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Forêts...
Champs, collines et prairies
Dépotoir de l'humanité
Mélange d'air, d'eau, et de saleté
Les forêts geignent
Les oiseaux dans leurs chants se plaignent
Des comportements irresponsables
Déplacés, inhumains, blâmables
La terre, les cieux et l'air,
Enveloppés dans un linceul gris
Dans un linceul noir
Leurs mots crient des maux
Il faut les écouter
Laisser respirer les ressources naturelles
En faire des richesses immortelles.
Bousnina Imane
BousninaImane
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Publications sur Toute La Poésie
Une plainte
07 décembre 2008 - 06:54
Raison d'écrire
07 décembre 2008 - 06:53
J'écris de la poésie pour ne pas crier mes maux, mes joies non plus, mais pour les sentir vivants, pour me rappeler bien qu'hier était sévère avec moi.
J'écris de la poésie pour taire mes émotions.
J'écris de la poésie pour boire à la rosée des vers, respirer la rigueur des syllabes et emprunter le charme des rythmes.
J'écris de la poésie pour acclamer la "Victoire" d'Hugo, cueillir "Les fleurs" de Baudelaire, ressentir "L'amour" d'Eluard, voguer dans "Les bateaux" de Rimbaud, et flâner dans les "Forêts" de Jabranne.
J'écris de la poésie pour embrasser la lumière en pleine obscurité, et boire de la source magique jusqu'à satiété.
Bousnina Imane
J'écris de la poésie pour taire mes émotions.
J'écris de la poésie pour boire à la rosée des vers, respirer la rigueur des syllabes et emprunter le charme des rythmes.
J'écris de la poésie pour acclamer la "Victoire" d'Hugo, cueillir "Les fleurs" de Baudelaire, ressentir "L'amour" d'Eluard, voguer dans "Les bateaux" de Rimbaud, et flâner dans les "Forêts" de Jabranne.
J'écris de la poésie pour embrasser la lumière en pleine obscurité, et boire de la source magique jusqu'à satiété.
Bousnina Imane
Les deux paysages
30 novembre 2008 - 08:52
Jours et nuits
Quels ennemis !
Quelle guerre de couleurs !
Leurs lumières décevantes
Me rappellent la nudité des routes
Ah ! Si j'avais des ails
Je survolerai toutes ces montagnes
Qui habitent la ville
Je parlerai aux nuages
Et même à la lune
J'éclipserai les rayons de soleil
Avec mes ails
Et je volerai près de l'aigle
Je meublerai la les étoiles de ma douceur
…
Je m'éclipserai comme je m'éclipse
Bousnina Imane
Quels ennemis !
Quelle guerre de couleurs !
Leurs lumières décevantes
Me rappellent la nudité des routes
Ah ! Si j'avais des ails
Je survolerai toutes ces montagnes
Qui habitent la ville
Je parlerai aux nuages
Et même à la lune
J'éclipserai les rayons de soleil
Avec mes ails
Et je volerai près de l'aigle
Je meublerai la les étoiles de ma douceur
…
Je m'éclipserai comme je m'éclipse
Bousnina Imane
Une plainte
19 novembre 2008 - 10:00
Forêts…
Champs, collines et prairies
Dépotoir de l'humanité
Mélange d'air, d'eau, et de saleté
Les forêts geignent
Les oiseaux dans leurs chants se plaignent
Des comportements irresponsables
Déplacés, inhumains, blâmables
La terre, les cieux et l'air,
Enveloppés dans un linceul gris
Dans un linceul noir
Leurs mots crient des maux
Il faut les écouter
Laisser respirer les ressources naturelles
En faire des richesses immortelles.
Bousnina Imane
Le mouvement d'un homme
05 novembre 2008 - 07:15
Il marche inconnu sous le ciel et la pluie
Toute sa richesse a disparu sans bruit
Son âme contemple l'infini
Et son coeur palpitant s'est endormi.
Perdu...Il court de désert en désert
Derrière un destin amer, amant de sa misère
Il implore son bonheur qui le fuit
Implore son Dieu son Ame et son Esprit
Ses belles fleures se sont fanées
Son obscurité continu
Et ses peines ne cessent de s'amplifier
Peut à peut son regard s'évanouit
Peut à peut son souffle s'enfuit.
Bousnina Imane
Toute sa richesse a disparu sans bruit
Son âme contemple l'infini
Et son coeur palpitant s'est endormi.
Perdu...Il court de désert en désert
Derrière un destin amer, amant de sa misère
Il implore son bonheur qui le fuit
Implore son Dieu son Ame et son Esprit
Ses belles fleures se sont fanées
Son obscurité continu
Et ses peines ne cessent de s'amplifier
Peut à peut son regard s'évanouit
Peut à peut son souffle s'enfuit.
Bousnina Imane
