Dans ce bouquet de fleures
Comme tu le vois il y a mon cœur
En semblâtes pantoufles de poète
Il est allé faire cueillette
Sur le sentier de l’amour florissant
Le plus beau langage fleurissant
Lilas mauve, marguerite blanche, lys, myosotis
Un petit soupçon de tige de narcisse
Giroflée rouge, gueule de loup
Daigne excuser ce cœur fou
Gauche et un peu bête
Plein d’Œillets de poète
De Géranium, de Jonquille, de lierre
Le bouquet parfait de la splendeur
Mais le baroque du surprenant
Dans la risée de l’inconvenant
Mon cœur a jeté les fleures
Pour s’offrir en fleure
En bouquet d’amour
A toi pour toujours.
cordial56
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Le bouquet de mon cœur
12 juillet 2008 - 07:39
Viens mon cœur
10 juillet 2008 - 12:46
D’un pas boiteux mon cœur
Tirant le boulet des souvenirs
A qui parler, Ã qui dire
Le pesant de son malheur
Je cèle ses grosses béquilles
Le confine, le parfume et le maquille
En pitre paillasse tout sourire bas d’un grand nez
De l’amusant sous le bonnet
Je lui enfile tant de fil et des patins
Je farde le gauche de son crétin
Le fais barde d’amour et de plaisir
Et le pousse au présent et à son avenir
Mais il ne fait que revenir
C’est fichtrement trop je n’en peux plus.
C’est fichtrement trop je n’en veux plus.
De ce cœur couard et gueux
Qui se veut la buche de ton feu
Tirant le boulet des souvenirs
D’un amour avorté il y a longtemps
Un amour dans le figé de l’horloge du temps
De mon cœur écœuré
Je viens te pleurer
Dis lui l’ombre d’une chose
Tu es la belle, il est la chose
Sans toi il n’y a ni printemps, ni de rose
Que du mourant, que du morose
Il me pleure, je le pleure
Viens mon tendre, viens mon cœur
Nous irons, ensembles et tous les deux
Vivre l’histoire d’autres amoureux
Nous serons bien tranquilles, bien heureux
Viens mon cœur, viens mon tendre
Je ne fais que t’attendre.
Tirant le boulet des souvenirs
A qui parler, Ã qui dire
Le pesant de son malheur
Je cèle ses grosses béquilles
Le confine, le parfume et le maquille
En pitre paillasse tout sourire bas d’un grand nez
De l’amusant sous le bonnet
Je lui enfile tant de fil et des patins
Je farde le gauche de son crétin
Le fais barde d’amour et de plaisir
Et le pousse au présent et à son avenir
Mais il ne fait que revenir
C’est fichtrement trop je n’en peux plus.
C’est fichtrement trop je n’en veux plus.
De ce cœur couard et gueux
Qui se veut la buche de ton feu
Tirant le boulet des souvenirs
D’un amour avorté il y a longtemps
Un amour dans le figé de l’horloge du temps
De mon cœur écœuré
Je viens te pleurer
Dis lui l’ombre d’une chose
Tu es la belle, il est la chose
Sans toi il n’y a ni printemps, ni de rose
Que du mourant, que du morose
Il me pleure, je le pleure
Viens mon tendre, viens mon cœur
Nous irons, ensembles et tous les deux
Vivre l’histoire d’autres amoureux
Nous serons bien tranquilles, bien heureux
Viens mon cœur, viens mon tendre
Je ne fais que t’attendre.
Enseignement
08 juillet 2008 - 07:03
On m'a appris la liberté
On m'a appris la dignité
On m'a appris la fraternité
On m'a appris légalité
L'amour et ses passions
La modestie, la compassion
Je ne peux oublier
Ignorer, bafouer
Mes livres et cahiers
Loyauté, respect y sont aussi
On m'a appris à dire merci
On m'a appris a faire don
De sourires et de pardon
On m'a appris tant de vertus
Sans le besoin de qui es tu
On m'a appris le cœur immense
Débordant d'amour et de clémence
C'est sur ce petit banc d'écolier
Que j'ai appris ce que vous niez
Par Adem et Eve sur terre
Les Hommes naissent frères
Sans différence qu’importent les traits
Qui font la beauté de celui qui crée
Qu'importe tout et de la couleur
Le commun idéal est le bonheur.
