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elizabos

Inscrit(e) : 30 janv. 2008
Hors-ligne Dernière activité : févr. 15 2008 08:20

Publications sur Toute La Poésie

révolution

15 février 2008 - 08:20

A la gloire des héros
que tu sois révolutionnaire ou porte drapeau
ta voix trace le chemin
de ceux qui ont portés si haut
l' espoir d'un monde nouveau
de tes mains salit
tu portes le fardeau
de tout un peuple meurtrit
qui brisera l' enclos?
à l'echos de la révolte qui gronde
il est temps de sonner le glas
de la discorde naîtra le sursaut
mais n' oublie pas
toi qui croit en tes idéaux
que la bataille ne fait que commencer....

Ecorché vif

14 février 2008 - 04:00

Dans tes veines,rouge vif
Coule le sang,de l' écorché vif
De toute la peine
face à la haine,impuissant
Il reste l'espoir pourtant
Que l' on daigne un jour,se sentir vivant
Dans le regard de l'autre
Pour l' amour de son prochain
A qui la faute,si tout n 'est que mépris et chagrin
il suffirait simplement
De tendre une main
Ton coeur qui saigne
ne sera plus jamais le même
De ces prières inachevées
Tu cherche la vérité
Ta vérité
Ta place dans ce monde
Pour une autre humanité
La compassion n 'est pas un leurre
pour demain,devenir meilleur

sourire à la vie

30 janvier 2008 - 05:08

Il me semble si lointain
le temps de mes rires enfantins
à me chercher en vain
j'ai fini par dévier de ma route
tout ces chemins parsemés de doutes
qui ne mènent à rien,et qui me prend tout
le néant comme horizon
le vide comme seul ambition
qui pourrait faire taire toutes ces voix?
vendre mon âme au diable
rien n' est plus fort que ça
ma détresse comme unique allié
dans l'allégresse je voudrais m'évader
quand la lumière éblouira la noirceur de mon coeur
je n' aurais plus peur
pour qu'enfin cesse la douleur
libérée de mes chaînes
l' éternité comme refuge sacré
j' ai retrouvé ma liberté
l'oiseau s' est envolé....

le temps qui passe

30 janvier 2008 - 12:22

le printemps est enfin revenu
la brise du matin
effleure la rosée
qu'il est tendre de se laissé porter aux nus
par la chaleur qui s'insinue
au détour des arbres centenaires
la lumière éclaire
les feuillages ombragés
il y a quelque chose de moi
dans ces instants de plénitude
ou la vie semble
m'arracher à la solitude
mais la mélancolie me gagne
je divague,je chavire
demain,il faudra reconstruire
de mes certitudes
le plus beau des navires