Aller au contenu

solitaire

Inscrit(e) : 03 nov. 2007
Hors-ligne Dernière activité : oct. 01 2011 12:09

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Confiante, je m'abandonne

21 août 2009 - 05:12

Mon jardin secret orné
A l'encre bleue vie, ruisselle
D'une once paisible carminée
Dans le courant du ricochet violoncelle.



L'aube mouille les étincelles du coeur
Le bruissement des feuilles rosées
Est une complainte de murmures liqueur
La frondaison espérance glisse avec patience et pérennité.


Emerveillée par cette nature enchanteresse
Je m'abandonne, confiante dans cette symphonie
Accueillant les mystères d'ivresse
Illusion et grâce, beautés infinies.


Amoureuse, les yeux laqués de tendresse
Je me souviens de l'authentique nostalgie
Dans la solitude du bouquet étoilé, je caresse
Le coucher de soleil et le parfum de la mélancolie.



je me suis toujours dit que ta poesie est belle ,continue vers le sommet,solitaire

Dans la publication : SI ...

21 août 2009 - 10:53

Bonsoir Solitaire...

Heureuse de te lire à nouveau....
Ton texte est poignant..
De la douleur dans tes vers...

Et SI .....tu es un homme honnorable et respectable...
Et Si......Tu es Toi..ce "Toi" ..personne ne pourra te le retirer...te l'ôter...te le voler....
Tu es un homme libre en toi...

j'ai beaucoup aimé ce cri du coeur....

Merci pour ce partage fort apprécié...

Mes amitiés
Estelle



Chere estelle,

heureux de me retrouver parmi vous,merci pour tes mots, n'oublie pas que tu ecris bien,

amities,
solitaire

Eh oui, malgré toutes les belles paroles et les grands et beaux principes, il faut tjs s'arranger pour naitre du bon côté de la barrière !
J'aime bcp ton poème.
Merci.
Bonsoir.

PL



Chere ,Patricia

merci de ton com.j'apprecie tes ecrits,continue à nous emerveiller

amities,solitaire

Dans la publication : UNE UTOPIE QUI DISPARAIT A JAMAIS

20 août 2009 - 12:12

Dans mon monde utopique si beau

Tu en faisais partie, tu me complétais

Mon amour pour toi a été freiné au départ

Puis il a grandi et s'est enflammé

Peut-être un peu trop vite, poussé par l'impatience

De mon âme passionné qui brûle avec fougue


Puis en un mot, tout s'est écroulé

Comme après le passage d'un tremblement de terre

Le plus désastreux et sombre de ma jeune vie

Tous mes espoirs se sont volatilisés en une seconde

La puissance dévastatrice des mots que tu as utilisé

Ont fini par achever mon univers paradisiaque


La flamme du poète transporté s'est éteinte

Et il ne reste plus qu'un goût amer de cette histoire

Toi ma muse, tu ne m'offres aujourd'hui que ton amitié

Une amitié que je respecte profondément

Non sans une blessure qui me fait souffrir

Et qui ne guérira sans doute jamais


Mon jardin secret, il n'en reste que des ruines ternes,

Ne se relèvera jamais après cet événement catastrophique

Ma vie devient inutile et sans aucun sens

Mais je ne puis me suicider

Car je t'ai promis une amitié sincère

Et même dans la douleur j'essaierai de survivre


Et voilà, encore une fois un être cher s'envole

En laissant derrière lui un désert aride

Les muses du bonheur se sont évanouies dans le cosmos

La mienne sera maintenant noire et sanguinaire

Celle qui m'accompagnera dans ma descente aux enfers

Une traversé immonde mais qui me protégera d'un nouveau malheur


Je dépose les armes et je rends ma plume de joie

Pour celle qui laisse une ombre de sang

A vous mesdemoiselles, mon cœur n'est plus à prendre

Il a trop souffert de « non » à répétition

Et il s'est transformé en une pierre suintante un poison

Pour toutes celles qui essaieront d'en boire


Je m'enferme dans ma tour noire reconstruite

Sur les fondations du malheur éternel

Je vivrais reclus sur moi-même en attendant la fin

Et ne sortant qui pour déverser mon venin

Je clos le coffre des utopies de jeunesse

Pour ouvrir celui des cauchemars morbides


Je terminerais ma vie seul et aigris par le temps

Revêtant simplement un masque de bonheur

Pour ma famille et mes amis que j'apprécie quand même

Mais je fracasse celui de l'amour pour un autre être

Et je sombrerais dans un puit sans fond

Dans lequel m'attende milles tourments



des sentiments forts et vrais qui rendent ce texte plus beau

Dans la publication : C’est ce que tu voulais n’est-ce pas ?

20 août 2009 - 11:32

C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?



J'ai bravé l'affront,

humilié mon temps

lapider mon cœur

Chialer sur mon sort

Et enterré à jamais LE bonheur.



C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?



Tu voulais me voir à tes pieds

Venir quémander ton amour

Recevoir ton aumône

Me narguer du haut de ta jeunesse

Et me voir flétrie comme une loque

Pleurer les larmes qui me restent encore;



C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?



