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Cind3r3lla

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Messages que j'ai posté

Dans la publication : SAint Malade (11 février) suite pour Valentin* :)

14 février 2008 - 07:55

succulent!
ça se lit tout seul, ça se dévore et j'en redemande!!
amitiés.

Dans la publication : Amant sans lumière.

14 février 2008 - 01:04


haha oui masochiste sur les bords :P
moi je parlais d'une personne qui m'avait traité de poufiasse sans raison apparente! j'étais donc un peu sur les nerfs ce jour-là ;)
bref !
amitiés.

Dans la publication : Il est deux heures trente cinq du matin alors que ce soir ma jour...

14 février 2008 - 10:48

pourquoi devrais-je être heureux?

ou plutôt pour qui?


Mais avant tout pour toi bordel de merde!
Oops désolée hahaha.
Et puis pour ceux qui t'aiment et qui sont autour de toi, même si de cela tu te moques éperdument.

j'aimerais tant étouffer dans cet oreiller que tu as foulé
des doigts même qui ont transpercé le trou béant de mon coeur


Je sais que tu parles d'elle et non de moi mais si tu veux je peux le faire moi :P

vivre avec la conviction que souffrir me fait exister est il un mal?


Non non non. Beaucoup de gens sont comme ça. Seulement il y a ceux qui ont conscience qu'il existe autre chose et ceux qui se terre dans leur souffrance.


rends moi ton amour que se taisent mes démons à leur tour.


Je ne pense pas que le fait qu'elle te rende son amour fera partir tes démons. Loin de là même.
Conviction quand tu nous tiens ;)

Dans la publication : toi même tu sais

14 février 2008 - 10:41

A attendre désespérément ton retour
j'en oublierais presque que c'est moi qui suis parti...


Et tes mots muets dans l'écho de nos regrets
Me font crier plus fort que tes silences,
Dans les abysses folles de ma déraison
Je suis vivant frivole sans raison,
Tu m'aimeras plus loin que le temps me disais-tu
Tu m'oublie si loin maintenant que ça me tue,
Ce gout de souvenirs je l'ai en moi,
Mon coeur fait battre et mon désespoir creuse.


Sur quel quai,
Sur quel quai dois-je t'attendre maintenant?


Que je longe les rails de mon avenir
Ou celles rouillés de mes souvenirs,
Je ne vois plus que mes pieds,
Trebuchant dans le temps qui passe.


Je suis le cercueil brisé d'un amour que j'ai tué
Fenetre ouverte sur un horizon enterré,
Quelle meilleur punition que se souvenir
Et tout les jours se voir un peu plus partir?


se détacher
sombrer


Pourrais-je me prétendre à nouveau ébeniste de ton corps?
Alors que toi fleuriste de mon coeur
Tu as su faire faner mes plus belles rancoeurs
Et moi seulement arracher nos instants de bonheurs.
Ta main me la donneras-tu encore une fois?
Je vis dans l'espoir que parfois tu penses à moi,
Loin de mes erreurs.


mes erreurs,



oh mon Dieu mes erreurs




j'en pleurs





mon Dieu?





quel dieu?





il n'y a qu'un demon dans cette histoire, c'est l'amour qui me ronge





il n'y a qu'un con dans cette histoire






c'est moi






quand j'y songe.


ImNothing ImNothing ImNothing
" Je ne changerais jamais "
Alala effectivement, et malheureusement, tu ne changeras jamais.
Rien ne sert de resasser le passé et les moindre souvenirs que tu peux avoir. Ils ne t'aideront pas à avancer. Tu t'enfermes dans des idées et c'est bien domage parce que dans le fond, tu le fais pour une mauvaise raison je pense. Courir après ce que l'on a pas/plus c'est facile mais courir après ce que l'on peut avoir l'est moins pas vrai? Elle ne reviendra pas comme ça. Si un jour elle revient, ce sera parce qu'elle pourra de nouveau se dire ton amie sans avoir peur que son bonheur à elle ne se brise. Le jour où tu l'auras accepté et compris, alors peut-être qu'elle reviendra.
Je trouve ta façon d'agir très nulle et ridicule mais après tout ça donne des jolies écrits :P

Dans la publication : Amant sans lumière.

14 février 2008 - 10:31

1er mythe : la guerre !

Les 7 derniers commentaires sur ce post n'ont rien à voir avec le poème.
On y parle d'une guerre qu'il n'y a pas.
On la craint. On la prédit. On la redoute. On la suppute. On l'annonce. On s'en défend à l'avance. Encore un peu, elle manquerait presque…Mais elle n'existe pas.
Bref, on a l'art de se monter le bourrichon.

2è mythe : le comm non étayé !

Quand je dis que, pour moi (et je refais un comm pour insister sur cette restriction), deux vers passent mal, à l'écrit comme à l'oral, il n'y a rien de plus à développer ou à expliquer.

Mais ce n'est pas assez clair. Il faut le redire, ce que je fais bien volontiers :
« toi l'sale amant qui vit sans as ment », je le lis mal, et surtout le l'entends mal. Point.

Pressé d'en dire plus, car ça n'est toujours pas clair (!), je re-re-comm pour dire que j'ai des yeux et des oreilles, et que ce sont les miens. Que dire de plus ? Que j'ai une cervelle ?

Ben non, faut encore « expliquer » !
C'est trop « facile » ! Faut « pouvoir justifier » ! Faut « appuyer » ! (où ça ? là où ça fait mal, sans doute…) Et si on le fait pas, c'est parce qu' « on aime les gueguerres » ! Et voilà le grand mot lâché !

Conclusion :

Si on ne peut pas dire un mot sensé de critique négative (alors qu'on en fait tant de positives par ailleurs)
1) sans qu'il soit incompris
2) sans qu'il ne soit pas toléré
…alors il ne FAUT PAS PUBLIER !

J'irais même jusqu'à ajouter :
Quand il s'agit de poésie, donc de ressenti, d'émotion (et de liberté, mais dans les deux sens), si un ressenti n'était pas argumenté, ça ne me choquerait pas fondamentalement.
L'auteur me livre bien le sien sans donner d'"explications", il n'a pas à "argumenter" ses choix artistiques.
Je revendique, à la limite, la même liberté et le même droit pour le lecteur.

Cette discussion, ce n'est pas le salon de la guerre, hors poésie. Si ?
J'y vois plus comme un salon esthétique, en poésie. Non ?
Mais là encore, ce n'est que mon opinion. Tout comme moi, chacun est libre.

Paname, pacifiste


Oulala j'avais pas lu tout ça.
Bref, j'ai compris Paname ce que ton commentaire voulait dire seulement je voulais savoir si c'était juste les mots qui gênaient, la façon de l'écrire ou autre. Enfin je cherchais la critique plus loin :P
Maintenant personellement je ne parlais pas de toi lorsque je parlais avec l'homme à la fable! Si tu l'as pris pour ton commentaire, en ce qui me concerne, je t'affirme que ce n'était pas la cible.
Amitiés.