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rughur

Inscrit(e) : 23 janv. 2008
Hors-ligne Dernière activité : mai 18 2008 11:58

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Ma seconde déclaration

16 mai 2008 - 01:24

Alors pourquoi cette attaque? Ma douce et moi aimons nous déclarer ici. En quoi est-ce pathétique? "Regardez comme j'écris bien..." serait un meilleur argument que "Regardez comme nous nous plaisons..."?

Crier l'Amour serai moins honorable
Que d'hurler comme un chien écrasé
Ma douce est adorable
Un bonheur à chanter

Mais si tu aimes
Ce que je t'souhaite,
Fait des poèmes,
Nom d'un poète !!


Rughur, Son Troll.

Dans la publication : Ma seconde déclaration

16 mai 2008 - 11:43

c'est pathétique ce besoin de dire aux autres que tu n'as personne.

Rughur, le Troll.

Dans la publication : LOVE-QUEST OVER ME.

10 février 2008 - 09:14

Je ne sais pas, il faudrait lui demander à elle...

Rughur, son Troll.

Dans la publication : Mes errances passées

10 février 2008 - 08:37

"L'heure de notre rencontre n'avait pas encore sonnée. Dieu en avait décidé ainsi. Nous n'étions peut-être pas près à ce moment-là. Nous avons gouté l'amère souffrance de nos absences mutuelle"...

Oh oui, je la goutais cette amère souffrance...
Au tout début, je te rêvais... Le serpent ne dormait que d'un oeil en moi, mais il me laissait néanmoins encore écrire cela :

Je révais une femme
Une compagne qui me soutienne
Dans les moments infâmes
quand s'insinue la haine.

J'avais juste ce qu'il faut
De désir en mon âme
Pour aimer sans défaut
Des tréfonds de ma flamme

J'avais juste ce qu'il faut
D'Amour et de Détresse
De Cœur et de Tendresse
Pour aimer sans défaut,
Une unique princesse.

Et je l'ai cherchée, cette amante... Loin et souvent...
Oh bien sur, j'ai rencontré nombres de femmes formidables, mais jamais ma douce et tendre poétesse...

Cette quète finissait par me sembler sans but... Je me disais qu'elle existait forcement, bien entendu... Mais que nos chemins ne devaient jamais se croiser...
Je l'imaginais cherchant et souffrant de son coté, et ne devant jamais me rencontrer, comme si nous vivions dans deux continuums imbriqués, mais pourtant inaccessibles... Comme si parfois, je pouvais juste la sentir et me rappeler le pourquoi quand nos corps se traversaient...

Je finissais par percevoir cet état de fait comme une malédiction, un sort inique, et même l'agnostique probabiliste que j'étais se sentait vidé de tout espoir.
Et j'écrivais alors :

Cet inaccessible rêve
Souille mes pas
Tant la route est brève.
Jusqu'au trépas.

Toi qui suce ma sève,
Muse vampire
Me donnera-tu ma trêve,
Que je respire...

Je croyais devoir renoncer... Le seul être qui pouvait me sauver de la haine... cessait déjà d'habiter mon futur... Le serpent commençait à se réveiller... Il me murmurait des choses à l'oreille, des choses que je croyais éteintes... Des choses que je pensais ne plus faire parti de moi... La violence et la colère revenait, j'étais prés à refaire ces mêmes choses sans états d'âmes... Et cette fois, je le savais, aucun rêve ne pourrait me sauver, ni sauver ceux dont le bonheur aurait eu le malheur de me déranger...

Déjà, je l'écrivais ainsi... Durement :

Amour... Ô mon Amour,
J'ai crucifié tes pas
Car je veux pour toujours
Me soustraire au trépas

Exil... Ô mon Exil,
Je n'ai place en vos vies
En vos joies inutiles
Je me fous de vos cris

Je vous croyais mes frères
Je te croyais ma sœur
Vous couvrez ma lumière
Mais pleurez mes lueurs

Je vous croyais mes frères
Je te croyais ma sœur
Regardez-moi si fier
Au prix de la douleur.


... Et puis, contre toute attente, alors que je n'y croyais plus... Alors que je ne cherchais plus... que je commençais à expérimenter le renoncement, tu es arrivée...
Ce fût :

Frémissante adorée
De mon cœur qui s'oublie
Je t'attends à l'orée
De nos futures nuits.

Je baisse la lumière
Et laisse faire le temps
Il connait son affaire
C'est l'affaire d'un instant

Je m'accorde à ta voix
Qui tant et tant résonne
Elle a pris place en moi
Je n'entends plus personne

Frémissante en mon rêve
De mon jour qui s'oublie
Je t'attends et je crève
De nos futures nuits...



Voilà... Moi, pauvre troll, j'ai essayé de raconter, l'attente et la rencontre de mon point de vue...
J'ai tenté de le faire en vers, puisque je ne sais pas faire grand chose d'autre... La poésie, c'est mes tripes... Et vous verrez, je vous le garanti, un jour, je finirai bouffé par les vers...

Rughur, son Troll.

Dans la publication : Pour quelle raison?!

10 février 2008 - 06:15

Mon amour,
Que pourrais-je te dire ? Comme si la logique et le bon sens pouvaient guèrir ce genre de tristesse... Tu n'es coupable de rien... bien au contraire, et le temps qu'il t'a connu, tu as fait pour lui ce que tu as su faire pour tous, ma chérie : Tu as illuminé sa vie...
Non, pas grand chose à dire... Sinon, te faire une promesse. Toute ma vie, je n'aurai qu'un but : te rendre heureuse, et tuer la tristesse, tuer la pâleur des jours futurs.
Je t'inonderai de bisous... Promis, ma tendre et douce.


Rughur, Ton Troll.