Aller au contenu

vang

Inscrit(e) : 23 févr. 2008
Hors-ligne Dernière activité : janv. 24 2010 08:42

Publications sur Toute La Poésie

True night, épisode II

12 août 2009 - 05:09

True night 2, bave de boxer bringé
Faut savoir par l'âme tranche
Rompre avec les fils du passé
Manteau noir avec capuche serrée
Le soir, à la recherche d'une autre foi
T'y vois plus clair, par manque de choix
T'es plus vraiment vraiment que toi
Cette bête fulminante ragée aux abois
L'autre créature compulsive d'un idiot
Ce n'est plus qu'un simple scénario
T'a donné dans l'extrême quiproquo

C'est true night, furie toxique tigrée
Une fracture oubliée qui te détraque
La nuit sâle au fond des phares
Tu pressens les phases de l'attaque
Tu marmonnes sans cesse une danse
Qui découpe de simples fragments
Virevoltant dans tes silences
Au seuil de ton outre impasse
T'aimerai savoir ce qui te tracasse
Tous ces esprits criblés qui passent
True night, éclairs et feu de fer
T'es passé de l'autre côté des cases
Une trame de vie de mec qu'est nase
Tu détales vite bien loin de ta base

Cerne la revanche d'une pure vengeance
Y'a plus de temps d'après pour l'apparence
Une pointe d'ocre perce les transparences

Dans la morsure glacée de l'oubli
Le cinglement sifflant prend la nuit
Chacun revient sur les pas de l'ennui
Thrue night et peur d'espoir avoir
Ah! Mais c'est fini, ce matin tout va bien
Il ya cette suite d'images confuses
Cette course vive des échos de la nuit

Tes yeux agrandis fixés d'empreinte
Scellés dans les mouvements enchaînés
Cette emboîtement des forces d'exclamation
La parade du doute et des interrogations
Puis l'absence, toujours ces absences
Ta vie à tournée à la série B noire
De mauvais épisodes doublés la NCHS.

Intemporeux, Contemporain, Surtemporel

29 juillet 2009 - 05:58

Si je mets un h à hulule
Peut-être que la chouette ésite?
Si j'écris peauésie
Peut-être mettrais-je un peu
D'os dans mon vin??
Je suis un foetus panné
Tel un poisson hors de l'eau.
Oui, un proto bébé paumé,
Mort-né du silverespace,,
Je vis dans vos mondes parrallélles.
Pour toute écharpe
Contre l'hiver frugale
Un gros cordon ombilical.
Auquel, tu restes pendu
Tel certain poète, peut-être, non-aître, à renaître.
Indémodable, un temporel, indomptable
Innomé, interminé, indéformable..
Fauvé à la bigarure, à demi-zébré
Hors tes temps, à contrario, à contre-temps §
Je me trompe souvent d'époque
Je suis un éléphant on the rock
Pourtant, ni de marbre, ni tout à fait de Pierre !
Même pas René, non !!
Intemporel, indémontable car
Je me confonds à tout les temps.
Tel la peau de camé Léon.
Stupéfié, stupéfiant, autoédifiant.
Poncif, ponce tout haut, percé poli, lénifiant..
Ne parlez plus dans l'hygaphone. T'es sourd? J'ai une panne de micro!
Résistant d'après-guerre, je suis de tout les combats.
Soldat d'arrière_garde, révolutionnaire de salon, pacifique en colère.
Inénarrable de poulain. Bon jus ment souvent. Je va le dire à ta mère!
J'ai la pensée infuse d'un Confucius confus
Thé et zen, même sauveur...
Tu aimes l'été, le thé, avoir tété, tes tétons, t'étais têtu,
Un têtu entêté en été, t'as bu ton thé?
Ton ton têtu nous rend obtus!!
Bref, par nature, on ne me saisit pas
Pas de T dans l'R tortuE, pas de retenue non plus §!??
Volatil d'essence, inflammable
mais incombustible et quel conque errant !!
Constellé, éthéré, hystérique
on me dit dit aussi éthylique :))
Mais du coma, je n'ai gardé que l'apensée anesthésique.
Un AVC de l'âme, si ça existe!!!
Un cadeau Kinder en kit. Mi-fugue, mi-raison.
Je joue au Je de l'oie sur un ruban de Moëbius avec un dé sphérique... :blink:
Et bis Répétita, etc, etc.
Rat d'eau? Je suis mon propre radeau
de l'hyperspace, musée de l'étrange,
où s' arrange votre air médusé.
Je parlais de qui déjà.
Ca parlait, de qui?, de quoi?
Trop tard! Quand m'étais-je croisé la dernière fois??
Va voir là-bas, si j'y suis, et si j'y reste
Sinon retour V vers le futur antérieur.
Bleus, noir et puis surtout l'espoir.