Le bonheur de l'humanité entière
Sans discrimination ni barrière
J'ai appris à chasser tout mal
A respecter jusqu’a l'animal
J'ai du fond du cœur et l'âme appris
Ce qui semble être pour vous incompris
Enseignement d'innocents enfants
Qui exhibent même par le chant
L'amour et la liberté
L'innocence et la dignité
Le cœur plein de passion
Dans ces longues dissertations
Aux sujets divers égalité des Hommes
La fraternité entre eux qui trône
J'ai appris le monde magnifique
Que d'amour sans politique
J'ai appris tant et trop l'introuvable
Il n'y a que l'inconcevable
Il y a le sang, le feu et les guerres
De frontières et faite la terre
Les Hommes ne sont ni égaux ni frères
Quand le racisme dans les cœurs s'enracine
Quand la haine aiguise dans la chaire des canines
De sang est fait l'arc en ciel
Des bombes… la mort pleut du ciel
Des rockets, des mines, des missiles
La race humaine se calcine
De grands projets se dessinent
Pour l'or noir et d'autres profits et avantages
Aux pires carnages on se livre
Je préfère reprendre mes cahiers et mes livres
C'est de leur nectar que je veux vivre
De mon cœur mon prochain je te fais appel
Donnes moi la main la vie est belle
Qu'importe l'âge
Reprenant cet innocent apprentissage
D'écoliers innocents
Pour que cesse l'effusion du sang
Viens, donnes moi la main
Nous ne faisons qu'un…
Nous sommes les Hommes
Arrêtez la guerre je vous en prie
Elle orpheline, elle estropie les âmes, elle tue
On m'a appris la dignité
On m'a appris la fraternité
On m'a appris légalité
L'amour et ses passions
La modestie, la compassion
Je ne peux oublier
Ignorer, bafouer
Mes livres et cahiers
Loyauté, respect y sont aussi
On m'a appris à dire merci
On m'a appris a faire don
De sourires et de pardon
On m'a appris tant de vertus
Sans le besoin de qui es tu
On m'a appris le cœur immense
Débordant d'amour et de clémence
C'est sur ce petit banc d'écolier
Que j'ai appris ce que vous niez
Par Adem et Eve sur terre
Les Hommes naissent frères
Sans différence qu’importent les traits
Qui font la beauté de celui qui crée
Qu'importe tout et de la couleur
Le commun idéal est le bonheur.
Le bonheur de l'humanité entière
Sans discrimination ni barrière
J'ai appris à chasser tout mal
A respecter jusqu’a l'animal
J'ai du fond du cœur et l'âme appris
Ce qui semble être pour vous incompris
Enseignement d'innocents enfants
Qui exhibent même par le chant
L'amour et la liberté
L'innocence et la dignité
Le cœur plein de passion
Dans ces longues dissertations
Aux sujets divers égalité des Hommes
La fraternité entre eux qui trône
J'ai appris le monde magnifique
Que d'amour sans politique
J'ai appris tant et trop l'introuvable
Il n'y a que l'inconcevable
Il y a le sang, le feu et les guerres
De frontières et faite la terre
Les Hommes ne sont ni égaux ni frères
Quand le racisme dans les cœurs s'enracine
Quand la haine aiguise dans la chaire des canines
De sang est fait l'arc en ciel
Des bombes… la mort pleut du ciel
Des rockets, des mines, des missiles
La race humaine se calcine
De grands projets se dessinent
Pour l'or noir et d'autres profits et avantages
Aux pires carnages on se livre
Je préfère reprendre mes cahiers et mes livres
C'est de leur nectar que je veux vivre
De mon cœur mon prochain je te fais appel
Donnes moi la main la vie est belle
Qu'importe l'âge
Reprenant cet innocent apprentissage
D'écoliers innocents
Pour que cesse l'effusion du sang
Viens, donnes moi la main
Nous ne faisons qu'un…
Nous sommes les Hommes
Arrêtez la guerre je vous en prie
Elle orpheline, elle estropie les âmes, elle tue
Terre
07 juillet 2008 - 09:01
Rien ne va en honneur plus haut que la cheville
Ni le nectar mûr des femmes ni le bourgeon de filles
Ni le riche de la richesse ni le précieux du magot
Ni la beauté de la splendeur ni le stupéfait du beau
Ni les impératrices, les reines et les princesses
Les divins, les divines, les monarchies et les altesses
Elle a allaité l’ensemble ; même les hypocrites et les ingrats
Bonjour ma bienfaitrice chérie, bonjour patcha Mama
De tout genre les lobbys
De tout genre les obus
De tout genre les fourbis
Par le feu et par le sang
Par l’horrible de l’indécent
Guerres, injustice et misère
Que de vastes souffrances sur terre
Les Usa, le G Huit Paris Bruxelles
Que de plumes politiques sans les ailes
De tout genre les cétacés
Viennent sur les rives s’entasser
Ils ont marre, ils en ont assez
Un autre suicide collectif
Le devenir de la terre est craintif
Elle est toute fièvre réchauffement climatique
Ma mère meure Hommes de bardas et politiques
On la brule, l’empoisonne et de tout la déracine
On la dénude au profond de ses entrailles et calcine
Son âme. Sans mouche à qui ôte et qui ôtas
Les congres sans goulet sans culot n’en finissent pas
