eric

Mon nom est Légion

quand je vois double éloge à la fornication

dans cerveau malhabile et sexes à la raison

frictions momentanés,factions bruits ,liés de craintes

brisés d'orgies,ma terre tête est sainte suinte

glèbe mouillés,mottes porteuses, lune rieuse

pluie des caveaux,tombeaux affaissés mort chanteuse

tout est massé ici,essaims aux miels cantiques

qui,putrides sonnent agitent les arts magiques

ça se mue ça picote ça dévore ossements 

ça s'agite et ça pique dans sale bruissement 

voix garnement voix firme de serpents voix du démon

qui se pare de toutes mes lésions à profusion

sottises narrer,nasiller,nouer, puit calfeutré

même pas de sceau à y jeter,ça puise seul t'as pigé?

Ça vient seul cerveau endeuillé de sa mémoire.

L'homme,moi,posa main ,maintenant la mine noire

affecté mais sans le stress gravât de mots bizarres

sors de cet homme! que je me dis ….il était partit.

Aux nombres de sept,comme jours aux soleils, grandit!

chaque jour ta dose de communs qui ne souffre point

bénit l'anodin!,frivole ton sein!tire fort en ton bien!

 Palpe et suce chaque heure à ton merveilleux destin

que l'hiver passe et crois en ta route...ton chemin.

Le 24/01/2009

Afrique portique

Hautes couleurs des lustres!
À mon nom signe le blessé
cours en ton tréfonds!réclame!
 le vert,aux soeurs de beauté
qui, donne cet air de bonté
cette nature vivifiée.
Le jaune ,digne,la clarté.
Le rouge,dis le calmement,
c'est notre sang sur peaux noires
cette leçon de l'histoire
ne croît pas assez, noble là!
N'en ai pas honte et suis là
aux monts aux coeurs ombragés
regardes!,à l'intérieur,
fier et ne cesse d'y puiser
car c'est un renouvellement
un éternel commencement
d'honneurs et d'endossements
liberté,âmes charriées
aux confins de la voie-lactée
la mort nous fait qu'annoncer
c'est la nuit le noir Dieu est nuit
et est espoir,nous a unis.
Le 22/01/2009

Le Temps

le temps passe comme un point bien épais et noir
 laisse trace dans une phrase d'une durée certaine.
 que l'on s'y arrête l'on s'y attable même
L'on y enjoint frotteurs des mains mouches babines 
 la mesure la fougue , verbe précipité.
Pour prier ce qui est:le pain en premier du vin
l'âme des livres et le livre premier coule
et celui qui livre et celui qui est livré
s'aiment et dévorent, au port la cuite poule
fermeront la porte Judas et Jésus sortis 
je me dois de me rasséréner et de croire
afin de trouver l'hymne sublime de la loi
qui à ce point s'allierait pour tirer ce pardon
de grâces et briserait d'écumes de denrées
 jetées!!!,les flots de la mer ,ce point de bascule
ce départ de cette fuite du temps de l'instant présent.
départ que je stoppe net .Posthume ...en goguette.
Le 19/01/2009

solitude

un ramier des rameaux du pamprin tout émoustillé des flexions que lui offre les vents. je pu du cul donc je suis tu sonnes?allo?y' a quelqu'un?je répond

parti travailler

cerveau qui bugg

tout émoustillé par cet étranger d'oiseau au poitrail jaune et des touches éparses,pas éparses de ce beau bleu nuit et puis aussi de ce superbe ciel que l'on ne voit qu'en méditerranée.

je rougis,je bleuis je suis gêné,je suis exterminé par le sous peuple je m'en tamponne je suis mercurochrome.

jaillis des buissons les voix je me pardonne à défaut de m'en faire raisons de ces voix qui jasent qui jasonnent derrière mes oripeaux,sur mes oripeaux

l'on m'éloigne l'on questionne je ne raisonne pas j'assume ma liberté d'être 

moi je réussi à te dire je vous aime car les lettres sont plusieurs

à défaut de postérieur à botter le fier délateur me mit la milice au cul

milice calice impie et impitoyable,non,tu n'auras pas raison de moi et de ma folie

bèèèèèèh jappe un homme nouveau né qui gémit comme une brebis pas égarée. buuuuuuu klaxonne l'homme autobus phare de la discorde qui sied à ce forum boulevard du tétanos tel le fer est rude entre ceux qui raisons de se connaître se font estropier de leurs dures quêtes d'avorté ce même qu'ils ne sont pas.

je suis esclave de la duré et j'enfante des porcs qui vont vous bouffer

nul,je suis une huître perlière bah!!!à quoi bon tu me fous la nausée à pas pouvoir me blairer on finit par en renifler un autre qui sied plus à votre cul majesté.

moi sans déconner j'aime ce site

Connaissances et persuasions

Il est tel qu'il est ce monde,ce coeur qui bat qui gronde

La perspective de mon devenir façonne mon présent

présent maintenant à évincer ces soupirs calmement

que je met dedans?dans ces foules que l'homme condamne?

Moral malaise dans une valise et il part dedans

car il est en proie aux prises de son pire jugement

 d'avoir su dire cet homme est autrement... différent

Le pape a l'âme qui blesse,confessionnellement

l'homme a la foi qui le presse de nommer ses tourments

s'exténuant,se trompant,dansant d'un oeil ce flirt au ciel

cet oeil comme des olives cet oeil trompement noir ou vert?

Ces baskets,ces teintes grises l'air maladive, dérive

Ta barque au néant des peuples explique et pige

le sacrilège de se gourer de l'ère du temps ami

l'ami cet ennemi quand il ne laisse entrer que des mécréants

mes créanciers c'est inévitable vont penser argent

vont me vider la tête de la substance du pardon

 me flanquer dans cette fête où le riche raisonne

 la marseillaise les trompettes les cors et les clairons

mais garderais-je au fait mon opinion?mon bien passion?

Lorsque les clarinettes souffriront de mes médailles

et ne m'offriront même plus cette belle et seule chanson

que j'aimais entendre celle de raison celle du pardon.

Le 14/01/2009