Méandres de sentiments.
Un soir perdu dans la pénombre,
Essayant de fuir mon ombre
Pourchassant mes vestiges du passé
Mais à 21ans, mon âme reste brisée
Sur un long fil j avances
Mais pas à pas ma vie danse
Et m envoie valser en tous sens
Je reste je m agrippe
Car il est temps que je résiste
Les baisers, les sourires, les caresses
Ces choses me semblent vieillir
Ta peau, ton tempérament
Pourtant ca fait longtemps,
Je te jure, toi et moi j ai fait le deuil
D une histoire fusionnelle
Mais la maintenant, lorsque je reviens dans le présent
Je me sens bien seule
Notre histoire était belle et passionnelle
Sur ce mince fil, j essaie de maintenir mon équilibre
Mais au moindre soufflement je tomberai
Comme un bateau en tempête qui chavire
Dans un tourbillon de sensations
Positives ou négatives je me laisserai engloutir
Oui j ai eu d autre hommes
Oui j ai effleure d autres peaux, senti d autres odeurs
Embrasser d autres lèvres, caresser d autres corps
Mon cœur a de maintes reprises vibre et chavire
D autre sens j ai goute
Mais toi y a rien à faire t es encre
Marque comme à l indélébile
Qu’il serait bon de te revoir
Histoire d être au courant de la vie
De l homme que j ai le plus aime
Vraiment j ai besoin de me souvenir
Du temps ou ma fougue et mon insouciance
Me dominait royalement, intégralement
Plus belle j étais, plus sauvage aussi
Fidele a mes idéaux, bravant l autorité
Voulant rester libre de mes mouvements
Est- ce tout cela que tu as aime chez moi ?
Mon caractère enflammé et entier
Oui je pense et moi aussi, c est ce qui m a plu chez toi
Ton indépendance, ta beauté racée
Même ton arrogance me faisait craquer
Mais lorsque nous étions tous les deux seul dans l hémisphère
Patient tu devenais, tendre, romantique, compréhensif
Et puis ta fougue, cette commune envie de s évadé
Une trop grande soif de liberté
Bon, le parfum de nostalgie me quitte
Mais on se retrouvera
Car dans les méandres des sentiments, les histoires ne finissent jamais. Le 09/10/2006 Liège
sydge
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méandre de sentiments
30 avril 2008 - 01:43
vague a l ame
30 avril 2008 - 01:40
Deux heures du matin et je te revois au loin
Un sourire, deux yeux très bruns, m’invitent à revenir dans le passé
5ans c est déjà si loin et pourtant t’es ancré
Une histoire unique et irréelle qui m’ensorcelle encore
Ta peau, ces mille frissons ressentis, ce million d’émotions
Un millier de larmes versées
Des milliards de regards qui nous ont soudés dans un espace
Qui a prit forme et nous a abandonnés
Ces bois, ces lacs ou nous nous sommes fusionnés
Pensant être unis et scellés pour l’éternité
Mais la réalité nous a vite rattrapés
Elle a gagné mais je conserve ces journées
Encrés au fond de moi, préservant ces souvenirs
Comme un trésor, et partant encore a sa recherche
Je suis jeune et pourtant, mon âme est en veille
Elle restera a jamais blessée du manque de toi
Un dixième de seconde a suffi, un jeu de regards
Et débuta notre belle histoire
Juste quelque mois ou je n ai vécu que pour toi
Voila a quoi aimer peut se résumer parfois…
Un sourire, deux yeux très bruns, m’invitent à revenir dans le passé
5ans c est déjà si loin et pourtant t’es ancré
Une histoire unique et irréelle qui m’ensorcelle encore
Ta peau, ces mille frissons ressentis, ce million d’émotions
Un millier de larmes versées
Des milliards de regards qui nous ont soudés dans un espace
Qui a prit forme et nous a abandonnés
Ces bois, ces lacs ou nous nous sommes fusionnés
Pensant être unis et scellés pour l’éternité
Mais la réalité nous a vite rattrapés
Elle a gagné mais je conserve ces journées
Encrés au fond de moi, préservant ces souvenirs
Comme un trésor, et partant encore a sa recherche
Je suis jeune et pourtant, mon âme est en veille
Elle restera a jamais blessée du manque de toi
Un dixième de seconde a suffi, un jeu de regards
Et débuta notre belle histoire
Juste quelque mois ou je n ai vécu que pour toi
Voila a quoi aimer peut se résumer parfois…
Vie,volée
30 avril 2008 - 12:50
Fait le lundi 7 janvier 2008 à 1 h 04.
Vie Volée, Enfance Arrachée.
Deux yeux sombres scrutent la nuit,
Effrayés de ce qu'ils découvrent.
La peur, la souffrance, les cris,
La vie est loin d'être tendre par ici.
Et dès son plus jeune âge,
La vie lui ouvre son éventail d'horreurs.
Né dans un pays en guerre,
Il ne peut que regarder saisi d'angoisse et apeuré.
Ne lui a-t-on pas dit, les hommes sont gentils mon chéri?
Lui qui n'a pas choisi de vivre ici,
Se demande pourquoi les hommes s'entretuent?
Et pourquoi tout le monde à faim?
Et pourquoi leurs corps sont ensanglantés?
Telles sont les questions que se posent un gosse de 6 ans!
Tout ça pour des opinions et des combats qui ne le visent pas,
Et dont il ne devrait même pas connaître l'existence à son âge.
Il n'est pas seul, ils sont des milliers à payer le prix de la haine des hommes,
Qui sont a l'origine de ce chaos.
