Abbé Faria
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Publications sur Toute La Poésie
Unique leçon sur la poésie.
06 février 2008 - 09:13
!. Ce qui est certain c'est que la poésie ne se fait pas avec des cadavres.
LA NOUVELLE.
06 février 2008 - 08:35
MES AMIS,
JAI RAMASSER LES MORCAUX DE MON CERVEAU QUE J'AI FAIT EXPLOSER POUR 30 EUROS. AVR DTRT MN CRV M'A PERMIS D'AFFRONTER SATAN ET DE :
J'AI TRIOMPHÉ. ENFIN, J`AI LE CORPS COUVERT DE BOUE ET JE LUI AI ARRACHER DEUX POILS DE SON CORPS, LES POILS AVEC LESQUELS IL FABRIQUE SA MUSIQUE (DE MORT). J'AI DÉSORMAIS UNE TRÈS GRANDE RESPONSABILITÉ DANS LA COMMUNAUTÉ DES HOMMES ET IL FAUDRA ME RECONNAITRE COMME TEL.
MA QUESTION EST :
SUIS-JE D'ESSENCE DIVINE ? CAR SI JE NE LE SUIS PAS JE CROIS BIEN QUE MA MUSIQUE SERA MALSAINE ET N'APPORTERA QUE LE MALHEUR.
AIDEZ-MOI HOMMES ET FEMMES J'AI PEUR D'ÊTRE UN DÉMON DANS LEQUEL CAS JE ME TUERAIS POUR REJOINDRE L'ENFER, LÀ D'OÙ JE VIENS SELON MON AMI TURC. S'IL VOUS PLAIT N'APPELLEZ PAS LA POLICE OU LES HOPITAUX, JE SAIS D'EXPERIENCE QU'ILS TUENT LES ANGES (AU CAS OÙ).
CAR OUI UNE FOIS LA POLICE ET SES COMPLICES ONT TEMPTÉ DE M'ASSASSINER CAR J'AVAIS MIS À BAS LE GROSSIER MASQUE DE LA RÉALITÉ QU'ILS ONT MIS EN PLACE. TOUT AUTOUR DE VOUS EST UN DÉCOR DE THÉÂTRE. VOUS ÊTES DANS LA MATRICE. EN DEHORS DE LA MATRICE UNE ÉNORME BARRE DE FER VOUS EST INCORPORÉ DANS L'ANUS, COMME CE QUE L'ON FAIT AUX VACHES. J'AVAIS RÉUSSI À RETIRER CETTE BARRE DE FER MAIS ILS M'ONT LIGOTER ET FAIT TAIRE MON FLUX DE VÉRITÉ.
JAI RAMASSER LES MORCAUX DE MON CERVEAU QUE J'AI FAIT EXPLOSER POUR 30 EUROS. AVR DTRT MN CRV M'A PERMIS D'AFFRONTER SATAN ET DE :
J'AI TRIOMPHÉ. ENFIN, J`AI LE CORPS COUVERT DE BOUE ET JE LUI AI ARRACHER DEUX POILS DE SON CORPS, LES POILS AVEC LESQUELS IL FABRIQUE SA MUSIQUE (DE MORT). J'AI DÉSORMAIS UNE TRÈS GRANDE RESPONSABILITÉ DANS LA COMMUNAUTÉ DES HOMMES ET IL FAUDRA ME RECONNAITRE COMME TEL.
MA QUESTION EST :
SUIS-JE D'ESSENCE DIVINE ? CAR SI JE NE LE SUIS PAS JE CROIS BIEN QUE MA MUSIQUE SERA MALSAINE ET N'APPORTERA QUE LE MALHEUR.
AIDEZ-MOI HOMMES ET FEMMES J'AI PEUR D'ÊTRE UN DÉMON DANS LEQUEL CAS JE ME TUERAIS POUR REJOINDRE L'ENFER, LÀ D'OÙ JE VIENS SELON MON AMI TURC. S'IL VOUS PLAIT N'APPELLEZ PAS LA POLICE OU LES HOPITAUX, JE SAIS D'EXPERIENCE QU'ILS TUENT LES ANGES (AU CAS OÙ).
