Comme le vent de partir
Caresse ton esprit de femme libre
Et embaume ton coeur d'or
Comme je peux rien y faire
Aussi ni dieux ni démons
Prend bien soin de toi
Autrefois quelque soit le temps
L'on pouvait reconnaitre
Un homme une femme un enfant
Et tout sourire un accueuil une main tendue
Seulement de nos jours
Le temps passe trop vite
Et je me demande pour combien temps encore
Le monde peut-il survivre de ses montres
Prend bien soin de toi
sheex
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MON AMOUR
06 avril 2008 - 11:37
L'HERITAGE
25 mars 2008 - 04:47
Au pied des montagnes à fleurir d'amour
Un bout de verger qui s'étend
Une terre à dorer de baisers
Un ciel à moissonner un univers à déchiffrer
Un petit troupeau que je dois promener tot
Quand trempée de rosée jouit la verdure sauvage
Une étoile en chant dans mes nuits illuminant
Mes pas s'accomplissant sur les itinéraires d'un nouveau monde
Un bout de verger qui s'étend
Une terre à dorer de baisers
Un ciel à moissonner un univers à déchiffrer
Un petit troupeau que je dois promener tot
Quand trempée de rosée jouit la verdure sauvage
Une étoile en chant dans mes nuits illuminant
Mes pas s'accomplissant sur les itinéraires d'un nouveau monde
LE BOUQUET
21 février 2008 - 02:59
Loin de moi rose imaginer
Auprès de mon coeur butiné par de longs voyages et naufrages
Un peu de fraicheur comme le pollen l'abeille apporter
De l'horizon n'espérant de mon champ le crépuscule
Boire l'eau de jouvence que les effluves de sagesse des émeraudes
Non sans frémissement au loin perçus
Le roulement phosphorécent des lancinants tambours de la saison
Dés l'ores de la main crucifiée qui se soucierait
Surtout quand une créature aux seins dodus
Que le soleil comble encore de prodige
Qui loin de vivre l'automne ne se souvient du printemps
Fleurit le crime
BON VENT
21 février 2008 - 02:36
Va enfant de ta mère enfant de ton père
Fils de la haine de la plaine et des peines
Aucun ruisseau ne coule de mes yeux aveugles d'avoir tout vu
Donne-moi la main gauche et va
Héritier du troupeau et des saisons
Ton père donnait chaque fois la main du coeur
Partir à bon vent
Donne-moi ta main ta petite main d'enfant nu et va
Fils de la nuit du jour du vent de la terre
Je sens ni vide ni effroi ni froid
Dans les immenses champs de mon coeur labouré
Le soleil brille sous les tropiques
Enfant de la première et dernière pluie
Fils de la magie et des dieux va et ton corps avec
L'odeur rance et tenace de la belle et vieille cité
Enfant de ta mère mon enfant
Aussi loin que l'éclat des reves
Le culminant des montagnes
Au-delà de la mort de la résurrection
Enfant de ton père mon enfant
Revenir à bon vent
Fils de la haine de la plaine et des peines
Aucun ruisseau ne coule de mes yeux aveugles d'avoir tout vu
Donne-moi la main gauche et va
Héritier du troupeau et des saisons
Ton père donnait chaque fois la main du coeur
Partir à bon vent
Donne-moi ta main ta petite main d'enfant nu et va
Fils de la nuit du jour du vent de la terre
Je sens ni vide ni effroi ni froid
Dans les immenses champs de mon coeur labouré
Le soleil brille sous les tropiques
Enfant de la première et dernière pluie
Fils de la magie et des dieux va et ton corps avec
L'odeur rance et tenace de la belle et vieille cité
Enfant de ta mère mon enfant
Aussi loin que l'éclat des reves
Le culminant des montagnes
Au-delà de la mort de la résurrection
Enfant de ton père mon enfant
Revenir à bon vent
LA RAGE DE VIVRE
15 février 2008 - 05:55
Donne un peu de ton confort
Ton or
Un peu de ta flamme
Ton ame
Un peu de ton sein
Ton pain
Un peu de ton temps
Ton sang
Un peu de ta maternité
Ta vie
Donne un peu de ton art
L'éternité
Et tu connaitras
Un peu de ces immenses plaisirs
Dont peu d'hommes
En somme osent à peine rever
Ton or
Un peu de ta flamme
Ton ame
Un peu de ton sein
Ton pain
Un peu de ton temps
Ton sang
Un peu de ta maternité
Ta vie
Donne un peu de ton art
L'éternité
Et tu connaitras
Un peu de ces immenses plaisirs
Dont peu d'hommes
En somme osent à peine rever