On m'avait dit que ça devait se faire comme ça
Il faut que tu comprennes, on n'y est pas du tout, là .
J'aimerais bien, tu sais, là n'est pas la question,
Mais tu vois bien que c'est impossible, je choisis l'abandon.
La forme que ça doit prendre, c'est très important,
Les sons, les mots, rien ne va pour l'instant ;
J'avais eu beau te prévenir, tu n'as pas voulu
Infléchir le mouvement, voilà ce que ça t'a valu !
Il ne faut pas pour autant que tu désespères,
Tu trouveras mille occasions de te refaire,
Pour persévérer, tu n'as pas ton pareil.
Je te souhaite donc bonne chance, sache que tu auras
Toujours mon soutien, et mes bons conseils,
Quoique tu fasses, j'espère que tu le sauras.
JuK
JuK
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L'abandon
27 janvier 2008 - 05:53
Ce que tu penses
19 janvier 2008 - 01:21
Ce que tu peux bien t'imaginer,
J'essaye de le deviner.
Ce que tu peux bien avoir en tête…
Rien d'autre n'encombre mon esprit.
Mais l'exercice est difficile,
Le résultat si cruel,
Et les allusions si floues,
Que je t'imagine loin, loin…
Tu me redoutes
11 janvier 2008 - 06:02
Je suis là ,
Car partout tu me vois,
Partout où tu regardes,
Toujours tu prends garde.
Je te hante,
Je te scrute,
Je te cerne,
Je suis ta haine.
L'ombre dans le noir,
La lueur dans le soir,
Un grincement dans la nuit,
Le silence puis le bruit.
Tout te porte à croire,
Que quelqu'un peut te voir,
Et toujours tu t'endors,
En pensant à ta mort.
Juk
Une histoire
08 janvier 2008 - 09:16
Une histoire
L'acte un fut mémorable,
J'y terrassai l'impossible,
Réalisai l'indicible
Éliminai l'improbable.
Je n'eus jamais soupçonné,
Ni cru chose plus facile
Qu'en ce gai jour observer
Ma naissance en ton esprit.
L'acte deux créa ma force,
Échafaudait ta présence,
En renforçant la puissance
Du tourment de tes absences.
Mais jamais tu n'étais prête
À me voir te témoigner
La raison qui me faisait
Tarder à être honnête.
L'acte trois vit le bonheur
Qui s'éteignait en silence,
Je vis que les circonstances
N'étaient pas à la hauteur.
Cet acte fut le plus long,
Le plus sinueux de tous
Et sa seule distraction
Fut de revoir ta frimousse.
L'ultime acte fut le quatre,
L'histoire enfin s'acheva
Quand je cessai de me battre
Quand de toi vint le coup bas.
Quoique tu puisses en penser
Je ne fus pas absorbé
Mais simplement encombré
Maintenant c'est terminé.