Solitude et paresse
Seul au milieu de la nuit,
Près de la Gare du Midi,
D'un pas hésitant sans élan,
Je marche en vous imaginant.
Sombres et vides sont les rues,
Rare passant paraît peu connu,
Tristesse dans l'obscurité amère,
Solitude dans la ville, misère.
Les secondes passent, puis les minutes,
Les heures suivent pas de tût, tût,
Le ciel se noircit de plus en plus,
Reste l'espoir du matin, Ã plus.
yüksel
Inscrit(e) : 20 mai 2008Hors-ligne Dernière activité : juin 16 2008 09:47