Anass
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Publications sur Toute La Poésie
Au bar des inconsolables.
06 septembre 2009 - 02:18
Trinquant parmi les inconsolables,
Une seule lamentation prônait ;
Même retiré, seul à ma table,
Elle flagellait mon esprit sonné !
Me démarquant de cette engeance,
Atone, trouvant leur babillage,
N’était en fait ta longue absence,
Qu’ai-je à faire dans ces parages ?
Un brin alors je prends mes distances
Et me confectionne cette planque
Salubre pour dire : tu me manques !
SUCRE BLANC
01 septembre 2009 - 09:13
Sans but, traînant mes pas sur la plage,
Un beau soir, probablement de juillet
Calme, je voguais dans les parages
Rasséréné par mes rêves douillets
Et mes pas s’en faisaient d’autant plus lents !
Brillant, un étrange coquillage
Lacté gisait sur le sable mouillé,
Approchant le regard, agenouillé
Nonchalamment pour voir davantage :
C’était en fait un joli sucre blanc !
Un beau soir, probablement de juillet
Calme, je voguais dans les parages
Rasséréné par mes rêves douillets
Et mes pas s’en faisaient d’autant plus lents !
Brillant, un étrange coquillage
Lacté gisait sur le sable mouillé,
Approchant le regard, agenouillé
Nonchalamment pour voir davantage :
C’était en fait un joli sucre blanc !
Délectation narcissique
27 août 2009 - 01:16
Délectation narcissique
Des sentiers que ne citent les villageois
Entament des horizons voluptueux
Le désir dément s'en donnait à cœur joie
Enjolivant la déroute d'airs joyeux ;
Chemins qui vont se perdre dans l'inconnu
Tapi dans les yeux de jeunes passantes
Avenants, leurs corps parfois à moitié nus,
Truffent les lieux de hanches captivantes.
In extremis, me sauve ton souvenir,
Onde gracieuse régulant le plaisir
Nanti de noms plus intelligents alors !
Né à l'ombre des tes amours lesbiennes-
Avide délectation narcissique,
Rébus retors de mes tentations vaines,
Cet élan prend des allures saphiques ;
Indolente, ta belle chevelure
Surplombant ton visage si doucereux
Sème autant de sensations obscures
Ineffables comme mon rêve scabreux
Qu'importe !quand je cesserai de mourir,
Un jour où les astres boiront mes désirs
Eternellement unis seront nos corps !
Le 26/08/09
21h 52
Des sentiers que ne citent les villageois
Entament des horizons voluptueux
Le désir dément s'en donnait à cœur joie
Enjolivant la déroute d'airs joyeux ;
Chemins qui vont se perdre dans l'inconnu
Tapi dans les yeux de jeunes passantes
Avenants, leurs corps parfois à moitié nus,
Truffent les lieux de hanches captivantes.
In extremis, me sauve ton souvenir,
Onde gracieuse régulant le plaisir
Nanti de noms plus intelligents alors !
Né à l'ombre des tes amours lesbiennes-
Avide délectation narcissique,
Rébus retors de mes tentations vaines,
Cet élan prend des allures saphiques ;
Indolente, ta belle chevelure
Surplombant ton visage si doucereux
Sème autant de sensations obscures
Ineffables comme mon rêve scabreux
Qu'importe !quand je cesserai de mourir,
Un jour où les astres boiront mes désirs
Eternellement unis seront nos corps !
Le 26/08/09
21h 52
Corps céleste
01 août 2009 - 01:00
Ah qu'il est généreux et diligent,
Le soleil,illuminant l'espace,
Beau tel un homme très intelligent
Corps céleste débordant de grâce,
Si les pigeons fuient de peur des gens,
Grâcieux,il les ramène sur place!
Prénom
31 juillet 2009 - 08:42
IHSSAN.
Impulsifs, les mots boivent de la jouvence
Habitant ton regard altier et inquiétant,
Sortis de leur nuit, sans calcul, ils s’avancent,
Seule la douceur de ton visage les tend ;
A tes cheveux courts ils doivent leur aisance,
Nonobstant le désir qui les nourrit pourtant !
Le 18/07/09
Impulsifs, les mots boivent de la jouvence
Habitant ton regard altier et inquiétant,
Sortis de leur nuit, sans calcul, ils s’avancent,
Seule la douceur de ton visage les tend ;
A tes cheveux courts ils doivent leur aisance,
Nonobstant le désir qui les nourrit pourtant !
Le 18/07/09
