A l'aube de la nuit,
Un joyeux soir d'automne
Deux inconnus perdus
Ne comptant pour personne,
Masquèrent sous une étreinte,
Un consentement intime.
A l'aube de leur vie,
Ils conclurent un accord
Complices à l'infini,
Ils unirent leurs deux corps,
Décidant sans raison,
De se moquer du sort.
pom2ter
Inscrit(e) : 26 mars 2008Hors-ligne Dernière activité : avril 08 2008 10:29