Au Printemps
Des matins et des choses
L'horizon qui repose
En retard de l'heure.
J'en ai fait ma raison
J'en ai fait ma saison
J'en ai fait ma maison
J'en ai fait des douleurs
Des éclats sans éclats
La tristesse à revendre
En poème à cracher
Ce que coûte le coeur
Mais demain j'oserai
J'oserai le printemps
Une fleur inventée
Des Marquises d'aimer
Des Baisers Girouettes
Et la Rose des Vents
Des matins et des choses
L'horizon qui repose
En retard de l'heure.
J'oserai l'impossible
Sous l'écorce la sève
Comme un arbre qui rêve
Aux morsures d'aimer
Quand tu montres tes dents
J'oserai tous les sables
L'eau le vin et la terre
Un printemps jamais vu
Une source à ton chant
Ruisselante de toi
J'oserai qu'un printemps
Une parole nue
Dans des désirs voyous
Lorsque l'hiver s'en va
Aux matins et aux choses
L'horizon qui repose
J'oserai l'autre cœur
J'en ferai ma raison
J'en ferai ma saison
J'en ferai ta maison
J'en ferai des douceurs
La virgule à mon style encensé de scandale
Les couleurs à genoux
Où le temps vient mouiller en baiser sous ta voix
J'oserai l'invisible en un ciel de voyance
Une orchidée fantôme
A des Roses jalouses comme des filles en pleur
Aux matins et aux choses
Pour qu'une heure repose
En un lit de douceurs
Ton sourire aux éclats
A ta lèvre à jamais
En poème à aimer
Ce que coûte le coeur
beotien
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Au Printemps
30 août 2008 - 10:34
Ma pas aimée toujours
25 août 2008 - 10:01
Ma pas aimée toujours
A toi que j'ai rencontré là , au hasard d’une halte, à l’autre bout du jour où pleurent mes musiques…
Comme une image en stéréo
Aux nuits sans lit, qui se dénudent.
Comme en allé au bout de tout, avec ma bohème et mon style.
Comme en allé sous ton étoile, nos phrases ouvertes d’infortune.
Comme un baiser.
Comme un cadeau …
Juste là , contre toi, au touché de ta voix, qui me résonne en chanson triste.
Comme un matin s’en va prier de se lever vers d’autres pôles, un soleil plein de toi...
Pour un seul mot de toi, penché des solitudes…
Toi et pourtant si loin, aux portes d’autres terres, qu’à chaque coin du ciel, des épingles fleurissent…
Ce sont bien mille oiseaux emportant sous leurs ailes, nos mémoires volages, vaste vers l’océan...
A toi, que j'ai rencontré là !
Que je ne connais pas
Qui ne me connais pas
A toi, ma pas colère
Ma pas d'histoire
Ma pas touchée
Ma pas rêvée, d'amour...
A toi…
Ma pas collée
Ma pas caresses
Ma pas tout ça… Ma pas aimée toujours
De toi, le soir, sans toi, j’en meurs un peu quand même,
De toi, les nuits sans toi, où s’en va la tendresse, un sourire moqueur
C’était pas difficile de t’aimer qu'un seul jour
A toi que j'ai rencontré là , au hasard d’une halte, à l’autre bout du jour où pleurent mes musiques…
Comme une image en stéréo
Aux nuits sans lit, qui se dénudent.
Comme en allé au bout de tout, avec ma bohème et mon style.
Comme en allé sous ton étoile, nos phrases ouvertes d’infortune.
Comme un baiser.
Comme un cadeau …
Juste là , contre toi, au touché de ta voix, qui me résonne en chanson triste.
Comme un matin s’en va prier de se lever vers d’autres pôles, un soleil plein de toi...
Pour un seul mot de toi, penché des solitudes…
Toi et pourtant si loin, aux portes d’autres terres, qu’à chaque coin du ciel, des épingles fleurissent…
Ce sont bien mille oiseaux emportant sous leurs ailes, nos mémoires volages, vaste vers l’océan...
A toi, que j'ai rencontré là !
Que je ne connais pas
Qui ne me connais pas
A toi, ma pas colère
Ma pas d'histoire
Ma pas touchée
Ma pas rêvée, d'amour...
A toi…
Ma pas collée
Ma pas caresses
Ma pas tout ça… Ma pas aimée toujours
De toi, le soir, sans toi, j’en meurs un peu quand même,
De toi, les nuits sans toi, où s’en va la tendresse, un sourire moqueur
C’était pas difficile de t’aimer qu'un seul jour
Anonyme
24 août 2008 - 06:00
Anonyme
Me voilà sous ton voile
Comme un astre s'avance
Dans le tiède et le tendre
Ton rêve dévêtue
Au soleil de tes nuits...
D'interdits qui s'inventent
Nous nous sommes tant cherchés …
Impudiques absolus
Mille fois des pensées...
Sous tes robes infantes
A mon pas… Dissolue…
Sous ton épaule nue
Le jeu de tes foulards
Et des peurs amantes
Mon souffle sur ton cou
Aveuglante ingénue
Mon étrangère à moi
Et des lèvres savantes...
Mon esclave et soumise…
Tu ne m'as jamais vu
Bien sûr… Je t'ai pensé
Dans le mauve et le tendre
Rebelle d'un sourire...
Une larme défendue
Bien sûr…A nos baisers
Dans le bleu d'une chambre...
Indocile... Amoureuse…
Tu ne m'as jamais lu
A présent dans le noir
Qu'une nuit se lamente
Tu me viens dans un rêve…
Étrangère inconnue
Dans mes mains mon amour...
Dans mes gestes qui tremblent...
Dans mon coeur Anonyme…
Tu ne l'as jamais su
Me voilà sous ton voile
Comme un astre s'avance
Dans le tiède et le tendre
Ton rêve dévêtue
Au soleil de tes nuits...