CAR OUI UNE FOIS LA POLICE ET SES COMPLICES ONT TEMPTÉ DE M'ASSASSINER CAR J'AVAIS MIS À BAS LE GROSSIER MASQUE DE LA RÉALITÉ QU'ILS ONT MIS EN PLACE. TOUT AUTOUR DE VOUS EST UN DÉCOR DE THÉÂTRE. VOUS ÊTES DANS LA MATRICE. EN DEHORS DE LA MATRICE UNE ÉNORME BARRE DE FER VOUS EST INCORPORÉ DANS L'ANUS, COMME CE QUE L'ON FAIT AUX VACHES. J'AVAIS RÉUSSI À RETIRER CETTE BARRE DE FER MAIS ILS M'ONT LIGOTER ET FAIT TAIRE MON FLUX DE VÉRITÉ.
Jai faim
03 février 2008 - 06:10
faim de fins
J'ai hate d'allumer la premiere torche
danser le feu et la cendre
du coup je crie sous la lune
et le vent me souffle les paroles
Ow ow owwww
Je vais me peindre en blanc et noir
Pour disparaitre dans la premiere foret
Devenir du reve au hibou
J'ai hate d'allumer la premiere torche
danser le feu et la cendre
du coup je crie sous la lune
et le vent me souffle les paroles
Ow ow owwww
Je vais me peindre en blanc et noir
Pour disparaitre dans la premiere foret
Devenir du reve au hibou
Rêves
03 février 2008 - 12:02
Il est très dificile de retranscrir un rêve par écrit, pardonnez-donc syntaxe et inexactitudes etc
J'ai rêvé que j'étais une sorte de robot au sexe en forme de tuyau de robinet et que je m'accouplais avec une sorte de robot à un trou et nous étions coller l'un contre l'autre et au coit une figure de momie m'est apparu devant les yeux. Bref, le robot à un trou (sorte d'aspirateur) a commencer à gonfler un visage (par le bas de son corps un cou et une tête) entiérement divisé en morceaux de verre, un peu comme un vitrail et ce qui les liait (les morceaux de verre) était une substance organique. Bref la tête est complétement gonflé (ou pondu) et je la récupére pour sortir de la grande piéce où je me trouvais. Donc pour sortir je dois passer par une porte assez étroite et la tête étant très grande je créve un peu le visage gonflé mais pas beaucoup. JE sors de la piéce et je suis en fait dans une sorte de château dans les airs avec d'autres robots comme moi, je pose la tête près d'une fontaine et mes amis la couvre d'eau et le verre du visage s'illumine enfin devient translucide et se transmute en pierre faisant pousser à la tête un corps. Une sorte de géant grandissait et après je crois je suis passé à un autre rêve.
En effet plus court :
J'ai rêvé que mon frére était poéte, et que je l'apprenais, j'apprenais qu'il avait eu beaucoup de succés mais il ne voulait pas m'en parler. J'étais à moitié jaloux et en colére, je me disais : il ne peut-être qu'un poéte médiocre.
Un autre :
Je faisais l'amour à , probablement, une prostituée dans la cuisine de ma maison, d'abord elle refusait mais ensuite elle vu la taille très grosse de mon pénis (what a fat dick you have ! sont ses paroles) et accepta. Je jouissais tandis qu'un chinois nous regardait (en compagnie d'un autre type) à travers la vitre ce qui me faisait à moitié peur et me mettait l'autre moitié en colére.