Je respire dans ma tête

encore

l'espoir que j'ai aussi perdu

Je ne sens plus son air jasminée,

Tout est noir

même Mes rêves et mes vers

Qu'hier

nos anges émissaires

colportaient

et aussi mes désirs,

J'ai tout perdu.



C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?



Garde nos souvenirs

Je n'en ai que faire,

Echange les dans le site des amours perdues

Troque les par d'autres aventures

Tu ne trouveras pas plus beau que mon amour

Même du haut de mon âge

Courbé par les peines,

Les chagrins et tous les mots qui font mal,

Par tout le mal que tu m'as fait,

Pas quelqu'un qui voudrait te rendre heureuse

Même si tu es belle ;

Tous savent que je t'aime

Tous auront peur ;

Personne ne sera preneur.

Tu es marquée du fer de mon amour

Mon empreinte véhicule ton sort

Bloque toute irruption dans ton cœur

Tous savent que tu m'appartiens

sans m'appartenir.

Personne ne te dira je t'aime !



C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?



Par moments je m'interroge,

As tu bien existée,

T'ai-je réellement connue

Aimée jusqu'à cette idolâtrie primaire

Sortie de ces poèmes du Grand Souk d'Oukad,

Ou c'étaient aussi des rêves ?

Je ne sais plus rien.

Tellement tout me semble sortir d'un livre

d'un conte que nous racontait ma mère

Ou d'un autre cauchemar

Qui se répète pour ne me faire plus peur.



Garde aussi mes poèmes

Récite les lorsque tu ne trouveras plus qui te les écrire

Mâche chaque mot qui sonne avec amour ou avec malheur

Tu me trouveras sur chaque ver

Peut-être extérioriseras-tu ces deux mots

Tu sais ce « jtm » que tu n'es pas arrivée à braire !

Replonge dans cette symphonie du bonheur

Mon premier poème

Clique sur chaque rime en « eur »

Ils te rechanteront l'extase et la chaleur

D'un cœur

Qui, maintenant, se meurt. !



Mon cœur se meurt

C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?



Va ma chère

Le glas a sonné mon heure

Je range aussi ma rengaine

Assez chanté,

Le temps devient blême

Je me récite mon oraison funèbre

Je rejoints les autres amants déchus,

Les martyrs du fol amour

Les souffre-douleur

Les pas chanceux,

Les nargués

Les malheureux

Ceux qui sont devenus sans cœur

Ceux qui se récitent entre eux leur vers

Qui trinquent à leurs amours perdues,

A leur malheur

Qui boivent jusqu'à s'oublier

Sans oublier celles qu'ils aiment

Et rejoindre tous ceux

Dont la pitié pleure leur sort.



C'est ce que tu voulais n'est-ce pas ?

20.08.09



cher ami,

de cette souffrance est né ce beau poème, et l'amour ,le vrai coûte tres cher,solitaire

Dans la publication : Pourquoi la mer est hostile...

19 août 2009 - 12:37

Pourquoi la mer est-elle hostile aux vieux pêcheurs
Le goût nouveau du poisson n'a pas de mémoire?
Les quatre coins se referment sur la ville assiégée
Les terres anciennes reculent de peur et disparaissent dans les ruelles délabrées !
Les oliviers saignent mais restent debout et témoins des crimes contre la paix

;Personne ne viendra au secours de l'histoire agressée .
;Les fils agées de sept mille ans préfèrent mourir contre leur liberté .
Que vaut la vie d'un oiseau dans une cage,même dorée?!
Chanterait-il de joie ou de souffrances?!

Hélas ! la liberté a toujours été coûteuse et avide de sacrifices nobles
Hélas! l'injustice est à la mode du nouveau monde assoiffé de pouvoir aveugle et sourd.
Le nouveau prétendant qui surgit des ténèbres du mal ,s'impose de force
Il prétend porter un message divin et que son royaume est béni du ciel
Il affirme que tous les hommes sont nés pour être à son service.

Ainsi la tragédie piège l'humanité et nous divise en bourreaux et
en victimes dès la naîssance
Mais la fin tragique sera-t-elle évidente ,cette fois-ci?
;Car l'espoir resistera longtemps pour reverdir l'olivier brûlé de haine
Pour libérer l'oiseau ,sans ailes.
Qui des deux finira par gagner?

La mer est triste sans pêcheurs et sans mémoire!
L'olivier attend l'ombre verte du sauveur
Le troupeau s'égare sans berger
Le loup est aux aguets et son appétit grandit au silence glacial

Mais,il n'y aura pas de paix à Jérusalem sans égalité
Là-bas,les cousins se haïssent et le sang des deux nourrit le cimetières
Ne les regardons plus s'entre-tuer
Aucun d'eux ne survivra et même vainqueur

Abel ne sera plus jamais victime de Caïn
Certes.la vie est un droit à tout un chacun
Elle c' est un don précieux à partager
Comme on se partage le vent et le soleil
Comme on se partage l'amour et le pardon


merci à tous ceux qui ont lu ce texte,solitaire