les vagues ni les années
submerge au grain révolue
des ondes bouscule le japon
au gré des impostures.
Imberbe u manga
lucide infirma
trotte et butine a l hêtre
d un n 'importe quoi
aride
limpide sure mes doigts
crie d un sommeil fragile
un couteau planté dans un bras
larme agile marie
tournoiement du crille tous les ans
hurle dans les habimes
une fleure
ce desabile
au étales incredules
porté par le vent.
mais main lassairé
chrispe mais années
affable sans histoire
qand coure le vent
trinité
sur mons corp une sucube
dannée
pétale efleuré
une bombe vien d exploser
fragile endormie
le soleil il ne voi
juste au symphonie
comme 123
pure
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Publications sur Toute La Poésie
trou
12 mars 2011 - 05:33
oba
04 novembre 2008 - 11:38
Mas vie
au bon vouloir de qui de quoi
d 'un cri
au aveux pour dieu
croire ?
pieux veux d 'érudit
prude symphonie
j'aime mais qui ?
ludique louanges lueur dans des yeux
qui n'ont que leur imprudences
pour pleurer
au cris des inconsciences
pour rêver
voluptes indifférences
et crever
sans conscience
d'être né
au nouveau monde
qu 'il n'est pas si dur d'imaginer
Je n'en peut plus de donner des images
qui ne me vont plus
je me rappelle
du peut qui me fait encore rêver
un pas après l'autre
d'un souffle en souffle
ce rapprocher assé
avant de disparaitre
aimer
ton non la rose
au bon vouloir de qui de quoi
d 'un cri
au aveux pour dieu
croire ?
pieux veux d 'érudit
prude symphonie
j'aime mais qui ?
ludique louanges lueur dans des yeux
qui n'ont que leur imprudences
pour pleurer
au cris des inconsciences
pour rêver
voluptes indifférences
et crever
sans conscience
d'être né
au nouveau monde
qu 'il n'est pas si dur d'imaginer
Je n'en peut plus de donner des images
qui ne me vont plus
je me rappelle
du peut qui me fait encore rêver
un pas après l'autre
d'un souffle en souffle
ce rapprocher assé
avant de disparaitre
aimer
ton non la rose
2005 déjas
30 avril 2008 - 03:18
donne le fruit fin des délicueux matins
corps contre corps
dans l'étreinte de nos vie
valses des vaisselles sales
et s'égare les calessons dans le lit
pouette chouette
tu est dans mes bras
et j'aime ce monde
je ne sais pas pourquoi
mais encore plus avec toi
encore à mes coté faire quelques pas
jouir de ces instants
que demain ne nous prendras
ho oui j'aime quand je te prend
par la main et que tu souri
et quand les feuilles tombes sur la place d'italie
le ciel semble plus claire
le temps parrait claiment
les aurores verdissent les cieux
dans la violence du gris et du noir
dans les coeurs il y à comme un mirroire
tu est et je suis double
main dans la main
encor un peut
plus et plus encore
à corps à âmes égales
à croire et à croie
plus pour toi
à coeurs
écrits
à joie
plus pour moi
à vie
valses
vaguabonde
délisses
ce lit sen sonettes
au marres et ris des êtres
délicats
je suis moi
et prait à tout
avec toi
au mats ton dieu est mort
au mats je ri
au rales j'appreille
et sourri
à la vie
R.B 2005
corps contre corps
dans l'étreinte de nos vie
valses des vaisselles sales
et s'égare les calessons dans le lit
pouette chouette
tu est dans mes bras
et j'aime ce monde
je ne sais pas pourquoi
mais encore plus avec toi
encore à mes coté faire quelques pas
jouir de ces instants
que demain ne nous prendras
ho oui j'aime quand je te prend
par la main et que tu souri
et quand les feuilles tombes sur la place d'italie
le ciel semble plus claire
le temps parrait claiment
les aurores verdissent les cieux
dans la violence du gris et du noir
dans les coeurs il y à comme un mirroire
tu est et je suis double
main dans la main
encor un peut
plus et plus encore
à corps à âmes égales
à croire et à croie
plus pour toi
à coeurs
écrits
à joie
plus pour moi
à vie
valses
vaguabonde
délisses
ce lit sen sonettes
au marres et ris des êtres
délicats
je suis moi
et prait à tout
avec toi
au mats ton dieu est mort
au mats je ri
au rales j'appreille
et sourri
à la vie
R.B 2005
insultes
30 avril 2008 - 01:34
tes putes
qui te gache la vie ::::
ta grosse putin de pute de grosse vache de fosse merde
puante qu'une bovine irlandaise à chier en benlieu franssiliaine
qui ne cherchai qu'a ce qu'on ce quitte pour mieu t'avoir ici
en france et qui à tout fait pour que l'on ce sépart
et qui n'est rien comparé
à cette angrossé par un putoi marchant de merde américaine
sodomisé par une tope extropié qui est la plus putesque de tes relation
pour qui tu ne devrai plus avoir même un souvenire qui à détruit tous !!!
qui te gache la vie ::::
ta grosse putin de pute de grosse vache de fosse merde
puante qu'une bovine irlandaise à chier en benlieu franssiliaine
qui ne cherchai qu'a ce qu'on ce quitte pour mieu t'avoir ici
en france et qui à tout fait pour que l'on ce sépart
et qui n'est rien comparé
à cette angrossé par un putoi marchant de merde américaine
sodomisé par une tope extropié qui est la plus putesque de tes relation
pour qui tu ne devrai plus avoir même un souvenire qui à détruit tous !!!
abîme
30 avril 2008 - 01:16
les vents soufles au coeurs profonds
des êtres sans aucune âme
des couleures rouges sang
on des audeurs qui s'enflame.
Etre coloré à tu selement une âme ?
Dous coquon qui m"entaille,
je me meure, m'enivre
d'une vie de givre.
Caverneux moments
ou un crane ce meure
ce mouvoie et leure
la vie en ces instants.
Le grand goufre est bien la...
Courire la vie et mourire à la foie
les portes souvre
un frissont parcoure
mes instants de grouve
c'est la fin du son j'accoure
muet et crédible
dans l'entre ireverssible
je m'abîme.
des êtres sans aucune âme
des couleures rouges sang
on des audeurs qui s'enflame.
Etre coloré à tu selement une âme ?
Dous coquon qui m"entaille,
je me meure, m'enivre
d'une vie de givre.
Caverneux moments
ou un crane ce meure
ce mouvoie et leure
la vie en ces instants.
Le grand goufre est bien la...
Courire la vie et mourire à la foie
les portes souvre
un frissont parcoure
mes instants de grouve
c'est la fin du son j'accoure
muet et crédible
dans l'entre ireverssible
je m'abîme.