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pure

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Publications sur Toute La Poésie

trou

12 mars 2011 - 05:33

les vagues ni les années

submerge au grain révolue

des ondes bouscule le japon

au gré des impostures.

Imberbe u manga

lucide infirma

trotte et butine a l hêtre

d un n 'importe quoi

aride

limpide sure mes doigts

crie d un sommeil fragile

un couteau planté dans un bras


larme agile marie

tournoiement du crille tous les ans

hurle dans les habimes

une fleure

ce desabile

au étales incredules

porté par le vent.

mais main lassairé

chrispe mais années

affable sans histoire

qand coure le vent

trinité

sur mons corp une sucube

dannée


pétale efleuré


une bombe vien d exploser


fragile endormie

le soleil il ne voi


juste au symphonie


comme 123

oba

04 novembre 2008 - 11:38

Mas vie

au bon vouloir de qui de quoi

d 'un cri

au aveux pour dieu

croire ?

pieux veux d 'érudit

prude symphonie


j'aime mais qui ?


ludique louanges lueur dans des yeux

qui n'ont que leur imprudences

pour pleurer

au cris des inconsciences

pour rêver

voluptes indifférences

et crever

sans conscience

d'être né

au nouveau monde

qu 'il n'est pas si dur d'imaginer

Je n'en peut plus de donner des images

qui ne me vont plus


je me rappelle

du peut qui me fait encore rêver

un pas après l'autre

d'un souffle en souffle

ce rapprocher assé

avant de disparaitre

aimer

ton non la rose

2005 déjas

30 avril 2008 - 03:18

donne le fruit fin des délicueux matins

corps contre corps

dans l'étreinte de nos vie

valses des vaisselles sales

et s'égare les calessons dans le lit

pouette chouette

tu est dans mes bras
et j'aime ce monde
je ne sais pas pourquoi
mais encore plus avec toi

encore à mes coté faire quelques pas

jouir de ces instants

que demain ne nous prendras

ho oui j'aime quand je te prend
par la main et que tu souri

et quand les feuilles tombes sur la place d'italie

le ciel semble plus claire
le temps parrait claiment

les aurores verdissent les cieux
dans la violence du gris et du noir

dans les coeurs il y à comme un mirroire
tu est et je suis double

main dans la main
encor un peut

plus et plus encore

à corps à âmes égales
à croire et à croie

plus pour toi

à coeurs
écrits
à joie

plus pour moi

à vie
valses
vaguabonde

délisses
ce lit sen sonettes
au marres et ris des êtres
délicats

je suis moi
et prait à tout
avec toi

au mats ton dieu est mort
au mats je ri

au rales j'appreille
et sourri

à la vie

R.B 2005

insultes

30 avril 2008 - 01:34

tes putes

qui te gache la vie ::::


ta grosse putin de pute de grosse vache de fosse merde

puante qu'une bovine irlandaise à chier en benlieu franssiliaine

qui ne cherchai qu'a ce qu'on ce quitte pour mieu t'avoir ici

en france et qui à tout fait pour que l'on ce sépart


et qui n'est rien comparé

à cette angrossé par un putoi marchant de merde américaine

sodomisé par une tope extropié qui est la plus putesque de tes relation

pour qui tu ne devrai plus avoir même un souvenire qui à détruit tous !!!

abîme

30 avril 2008 - 01:16

les vents soufles au coeurs profonds

des êtres sans aucune âme

des couleures rouges sang

on des audeurs qui s'enflame.


Etre coloré à tu selement une âme ?

Dous coquon qui m"entaille,

je me meure, m'enivre

d'une vie de givre.

Caverneux moments

ou un crane ce meure

ce mouvoie et leure

la vie en ces instants.

Le grand goufre est bien la...

Courire la vie et mourire à la foie

les portes souvre

un frissont parcoure

mes instants de grouve

c'est la fin du son j'accoure

muet et crédible

dans l'entre ireverssible

je m'abîme.