True night Episode I

22 juin 2009 - 08:16

Je me rappelle 00< cela est vrai
Ils m'avaient attaché, cruent 0elle ^^^^ enchaîné
J'étais devenu ''' trop corrrrrrrosif (j'errre conbiem d'r?), si nocif
Le sang vert coulait _-_-_-_ de mes veines ====
ViOlent, BrûlAnt et trop acide
Giclait de mes anciennes (((0))) blés sûrs
Nocturnement de la maison des souffrances
Dans les machineries à tête de MuNcH
Jâpementsss des cris étouffés ravalés
Enfermés avec d'autres homms animaux #####
Qui parfois aussi bOOuffis hUlUlaient
J'ai encore ; déjouE TouTes les aTTenTTionS (c'est les T)
Au ton tranchant coupé les entraves
Dévalé fit-ça la glissière ! des sécurités
Désormais passant innofensivement :) SLOWLY
Je me fonds dans l'affront de vosjungles sururbaines
Des fleurs mordntes de flash *** agitent mes pensées
Des visages explosés + en bouquey de fusée
Mon post iconique des images sacà dés de tremblamce
C'est ma nuit @@@@@, ma vraie nuit, sans bruit
§ It's true night ET Peur d'Spoir avoir §
(c'est pas comme ça que ca s'écrit)
Des âmes damnées @@@@@ perdues au fil d'ange des rues
Je marche taptaptip acrès les ombres sourdes
It's true night §§ ma vraie nuit
L'air chuintant des barquarolles emplissant les songes
Des panneaux pourpre nucléaires s'escklaffent
M'indiquant le sentier MoonWalk des Danaïïdes
It's true night, ailes reviennent ....
Fais, ce qui doit être fais, rappell-toi, KLMLMk
Il y ala suite des images confuses C
ette course vive dans les échos de la uit N
Et le cortège survibranT 7 des torpeurs
Des yeuXXX OO< agrandis fixxxés dents preintes
Puit, l'Abscence, tuojuors cest l'Abscance
Je ne fais pas >>> de Meaux cette fois !!!
Ce matin juste KC très fatigué C
e matin toukours ce saignement de nez
Qui ne veut plus s'arrêter
Et les yeux encore au pied du lit
Mai (Juin) je crois + que rien n' pu se passer
En vérité, je me le rappelerai, QUOI ////?