Du Brésil au Kyoto Consensus de pas d’accords
Ma mère meure touchez, sentez, vivez son corps
Nombreuses adorables belles espèces
Au quotidien de l’existence disparaissent
Dans les profits les conflits qui attisent
La fin du monde sans surprise se précise
L’air est lourd, les pluies sans tacite sont acides
Modernisme de l’ingrat et du Cupide
Le temps perd la notion de sa règle
Même les saisons pour ces raisons se dérèglent
Dites-moi calamités Hommes de misère
Que seront nos enfant sans Patcha Mama notre mère
Que seront les Hommes sans la terre
Que sera notre devenir, juste passé sans avenir
Venez, venez Hommes de passion et de conscience
La terre est le précieux de l’existence
Venez, venez Hommes de grand cœur
Semez les roses, semez les fleures
Vivons pour le bonheur de la terre
Ni le nectar mûr des femmes ni le bourgeon de filles
Ni le riche de la richesse ni le précieux du magot
Ni la beauté de la splendeur ni le stupéfait du beau
Ni les impératrices, les reines et les princesses
Les divins, les divines, les monarchies et les altesses
Elle a allaité l’ensemble ; même les hypocrites et les ingrats
Bonjour ma bienfaitrice chérie, bonjour patcha Mama
De tout genre les lobbys
De tout genre les obus
De tout genre les fourbis
Par le feu et par le sang
Par l’horrible de l’indécent
Guerres, injustice et misère
Que de vastes souffrances sur terre
Les Usa, le G Huit Paris Bruxelles
Que de plumes politiques sans les ailes
De tout genre les cétacés
Viennent sur les rives s’entasser
Ils ont marre, ils en ont assez
Un autre suicide collectif
Le devenir de la terre est craintif
Elle est toute fièvre réchauffement climatique
Ma mère meure Hommes de bardas et politiques
On la brule, l’empoisonne et de tout la déracine
On la dénude au profond de ses entrailles et calcine
Son âme. Sans mouche à qui ôte et qui ôtas
Les congres sans goulet sans culot n’en finissent pas
Du Brésil au Kyoto Consensus de pas d’accords
Ma mère meure touchez, sentez, vivez son corps
Nombreuses adorables belles espèces
Au quotidien de l’existence disparaissent
Dans les profits les conflits qui attisent
La fin du monde sans surprise se précise
L’air est lourd, les pluies sans tacite sont acides
Modernisme de l’ingrat et du Cupide
Le temps perd la notion de sa règle
Même les saisons pour ces raisons se dérèglent
Dites-moi calamités Hommes de misère
Que seront nos enfant sans Patcha Mama notre mère
Que seront les Hommes sans la terre
Que sera notre devenir, juste passé sans avenir
Venez, venez Hommes de passion et de conscience
La terre est le précieux de l’existence
Venez, venez Hommes de grand cœur
Semez les roses, semez les fleures
Vivons pour le bonheur de la terre
Plutôt bête rien de poète
04 juillet 2008 - 06:56
Je n’ai as choisi
De broder de la poésie
Je n’ai rien d’un brodeur de mots
Je n’ai que peine et maux
Je m’avoue gauche et bête
Pour épouser l’âme du poète
Le vaste de ma détresse
Est ma grande faiblesse
Ce cœur frileux et fragile
Qui me fait gauche et débile
Qui me noie de pleures
Ce cœur que je pleure
Il me fait mal, il me chagrine
Bien trop grand pour ma poitrine
Très lourd à porter
Très pénible a supporter
J(ai beau lui dire penses a toi
Ne serait ce que pour une fois
Prends tes couleurs, laisses ta palette
Disparaitre aux couleurs de la palette
Pour une fois... Juste toi et moi
Epousant ensemble la joie
Fais le juste par reconnaissance
En gage je te cède tous mes sens
Juste pour une fois
Mon cœur pense à moi…
Il est fou, sa folie est grande
Il se prend pour le cœur du monde
Ma vie s’ébranle et se casse
Mon cœur m’isole et se cache
Drôle de reconnaisse, il se fâche
Je n’ai point l’ombre du poète
Je m’avoue gauche et bête
Si le cœur tisse les mots
C’est pour soulager ses maux.
De broder de la poésie
Je n’ai rien d’un brodeur de mots
Je n’ai que peine et maux
Je m’avoue gauche et bête
Pour épouser l’âme du poète
Le vaste de ma détresse
Est ma grande faiblesse
Ce cœur frileux et fragile
Qui me fait gauche et débile
Qui me noie de pleures
Ce cœur que je pleure
Il me fait mal, il me chagrine
Bien trop grand pour ma poitrine
Très lourd à porter
Très pénible a supporter
J(ai beau lui dire penses a toi
Ne serait ce que pour une fois
Prends tes couleurs, laisses ta palette
Disparaitre aux couleurs de la palette
Pour une fois... Juste toi et moi
Epousant ensemble la joie
Fais le juste par reconnaissance
En gage je te cède tous mes sens
Juste pour une fois
Mon cœur pense à moi…
Il est fou, sa folie est grande
Il se prend pour le cœur du monde
Ma vie s’ébranle et se casse
Mon cœur m’isole et se cache
Drôle de reconnaisse, il se fâche
Je n’ai point l’ombre du poète
Je m’avoue gauche et bête
Si le cœur tisse les mots
C’est pour soulager ses maux.