Wastheart

Le monde est un tissu de mensonges
Tes seins des fruits de saison
Mon cerveau a la consistance d'une éponge
Texture de mes émotions
Le désir est un songe
Pisser dans un violon
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Le jour viole la nuit qui le voile
Quand je dors je rêve que je suis éveillé
Couché sur le papier les sentiments se dévoilent
Dans le sanctuaire du sommeil désirs et craintes sont délivrés
…
L'espoir caresse la désillusion qui l'étouffe
Chronologie à la mémoire spatialisée
Tout les visages des statues souffrent
Témoignent d'une histoire pétrifié

…
La pluie tombe par terre et le ciel c'est mes yeux
Le sol c'est ma chair
Mais c'est ton sang qu'il pleut

…

Il y à des pensés sombres et obselletes
Là ou l'esprit se perd entre rêve et réalité
au bord du monde qui pèse toutes les têtes
penché au dessus du mystère exalté
...
Tu sais petite, les phrases du "poète"
C'est un peu comme les fleurs, dans les pots en béton armé
La confiance reste muette
C'est du coeur que vient le soleil qu'on veut voire briller
...
C'est vrai que la terre est sale
(Charnier politico industriel de l'histoire) l'Homme est un salaud
Mais t'es belle dans ta robe estivale
Rouge comme les autres coquelicot
...
D'une rive a l'autre du voyage
Entre bicyclette et paquebot
A travers des milliers d'images
et les fantômes de nos héros
Avant qu'on est eu un âge
et qu'on se répertorie dans les numéros

Responsable de l'ordre d'une cage
il n'y a qu'un pas qu'il s'en faut
...
Aucun enfants n'est plus sage
tous ont choisis la vie pour de faux
...
Je revois encore ce mirage
qui vacille dans l'air évaporé
Le soleil embrase le paysage
de mes espoirs décolorés
...
Désolé comme les ruines de ma rage
j'avance d'un pas désoeuvré
vers les espaces ou se dispersent les nuages
là ou j'aspire à la paix
...
J'ai tout perdu dans ce désert, sur cette plage
Mémoire et identité
petite fille aide moi a retrouvé la marge
celle qui distingue rêve et réalité
...

Un bon tien vaut mieux que de fouetter un chat

J'ai pas la jambe dans ma poche

Mais bien une langue de bois

La nuée de reproches, et nos deux tu l'auras

C'est la peur qui rend moche,

Je donne la parole aux abois !

Je gâche mon cœur

Ne me parle pas du sens de la vie

Du joug de la mort

Et de toutes ces conneries



Je veux juste rire

Et le bouquet d’impressions

Que le sens propre se figure

Le temps n’est qu'émotions



Le futur c’est maintenant

Cette fille il me la faut

Je m’ fou d’être cohérent

J’ai le monde sur le dos



Compris par l’art et la science

Mais le sentiment de la vie

Si l’angoisse est intense

La passion est infinie