Douce Eve
En la nuit de tes yeux je défie la tristesse
Et je sème la lueur au dépit de ta détresse
Au fond de mon cœur, je cueille le miracle
Amour et tendresse, que je dépose en obstacle
A l’orée de tes lèvres, je pourchasse le silence
Qui longtemps a élu domicile et existence
En un coup de plaisir, je souffle tes nuages
Et le bonheur, vague déferlante accoste ton visage
A tes lèvres j’attise et récolte ton sourire
Et remonte en ta gorge de joyeux soupirs
Alors, j’appelle à la rescousse le printemps
Sur tes joues, monts verdoyants, fleurit le beau temps
En abeille, je butine tes boutons tout en roses
Et j’amasse le nectar en douce rosée, que je dépose
Sur une belle bouche exquise et toute en fièvre
Pour une récolte en temps venu de mes lèvres
En un partage d’une douceur en baiser
Douce flamme passionnante et braisée
Du doux miel de ma rose éternelle
O! Mon Dieu, douce Eve que tu es belle !!!
douce-brise
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Douce Eve
03 janvier 2008 - 06:09
La belle rose
29 novembre 2007 - 09:15
La belle rose
Rose O ! Belle rose
Sur tes contours je dépose
Mon amour d’admiration
De ton haleine de dégage
Un parfum de mirage
Qui enflamme ma passion
La belle rose
Rose O ! Belle rose
Sur tes contours je dépose
Mon amour d’admiration
De ton haleine de dégage
Un parfum de mirage
Qui enflamme ma passion
Je me ferais brise
Qui caresse et sise
Sur tes pétales en adoration
Je me ferais douce rosée
Chaque matin déposée
Sur tes lèvres en décoration
Je me ferais soleil
De mes rayons merveille
Te caresse en sensation
Un jour, je décide de t’offrir
Mais sans te cueillir
A celle que j’aime
Alors je regarde ta beauté
Et la lumière de ta clarté
Je remplis plein mes yeux
Que j’offrirais à mon amour
Ta beauté de toujours
En un regard délicieux
Toutes les deux vous êtes belles
Et resterez éternelles
A l’intérieur de mes yeux
Rose O ! Belle rose
Sur tes contours je dépose
Mon amour d’admiration
De ton haleine de dégage
Un parfum de mirage
Qui enflamme ma passion
La belle rose
Rose O ! Belle rose
Sur tes contours je dépose
Mon amour d’admiration
De ton haleine de dégage
Un parfum de mirage
Qui enflamme ma passion
Je me ferais brise
Qui caresse et sise
Sur tes pétales en adoration
Je me ferais douce rosée
Chaque matin déposée
Sur tes lèvres en décoration
Je me ferais soleil
De mes rayons merveille
Te caresse en sensation
Un jour, je décide de t’offrir
Mais sans te cueillir
A celle que j’aime
Alors je regarde ta beauté
Et la lumière de ta clarté
Je remplis plein mes yeux
Que j’offrirais à mon amour
Ta beauté de toujours
En un regard délicieux
Toutes les deux vous êtes belles
Et resterez éternelles
A l’intérieur de mes yeux
Un jour
26 novembre 2007 - 04:04
Un jour
Un jour, ton âme de femme s’enflamme en flammes
Viendra sur le sol de mon épaule pour se reposer
Un jour, ton sourire s’arrêtera de courir, et revenir parcourir
Mes lèvres en fièvre pour s’abreuver
Un jour, ton cœur admirateur, fleur en manque de bonheur
Cherchera le matin de mon jardin pour refleurir
Un jour, tes baisers aisés, braisés pour s’apaiser
Chercheront la couche de ma bouche pour se nourrir
Un jour, tes pensées brisées, épuisées
Rejoindront mon âme en flammes pour s’apaiser
Un jour, tes yeux, cieux capricieux, délicieux
Sombreront en mon univers à découvert pour se noyer
Un jour, tes rêves en grève de relève
S’associeront à ma passion en admiration pour l’enlacer
Un jour, tu dois saisir ton plaisir, ton désir en loisir
Et revenir à mon esprit surpris pour l’enflammer
Un jour, ton amour fleur velours sera de retour
A mon béguin coquin pour s’unir
Alors ce jour, je l’attends depuis longtemps
C’est mon printemps
Et je fuis cette nuit sans bruit
A la recherche du parcours de ton jour pour toujours
Et de ton ciel sans toile, ni voile tout en miel
Ainsi ma joie et ma voie c’est toi
Un jour, ton âme de femme s’enflamme en flammes
Viendra sur le sol de mon épaule pour se reposer
Un jour, ton sourire s’arrêtera de courir, et revenir parcourir
Mes lèvres en fièvre pour s’abreuver
Un jour, ton cœur admirateur, fleur en manque de bonheur
Cherchera le matin de mon jardin pour refleurir
Un jour, tes baisers aisés, braisés pour s’apaiser
Chercheront la couche de ma bouche pour se nourrir
