II
Ö combien de grâces,
Dames,
Vous donnerais-je pour approcher,
Vos corsages d' ébène et sentir,
Sous vos dentelles de soie et vos coiffes dorées,
Les douces effluves du poison et mentir,
A ma propre pensée:
"Dangereuse tu es, prudent je resterai"
Mais je ne peux résister
A vos robes de roses ,
Dames,
Brodées sur vos chairs par un simple flacon,
Et vous promet ma vie,
Mon coeur et mon âme,
Dames,
Que je mourrai du regard sur vos bas de nylon.
jubajuba
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