Le grain de beau’thé
La peau est blanche, finement nacrée,
Entre les seins, couleur de lait,
Grain de beau’ thé, ton mordoré,
La tasse fume, liquide ambré.
Le corps se tend sous les baisers,
Grain de beau’ thé, de volup’thé.
Courbe des reins, peau de satin,
La tasse fume, goût de Jasmin.
Gestes précis, terre embrasée,
Temps suspendu, souffle coupé,
Grain de beau thé, félici’thé.
La tasse est vide…. Séréni’thé ….
bonnie
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Le grain de beau'thé
04 mars 2008 - 06:56
CELUI QUI FUIT
04 janvier 2008 - 12:35
Tu es celui qui fuit, celui qui vit caché,
Qui refuse de voir, afin de ne pas hurlé,
notre monde qui pleure, qui gémit, qui se tord,
tu pars les poings crispés, et tu songe à la mort.
Souvent tu a pensé, affronter et faire face,
Tu as tenté de suivre, de te trouver une place.
Essayant de marcher, sans regarder dehors,
en occultant tremblant, ces cris qui te dévorent.
On te traite de lâche, mais tu n'es que trop faible,
Faut-il donc être fort, insensible ou cruel?
Tu n'as pas cette foi, cette force, cette étincelle,
Pour regarder la vie, et même la trouver belle.
Alors tu vis caché, plus jamais tu ne fuit,
Réfugié mais heureux, dans une douce folie
La porte de ton esprit à jamais refermé,
de la douleur des hommes pour toujours préservé.
Pour N qui aura bientôt 26 ans...
Qui refuse de voir, afin de ne pas hurlé,
notre monde qui pleure, qui gémit, qui se tord,
tu pars les poings crispés, et tu songe à la mort.
Souvent tu a pensé, affronter et faire face,
Tu as tenté de suivre, de te trouver une place.
Essayant de marcher, sans regarder dehors,
en occultant tremblant, ces cris qui te dévorent.
On te traite de lâche, mais tu n'es que trop faible,
Faut-il donc être fort, insensible ou cruel?
Tu n'as pas cette foi, cette force, cette étincelle,
Pour regarder la vie, et même la trouver belle.
Alors tu vis caché, plus jamais tu ne fuit,
Réfugié mais heureux, dans une douce folie
La porte de ton esprit à jamais refermé,
de la douleur des hommes pour toujours préservé.
Pour N qui aura bientôt 26 ans...
l'amie
02 janvier 2008 - 08:47
a toi l'amie fidèle, la compagne de toujours
qui me quitte ce soir pour un nouveau détour
je donne ces quelques mots sans pudeur et sans fard
pour dire la tristesse que cause ton départ.
Car depuis tant d'années, traversant les tourmentes,
toi si éloignée et pourtant si présente,
nous faisons front ensemble des chagrins ravageurs
des peurs, des cris, des larmes et de toutes nos douleurs.
L'océan nous sépare, mais depuis si longtemps,
faisant fît des distances, unies par la pensée,
nous tenant par la main, côte à côte marchant
notre amitié précieuse à su briser le temps.
Nos rencontres fugaces et souvent passagères,
riches de tant d'émotions, trèves dans nos galères,
débordantes de rires, parenthèses de vie,
alimentent et préservent le bonheur qui nous lie.
Pour tout ces moments là , et pour ceux à venir,
permettant d'avancer et surtout de tenir,
je veux te dire merci car je ne l'ai jamais fais,
espérant de donner autant que tu le fais.
A Elly...
qui me quitte ce soir pour un nouveau détour
je donne ces quelques mots sans pudeur et sans fard
pour dire la tristesse que cause ton départ.
Car depuis tant d'années, traversant les tourmentes,
toi si éloignée et pourtant si présente,
nous faisons front ensemble des chagrins ravageurs
des peurs, des cris, des larmes et de toutes nos douleurs.
L'océan nous sépare, mais depuis si longtemps,
faisant fît des distances, unies par la pensée,
nous tenant par la main, côte à côte marchant
notre amitié précieuse à su briser le temps.
Nos rencontres fugaces et souvent passagères,
riches de tant d'émotions, trèves dans nos galères,

débordantes de rires, parenthèses de vie,
alimentent et préservent le bonheur qui nous lie.
Pour tout ces moments là , et pour ceux à venir,
permettant d'avancer et surtout de tenir,
je veux te dire merci car je ne l'ai jamais fais,
espérant de donner autant que tu le fais.
A Elly...
L'iréelle
01 janvier 2008 - 05:01
A l'ombre de ton corps
je me sens devenir
dans l'illusion qui dort
il me faut repartir.....
je me sens devenir
dans l'illusion qui dort
il me faut repartir.....