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saphira

Inscrit(e) : 24 nov. 2007
Hors-ligne Dernière activité : nov. 26 2007 04:51

Publications sur Toute La Poésie

ghetto

24 novembre 2007 - 07:00

pour cette vie de ghetto la ou ont te regarde haut ou leur maladies ne fait que detiriorer en les regardant
pleurer et les ecoutant crever les fusils qui ne cesse de tirer les gens qui ne cesse detre eliminner mais ils ne
prennent meme pas la peine de les enterer que les emplier mais que devien notre societer ou est cette pureter
na t elle jamais exister que la heine et la guerre une guerre qui nous remetera place premiere qui se
nomme terre ou est cette mere qui nous a mis sur cette terre qui nous prommetais le bonheure et la joie pour
nous permettre de rever un peu avant de realiser la realite et que dans cette vie ont devais payer notre
liberter et meme encore ca finirais par bruler aussi vite que cette jolie feuille de papier de couleur
differencer qui allait finir par tous nous tuer dans se monde de sans coeur qui ont detruit le bonheur
les valeur .qui ont ete esclaves liberer mais renfermer par leur propre sang qui ont continuer de leurs leguer
la pauvreter contniuer de rever mes biens aimer endormer vous comme de doux bebe le cauchemar est termner
vous avez fini de tuer et detre blesser que les anges vienne vous liberer

mejjen ont se retrouvera sur lau-de-la

24 novembre 2007 - 06:02

Mejjen
celle a qui ont aurrais epargner ces peines
celle qu ont voulait empecher de s ouvrir les
veines celle qu ont aurrait voulu voir
devenir une reine
a tout ceux qui ont eu de la peine qui ont pris
le jour de sa gloire pour s appercevoir dans un
mirroir a quelle point etait son desespoir

la passion

24 novembre 2007 - 05:50

Une passion a longue distance meme si a savoir si ceci avait du sens.
Essayer de gerer ses sentiments si fort sans etre capable de faire la balance.
Dire que j aurrais attendu de mon enfance, au canada jusqu en france.
Pour ecouter ton simple silence, qui m aurrait cesse mon independance
ou cette souffrance que j aurrais oublier le soir colle en regardant les orages
demontrant leur intelligence et en te regardant droit dans les yeux cette
lueur de securite et de prudence illumina le coeur d une femme qui avait
deja recu sa sentense parmis ces endurances et ces annees de violence.
Peut etre que lamour lui a donne sa chance au moins une fois avant l au-
de-la de son esperence en esperant que leur paradis soit intence et que l enfer
n est plus soif de cette decadence