terre sèche. Les rides de l'eau. L'eau en eux.
Peintures de couleurs. Danse de la terre. De la vie. De l'amour. Le rythme est puissance. Les masques s'avancent en cadence. Rituels. Sacré. La puissance monte de ses entrailles. Elle les pénètre de sa force. Ils se fondent en elle. Ils récitent ses paroles. En leurs pas. En leurs voix. Voix de tambours. Silence de leurs voix. Cri de leurs pieds. Danse de l'en-dedans. Cris en-dehors. Lorsque dedans et dehors en leurs pieds et leurs mains, en leurs corps se rejoignent. Lorsqu'ils sont elles. Et elle est eux. Leurs ventres résonnent. Comme peaux de tambours. Elles se dansent. Elles dansent leurs mains.
Leurs mains se dansent. Leurs corps s'enlacent. Bleus. Roses. Couleurs. Peintures. Dessins.
Elles dessinent. La vie. La vie est. Une terre. Des pas. Un tambour qui résonne. Une peau qui frémit sous la main. Qui bat le rythme. Puissante vibration…en son centre. En leur centre.
Terres d'Afrique.
Terres de magie.
Terres d'énergie.
Le souffle du djembé. Les pieds en lui ensorcelés…
Les pas envoûtés…
Ils marchent. En elle. En eux. Ils dansent. Ils résonnent.
La terre est un cri. Une musique. Intérieure. Qui jaillit à l'extérieur. Lorsqu'elle se danse.
Dans une ultime transe.
Afrique…
Scène de cinéma
20 juin 2008 - 09:06
Le ciel bleu coule sur les mâchoires....(...)
"New York Movie, Edward Hopper, 1939"
(musique juste pour le fun, musique d'un soir... pour ce soir...http://www.youtube.c...feature=related )
27/06/08 autre musique...
"New York Movie, Edward Hopper, 1939"
(musique juste pour le fun, musique d'un soir... pour ce soir...http://www.youtube.c...feature=related )
27/06/08 autre musique...