Birdy

09 juin 2009 - 06:44

Au-delà de son firmament égaré
Retiré jusqu'à l'essence substantielle
La chevelure parée de poussières constellées
Lui, l'être plongeant fort à contre-ciel
Dans une béatitude à frapper des tambours
Des déraisons dans l'apparence souveraine
De ses mains simplement posé lourd
Regard campé fâce aux ardeurs hautaines
Surplombant son visage au voile diaspré
Il, sans rien dire, il, nous sidère
Et ceux qui niaisement le considèrent
Par l'extravagance en lui-seul réunie
Comme un benêt simple et démuni
Disparaissent à sa vue aussi rapidement
Que de son oeil aguerri, le vif clignement
C'est que réfugié retourné en lui-même
Comme un roi dignement en son trône
Ne peut ignorer les diadèmes
L'aveuglant pouvoir de ses icônes
L'indifférence absolue à la sensation
L'imbrication confuse de toute perception
Lui, l'autre à part, autiste trépané en son génie
Et nous pensons, nous les "ayants" qu'il n'est que désuni
Lui, oublie plongeant franc à contre-ciel
La chevelure parée de poussières contestées
Retiré jusqu'à l'essence substantielle
Au_delà, de son firmament d'évitement épuré


PS: Hommage à "Birdy" et aux apnéistes de l'extrême...








VANG HOUSE

17 mai 2009 - 11:48

J'habite dans une forêt
Loin, loin, loin
Une grande maison
Sombre, Sombre, Sombre
Derrière de hautes grilles
Pointues, Pointues, Pointues
Avec des carreaux
Sales, Sales, Sales
Des portes craquées
Cassées, Cassées, Cassées
Au-dessus vol des corbeaux
Noirs, Noirs, Noirs
Criards et Criards
Et tard le soir
On entend Ha! Ha! Ha!
Des enfants qui hurlent
Zap! Zap! Zap!
Et moi je fais du rap, rap, rap
En hommage aux histoires
D'ombre, D'ombre, Sombres
J'ai quelques voisins Zinzins Zinzins Zinzins
Mêchants, cruels et mesquins
Sont de mauvais Gore, Gore, Gore
Et gare à l'humain §§§§
Et Tard Tard Tard
L'été, T'étais où et toi?
On grille de la viande
De truc très mort
Rouge, Rouge, Rouge
Et buvons du vin, blanc, blanc et pétillant
Jusqu'à la nuit noire, soir, suie
Quand les chauves sourient
On sourit aussi hi, hi
Car on est Si cruelsss
Qu'on creuse un tunnel
Long, Long, Long
Comme une Trompe, Trompe, Trompe
Pour effrayer les éléphants
Fants, fants, t'es fan?
Parfois mon gnool aboie
C'est un griffon géant
Puant, puant, huant
Il rabbat les passants Ouwa, Ouwa (c'est parce qu'il aboie à l'envers...)
Lorsqu'on s'ennuie vraiment
Astrâme Drame Pique et Pique et Collécrane
On en choisit un au hasard
Et on le découpe en milles morceaux
Pas que beaux, non pas que beaux
Mais on se marre, Bonsang de Bonsang !
Et avant le départ tétard, tétard
On le recolle à l'envers
C'est fendant de le faire, d'Enfer, d'Enfer
Quand on est tous bourrés
Ohé Ohé Ohé Ohé
On se met à crier, hurler
ET l'on fait un boucan horrible
Quand on est tous abattus Pan Pan

On rentre chez soi
Parce qu'on est à deux pas
Faut tourner la poignée
Et se coucher vachement

Et en haut de ma sordide maison
Deux chambres biscornues
Petites, petites, petites
Où je séquestre deux pauvres diables
Pâle, Sales, Pâles

Car j'hurle en ricanant tout le temps
Fouettant des murs ma queue fléchée
Enfin je gargouille d'une voix cassée
LUMIERE !!!
Tout à tout s'éteind
Et ... c'est la nuit sans
Fin, fin, fin
Jusqu'au lendemain Tiens Tiens ??
La maison s'endort
Au nord, nord, nord
Et ferme ses stores fort, fort
C'est ... VANG HOUSE
in village sans gare
Où, où, où §§§
(Dans la forêt profonde immonde immonde)



Merci à une collègue pour l'inspiration
Merci aux voisins
Et merci à de courageux amis pour la fête monstrueuse dans Vanghouse.
Alors je le dis je vous aimerci. :angry: non :) (Oui comme ça)