Bizarre,
Quand l’aube va sans fin
Dans l’air frais du matin
Elle apporte en chemin
Un nouveau parchemin,
Un parchemin d’espoir
Qui relève du noir
Ce mur qui nous sépare,
Barrière d’un amour
Inaccessible et sourd
venu là par hasard.
Mais quand le jour s’éteint
Il ne reste plus rien,
Rien que le souvenir
Qui à moi ne m’inspire
Que l’espoir si divin
De te revoir demain.
Et cet amour c’est toi
Oui, toi qui ici bas
N’a pas voulu te lier
D’une simple amitié
Que je t’aurais donnée
Sans jamais te lasser.
Maintenant il est tard
Et je subis, bizarre,
Un rêve incertain,
Peut-être n’est-il pas vain...
sistervivi
Inscrit(e) : 08 déc. 2007Hors-ligne Dernière activité : avril 01 2008 05:46