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Publications sur Toute La Poésie
Ecrire encore et toujours
05 décembre 2007 - 08:26
D’une envoûtante présence omnisciente
Souvenirs, plaisirs, bonheur d’adolescent
Chauffe mon cœur, froid de mes pensées vieillissantes
Le plaisir de pouvoir de nouveau écrire
Larme de ce temps passé à mourir
Enterré dans le noir d’une obscurité envahissante
Ou la vie avait laissé place à des affaires oppressantes
Tout se bouscule dans ma créativité
Je veux clamer mon amour, mes amitiés
Je veux hurler pour celle que je veux aimer
Je veux pleurer pour ceux de mon âme dévastée
Un texte lu qui peut être apprécié
Devient une joie non dissimulée
Un plaisir bien plus grand que mes succès
Dans le monde des hommes occupés
Je ne veux plus de ce contexte inhibiteur
Où chacune de mes prestations fait peur
Sur cette terre ou l’argent à son odeur
Et les mots n’ont plus aucunes saveurs
Même si je pêche de ne savoir mettre en forme
Les idées assassinent que je réforme
Je reste passionné des mots que je transforme
A mesure de mes idées gaies ou mornes
Plaisirs des vers sans queues ni têtes
Reliés ensembles par différent pense bêtes
Et l’unique volonté d’amener mon lecteur
Dans le monde de la vie ou de l’horreur
De farce, jeu d’esprit, rimes et compromis
Les définitions se bousculent en mon paradis
Fait de vos yeux de plus en plus ébahis
De constater que je puisse aimer la poésie.
Passion, amour... et ronflements
04 décembre 2007 - 10:35
Remonte vers ma bouche pour nous souder
Dans un tendre geste des jeux amoureux
Soyons ensemble dans le foyer de notre feu
Aime moi comme aux premières caresses
Découvre mon corps avec ivresse
Enflamme mes sens pour toucher à l’extase
Fais de je t’aime une unique phrase
Couche toi sur l’autel de nos amours
Nue face à moi, vision de toujours
De cette perfection, lecture platonique
Vite revenu vers des contacts plus physiques
Laissons tous ses aspects philosophiques
Fils rebelles de ce dieu biblique
Libre cours aux écrits sataniques
De nos cris véritables source d’harmonique
Les pensées cessent dans la rythmique des gestes
Qui s’arrêtent dans nos visages grotesques
Et qui nous sépare sans plus de cérémonie
Pour que tout s’éteigne dans la nuit
Confesse
04 décembre 2007 - 10:23
Ce mot diabolique rituel d’après vos messes
Résumer en des maux toute la perversion
Et tuer Eve pour vos sujets de passions
Si présente dans les littératures antiques
Muse de toutes les inspirations poétiques
Vous êtes bien vulgaires avec les dames
Pour faire cette carte du corps des femmes
Quand nous autres les regardons dans les yeux
C’est part en dessous que vous êtes vicieux
Car de deux orifices vous la résumez en masse
Et servez vos discours auprès de votre paroisse
Le serpent biblique est dans vos prières
Comme la pomme a eu un jour son ver
Messieurs, regardez qui s’agenouille devant dieu
Et cessez de vous cacher sur l’illusoire d’être pieux
FANTASME
03 décembre 2007 - 10:35
Page d’histoire séparant Antoine de César
Cléopâtre en reine des plus avares
Clôturant l’ère de ses pages d’or
Mimant le peuple dans le rôle de pandore
Seul se sentant Ulysse dans son odyssée
Souvenant des délices de son aimée
Pénélope au destin lié par l’avancée d’un fil
D’une tapisserie sans fin, Iliade de son idylle
D’un homme prêcheur dans le désert
Volonté de voir les hommes sortir de l’enfer
D’une parole sainte sans souhait de peur
Parabole tombée sous la terre du fossoyeur
D’une envie de dominer les territoires
D’un insomniaque aux idées noires
Envoyant des vies par centaines et milliers
Périr au son de ses désirs pêché
De moi aux souhaits de mes envies
Fleur d’un plaisir sans douleurs ni cris
Juste pouvoir me sentir aimer
Par toi, tes pieds et tes baisers
Le toi dans le nous
03 décembre 2007 - 10:31
Une pensée noyée dans un océan
Naît le désir des plus odoriférant
Tempérant, assagissant le Rhin
De l’être humain à l’homme serein
Un regard pour le secret de l’univers
Une vie devient un siècle de lumière
Plaisir de découvrir et s’ébaubir
Illusion de séparer pour mieux se dédire
D’une inconnue à l’ingénu inconnu
D’un secret devenant soif du méconnu
D’une existence lesté par les cailloux
La vérité dans cet avenir des plus flous
Privé de liberté pour mieux se libérer
Sentiment lié aux non dits inavoués
Permanence de mai et des premiers muguets
Printemps suspendu par un habile Breguet
Tant d’image et de mots en une expression
Reflet des plaisirs, du quotidien et des passions
Je conclu, donne l’escarmouche et le thème
Ma douce, Mon amour, je t’aime