Tétras

-Oeil de chat-Oeil de chienne
Les petites Parisiennes.
-Leur Perssiennes;
Monté sur ma clé de laine;
Danse..O délicieux ressort
Graissé dans ces lymbes d'or

-Oeil de chat-Oeil de chienne.
Les petites Parisiennes
Elles aiment-les mensonge.-
Leur cerveau?-une éponge.
Ou ma langue de fiel plait à glisser
Des sucreries,des mensonges;Clarté
De ceux qui bien plus profond;obsédé
Par les formes de ces hybrides femelle
Par leur jambes,sucre des canelles
Par leur regard,mi chatte mi chienne..
Elle on l'irise les parisiennes
D'un tons fuyant et soumis
-Elle aiment-glisser dans nos lits
Les parisiennes
Plus chaste et plus pieuse
Q'une chrétienne
Leur masse argileuse
Mi chaude mi tiéde
Gonfle et fuis de tous ces remous.
-Ces doigts- qui aident-.
-Ma verge rentre dans leur mous-

Oeil de chatte-Oeil de chienne
O combien magicienne
-Main habile et certaine
Ou du long nos queus tiennent
Dans les remous du poignet vigoureux
Avide d'en tirer le jus laiteux.

Oeil de chat-Oeil de chienne
Les petites parisiennes...

Au large de la défense,
Habite un pouce bruni.
Ces six-métres de faillance
S'éleve vers le midi.
Son ongle miroir,
Refléte les passant
-Eux irons choir!-
Dans des tombeaux charmant.
Mais pour lui,
Tant que se couchera le soir.
Infini,
Il tronera sous le ciel noir.

Les massifs du nuage noir et blanc,
Volumineux;
Navire opaque qui va filtrant,
Les larges cieux.
-Fumant de mousse blonde
Habillé de robe longue
Teinté de rose-bleu,
S'en va paisible et stoïque.
Les vents porte ses voeux.