J'ai rêvé que j'étais une sorte de robot au sexe en forme de tuyau de robinet et que je m'accouplais avec une sorte de robot à un trou et nous étions coller l'un contre l'autre et au coit une figure de momie m'est apparu devant les yeux. Bref, le robot à un trou (sorte d'aspirateur) a commencer à gonfler un visage (par le bas de son corps un cou et une tête) entiérement divisé en morceaux de verre, un peu comme un vitrail et ce qui les liait (les morceaux de verre) était une substance organique. Bref la tête est complétement gonflé (ou pondu) et je la récupére pour sortir de la grande piéce où je me trouvais. Donc pour sortir je dois passer par une porte assez étroite et la tête étant très grande je créve un peu le visage gonflé mais pas beaucoup. JE sors de la piéce et je suis en fait dans une sorte de château dans les airs avec d'autres robots comme moi, je pose la tête près d'une fontaine et mes amis la couvre d'eau et le verre du visage s'illumine enfin devient translucide et se transmute en pierre faisant pousser à la tête un corps. Une sorte de géant grandissait et après je crois je suis passé à un autre rêve.
En effet plus court :
J'ai rêvé que mon frére était poéte, et que je l'apprenais, j'apprenais qu'il avait eu beaucoup de succés mais il ne voulait pas m'en parler. J'étais à moitié jaloux et en colére, je me disais : il ne peut-être qu'un poéte médiocre.
Un autre :
Je faisais l'amour à , probablement, une prostituée dans la cuisine de ma maison, d'abord elle refusait mais ensuite elle vu la taille très grosse de mon pénis (what a fat dick you have ! sont ses paroles) et accepta. Je jouissais tandis qu'un chinois nous regardait (en compagnie d'un autre type) à travers la vitre ce qui me faisait à moitié peur et me mettait l'autre moitié en colére.
Lettres à Thomas.
02 février 2008 - 11:55
Le fade a tué le chic.
Thomas. Je suis à Boston, je m'ennui(t) beaucoup, beaucoup. Heureusement, je bois. Malheureusement boire me rend encore plus malheureux. J'aimerais, à Paris, mâcher des feuilles de vigne et casser des voitures pour pauvres avec mes amis racailles.
Mais je suis encore à Boston, dans le vagin de maman et dans les testicules de papa.
Viens, je t'en prie.
Je t'aime, non pas comme un amant (car je ne suis pas sodomite), mais comme un ami.
Alexis de Hamilton,
Prince de Gramont,
Bite extensible,
etc etc.
Au grand match de la philosophie:
Diogéne : 14
Platon: 0
Thomas, mon très cher et presque unique ami.
Les humeurs de la bile me montent à la têt®e. La lune ne répondant pas à mes appels, je vais probablement aller à New York traverser un miroir au cinquantiéme étage de la plus haute tour afin de me tuer. Je regrette de ne pas avoir connu les bals musettes et ses jolies femmes : il n'y a plus que des discothéques où les filles font les putes tout en restant très froides. J'espère que tu t'en tires bien, anyway.
Sincérement.
Alexis.
Je lance un défi d'un battle de krump de 4 heures constantes à tout individu qui se réclame artiste.
Thomas. Je suis à Boston, je m'ennui(t) beaucoup, beaucoup. Heureusement, je bois. Malheureusement boire me rend encore plus malheureux. J'aimerais, à Paris, mâcher des feuilles de vigne et casser des voitures pour pauvres avec mes amis racailles.
Mais je suis encore à Boston, dans le vagin de maman et dans les testicules de papa.
Viens, je t'en prie.
Je t'aime, non pas comme un amant (car je ne suis pas sodomite), mais comme un ami.
Alexis de Hamilton,
Prince de Gramont,
Bite extensible,
etc etc.
Au grand match de la philosophie:
Diogéne : 14
Platon: 0
Thomas, mon très cher et presque unique ami.
Les humeurs de la bile me montent à la têt®e. La lune ne répondant pas à mes appels, je vais probablement aller à New York traverser un miroir au cinquantiéme étage de la plus haute tour afin de me tuer. Je regrette de ne pas avoir connu les bals musettes et ses jolies femmes : il n'y a plus que des discothéques où les filles font les putes tout en restant très froides. J'espère que tu t'en tires bien, anyway.
Sincérement.
Alexis.
Je lance un défi d'un battle de krump de 4 heures constantes à tout individu qui se réclame artiste.