Dont il est une victime parmi tant d'autres,
La hargne et les divergences des hommes se nourrissent de sang.
Alors que pour lui, gambader aisément sans risque de mourir serait un rêve,
Pouvoir vivre ses heures d'enfants insouciants.
Mais des bombes et des morts l'ont propulsé dans un monde d'adultes,
Son regard triste vague d'un corps déchiqueté à un autre.
D'un mur taché de rouge à un autre,
Une couleur qui en d'autres circonstances symbolise l'amour.
Avançant dans ce bain de sang il croisa et entendit,
Des regards apeurés, des hurlements de douleur, des cris, des insultes.
Sa peau mate est couverte de poussière blanche,
Qui proviennent des briques du mur que l'on vient de faire exploser a ses côtés.
A cet enfant là et à tous les autres j'aimerai leur dire,
Que la haine et la souffrance ne résout rien.
Et qu'il ne doit jamais prendre ce chemin,
Qu'il existe un monde ou d'autres paysages paisibles et d'autres visages respirent la bonté.
Et seront capable de panser ses plaies physiques et psychologiques bien plus douloureuses,
Car les fêlures de l'âme sont profondément encrées.
Qu'il doit garder espoir en la race humaine.
Car il n'à côtoyé jusqu'a ce jour que les rebus de la société,
Et si il survit, qu'il utilise ce vécu dramatique à bon escient.
Et peut-être ce gamin parviendra t-il à conserver son innocence,
Et à maîtriser sa rébellion et sa rage contenue.
A lui, que je visualise parfaitement grâce aux journaux et reportages,
Tenez bon et gardez espoir.
Je te l'accorde, cela m'est facile à dire mais c'est le seul mot,
Qui pourra te permettre de tenir au péril de ton enfance et de ta jeunesse.
Moi, qui écris ces lignes de Belgique où la guerre ne fait pas rage,
J'ai une pensée pour toi et si un jour il m'est donné l'honneur de t'aider.
De quelque façon que ce soit et bien je te le promets, j'agirai dans la mesure de mes moyens,
Naturellement je n'ai pas le pouvoir de révolutionner le monde, mais y penser est déjà précieux.
A vous orphelins, victimes, vous à qui les hommes ont arraché vos sourires, vos vêtements, vos parents et a l'occasion vos membres,
Je pense à vous
Vie Volée, Enfance Arrachée.
Deux yeux sombres scrutent la nuit,
Effrayés de ce qu'ils découvrent.
La peur, la souffrance, les cris,
La vie est loin d'être tendre par ici.
Et dès son plus jeune âge,
La vie lui ouvre son éventail d'horreurs.
Né dans un pays en guerre,
Il ne peut que regarder saisi d'angoisse et apeuré.
Ne lui a-t-on pas dit, les hommes sont gentils mon chéri?
Lui qui n'a pas choisi de vivre ici,
Se demande pourquoi les hommes s'entretuent?
Et pourquoi tout le monde à faim?
Et pourquoi leurs corps sont ensanglantés?
Telles sont les questions que se posent un gosse de 6 ans!
Tout ça pour des opinions et des combats qui ne le visent pas,
Et dont il ne devrait même pas connaître l'existence à son âge.
Il n'est pas seul, ils sont des milliers à payer le prix de la haine des hommes,
Qui sont a l'origine de ce chaos.
Dont il est une victime parmi tant d'autres,
La hargne et les divergences des hommes se nourrissent de sang.
Alors que pour lui, gambader aisément sans risque de mourir serait un rêve,
Pouvoir vivre ses heures d'enfants insouciants.
Mais des bombes et des morts l'ont propulsé dans un monde d'adultes,
Son regard triste vague d'un corps déchiqueté à un autre.
D'un mur taché de rouge à un autre,
Une couleur qui en d'autres circonstances symbolise l'amour.
Avançant dans ce bain de sang il croisa et entendit,
Des regards apeurés, des hurlements de douleur, des cris, des insultes.
Sa peau mate est couverte de poussière blanche,
Qui proviennent des briques du mur que l'on vient de faire exploser a ses côtés.
A cet enfant là et à tous les autres j'aimerai leur dire,
Que la haine et la souffrance ne résout rien.
Et qu'il ne doit jamais prendre ce chemin,
Qu'il existe un monde ou d'autres paysages paisibles et d'autres visages respirent la bonté.
Et seront capable de panser ses plaies physiques et psychologiques bien plus douloureuses,
Car les fêlures de l'âme sont profondément encrées.
Qu'il doit garder espoir en la race humaine.
Car il n'à côtoyé jusqu'a ce jour que les rebus de la société,
Et si il survit, qu'il utilise ce vécu dramatique à bon escient.
Et peut-être ce gamin parviendra t-il à conserver son innocence,
Et à maîtriser sa rébellion et sa rage contenue.
A lui, que je visualise parfaitement grâce aux journaux et reportages,
Tenez bon et gardez espoir.
Je te l'accorde, cela m'est facile à dire mais c'est le seul mot,
Qui pourra te permettre de tenir au péril de ton enfance et de ta jeunesse.
Moi, qui écris ces lignes de Belgique où la guerre ne fait pas rage,
J'ai une pensée pour toi et si un jour il m'est donné l'honneur de t'aider.
De quelque façon que ce soit et bien je te le promets, j'agirai dans la mesure de mes moyens,
Naturellement je n'ai pas le pouvoir de révolutionner le monde, mais y penser est déjà précieux.
A vous orphelins, victimes, vous à qui les hommes ont arraché vos sourires, vos vêtements, vos parents et a l'occasion vos membres,
Je pense à vous