Un jour, tes pensées brisées, épuisées
Rejoindront mon âme en flammes pour s’apaiser
Un jour, tes yeux, cieux capricieux, délicieux
Sombreront en mon univers à découvert pour se noyer
Un jour, tes rêves en grève de relève
S’associeront à ma passion en admiration pour l’enlacer
Un jour, tu dois saisir ton plaisir, ton désir en loisir
Et revenir à mon esprit surpris pour l’enflammer
Un jour, ton amour fleur velours sera de retour
A mon béguin coquin pour s’unir
Alors ce jour, je l’attends depuis longtemps
C’est mon printemps
Et je fuis cette nuit sans bruit
A la recherche du parcours de ton jour pour toujours
Et de ton ciel sans toile, ni voile tout en miel
Ainsi ma joie et ma voie c’est toi
aux profits de tes yeux
23 novembre 2007 - 07:49
Tes yeux
Aux profits de tes yeux
Je cueillerais les étoiles
Je monterais jusqu’aux cieux
Pour choisir les plus belles
Mais rien n’égale tes yeux
Pas même les astres des cieux
Pour la beauté de tes paupières
Je plongerais au fond des océans
Pour te rapporter des étoiles de mer
Malgré la violence des vents
Mais rien ne vaut tes yeux
Ce bel don de Dieu
Pour tes cils en arc-en-ciel
Je cueillerais des milliers de fleurs
En hommage à ces yeux de miel
Qui troublent mon cœur
Mais rien n’égale tes yeux
Au regard délicieux
Pour la beauté de tes roses
Ces joues que j’aime sans cesse
A tes pieds, je dépose
Mon cœur avec tendresse
Pour la douceur de ton sourire
Je t’offrirais le croissant de lune
Et revins pour mourir
Dans un élan sur ta poitrine
Et tes lèvres, ce sublime vin
Qui enivre mon âme
Dans un doux repos en vain
De sérénité et de calme
Rien ne vaut la beauté de ton visage
Ce site aux merveilleux paysages
Pour ton amour et ton bonheur
Je vis et je meurs.
Aux profits de tes yeux
Je cueillerais les étoiles
Je monterais jusqu’aux cieux
Pour choisir les plus belles
Mais rien n’égale tes yeux
Pas même les astres des cieux
Pour la beauté de tes paupières
Je plongerais au fond des océans
Pour te rapporter des étoiles de mer
Malgré la violence des vents
Mais rien ne vaut tes yeux
Ce bel don de Dieu
Pour tes cils en arc-en-ciel
Je cueillerais des milliers de fleurs
En hommage à ces yeux de miel
Qui troublent mon cœur
Mais rien n’égale tes yeux
Au regard délicieux
Pour la beauté de tes roses
Ces joues que j’aime sans cesse
A tes pieds, je dépose
Mon cœur avec tendresse
Pour la douceur de ton sourire
Je t’offrirais le croissant de lune
Et revins pour mourir
Dans un élan sur ta poitrine
Et tes lèvres, ce sublime vin
Qui enivre mon âme
Dans un doux repos en vain
De sérénité et de calme
Rien ne vaut la beauté de ton visage
Ce site aux merveilleux paysages
Pour ton amour et ton bonheur
Je vis et je meurs.
Il y a longtemps
20 novembre 2007 - 09:09
Il y a longtemps, bien longtemps
Il y a longtemps bien longtemps, que le printemps ne passe plus son temps
A fleurir mon parterre
Il y a longtemps, que les roses ne déposent plus leurs doses
De parfum à mon cœur
Il y a longtemps, que le soleil source merveille ne réveille
En moi aucune chaleur
Il y a longtemps, que le vent d’antan ne fait plus autant
De caresse en douceur
Il y a longtemps, que la tendresse avec paresse cesse ses caresses
Au jardin de mes fleurs
Il y a longtemps, que l’amour jour après jour a oublié mon parcours
Pour déposé ses couleurs
Tout est au passé, cassé, entassé
Dans ma mémoire en douleur
Et ne reste que ce zest de gestes
Jadis enchanteurs
Et au présent ce verbe récent, qui monte et descend
C’est mourir , sans ton amour je meurs
Il y a longtemps bien longtemps, que le printemps ne passe plus son temps
A fleurir mon parterre
Il y a longtemps, que les roses ne déposent plus leurs doses
De parfum à mon cœur
Il y a longtemps, que le soleil source merveille ne réveille
En moi aucune chaleur
Il y a longtemps, que le vent d’antan ne fait plus autant
De caresse en douceur
Il y a longtemps, que la tendresse avec paresse cesse ses caresses
Au jardin de mes fleurs
Il y a longtemps, que l’amour jour après jour a oublié mon parcours
Pour déposé ses couleurs
Tout est au passé, cassé, entassé
Dans ma mémoire en douleur
Et ne reste que ce zest de gestes
Jadis enchanteurs
Et au présent ce verbe récent, qui monte et descend
C’est mourir , sans ton amour je meurs