D'interdits qui s'inventent
Nous nous sommes tant cherchés …
Impudiques absolus
Mille fois des pensées...
Sous tes robes infantes
A mon pas… Dissolue…
Sous ton épaule nue
Le jeu de tes foulards
Et des peurs amantes
Mon souffle sur ton cou
Aveuglante ingénue
Mon étrangère à moi
Et des lèvres savantes...
Mon esclave et soumise…
Tu ne m'as jamais vu
Bien sûr… Je t'ai pensé
Dans le mauve et le tendre
Rebelle d'un sourire...
Une larme défendue
Bien sûr…A nos baisers
Dans le bleu d'une chambre...
Indocile... Amoureuse…
Tu ne m'as jamais lu
A présent dans le noir
Qu'une nuit se lamente
Tu me viens dans un rêve…
Étrangère inconnue
Dans mes mains mon amour...
Dans mes gestes qui tremblent...
Dans mon coeur Anonyme…
Tu ne l'as jamais su
Comme une alliance...
23 août 2008 - 08:49
Comme une alliance...
Quand vient battre à la nuit sous nos soleils fondus
Au deuil de nos gestes aux secondes perdues
Cette partie de nous en sommeil à la traîne
A l’autre bout du jour…
Un seul sang dans nos veines
Où va jusqu’à ta lèvre un souffle qui s’allonge
L’eau de tous tes baisers… l’érosion de tes songes
Du « Yes » sur ta bouche à me laisser sans voix
Mes mains en vagues douces…
Jusqu'au bout de mes doigts
Quand l’aube te fait blanche à mes yeux aveuglés
Au vitrail de toi s’allumant au passé
Où nos langues muettes emportaient tous les mots
En folles vaguelettes… En toi…
Comme un écho
A ma peau à ta peau où brûlait mon destin
Au germe d’une fièvre à noyer ton chagrin
Cette fêlure en nous à nouer du désir
Comme une lettre ouverte… En toi…
Et même pire
Aux jours qui chaque jour sans cesse se souviennent
Des cris de ton amour qui flotte dans le vent
Aux pleurs de ton chant l’albâtre de ta peine
Aux fleurs d’une pierre
Où passeront les gens
Au dernier rendez-vous ruisselant mes « je t’aime »
A tes lettres gravées de l’or et de ton sang
Qui me diront sans voix tous les mots que l’on sème
Comme une alliance « A toi… » Tout simplement
Quand vient battre à la nuit sous nos soleils fondus
Au deuil de nos gestes aux secondes perdues
Cette partie de nous en sommeil à la traîne
A l’autre bout du jour…
Un seul sang dans nos veines
Où va jusqu’à ta lèvre un souffle qui s’allonge
L’eau de tous tes baisers… l’érosion de tes songes
Du « Yes » sur ta bouche à me laisser sans voix
Mes mains en vagues douces…
Jusqu'au bout de mes doigts
Quand l’aube te fait blanche à mes yeux aveuglés
Au vitrail de toi s’allumant au passé
Où nos langues muettes emportaient tous les mots
En folles vaguelettes… En toi…
Comme un écho
A ma peau à ta peau où brûlait mon destin
Au germe d’une fièvre à noyer ton chagrin
Cette fêlure en nous à nouer du désir
Comme une lettre ouverte… En toi…
Et même pire
Aux jours qui chaque jour sans cesse se souviennent
Des cris de ton amour qui flotte dans le vent
Aux pleurs de ton chant l’albâtre de ta peine
Aux fleurs d’une pierre
Où passeront les gens
Au dernier rendez-vous ruisselant mes « je t’aime »
A tes lettres gravées de l’or et de ton sang
Qui me diront sans voix tous les mots que l’on sème
Comme une alliance « A toi… » Tout simplement
Des Mains
22 août 2008 - 11:08
Des Mains
Des mains comme des ombres
Ces ombres que l'on porte aux bout de l'invisible
Des mains comme une issue
Comme un possible lien
Comme un attachement
Des mains raccommodant nos lèvres d’impossible
A recoudre le temps derrière les ossements.
Des mains comme des phrases et les mots que l’on pense
Ces mots que l’on suppose au creux d'un sentiment
Des mains comme une rime aux paroles qui dansent
Des mains comme des voiles un bateau sous le vent
Des mains comme des voix ces voix comme des cris
Les nuits rongées des peurs à ces mains qui nous mentent
Et qui miment les pleurs de nos larmes sans bruit
Ces mains comme la mer dans nos vagues de nuit
Ces mains pour nous vêtir d'amour que l'on proclame
Des mains comme un poème aux portes de secours
Des mains comme un regret dans les yeux d’une femme
Qui aime ou vous condamne à force de détours
Ses mains comme l’on donne en silence son âme
Que l’autre n’entend pas…
Que l’autre ne sait pas.
Ces mains pour se laver, du tranchant d’une lame
Ces mains rouges de sang, qu'on saigne et que l'on coupe
Qu'un juge s'Entribune
Au nom d'une autre cour
Des mains comme des ombres
Ces ombres que l'on porte aux bout de l'invisible
Des mains comme une issue
Comme un possible lien
Comme un attachement
Des mains raccommodant nos lèvres d’impossible
A recoudre le temps derrière les ossements.
Des mains comme des phrases et les mots que l’on pense
Ces mots que l’on suppose au creux d'un sentiment
Des mains comme une rime aux paroles qui dansent
Des mains comme des voiles un bateau sous le vent
Des mains comme des voix ces voix comme des cris
Les nuits rongées des peurs à ces mains qui nous mentent
Et qui miment les pleurs de nos larmes sans bruit
Ces mains comme la mer dans nos vagues de nuit
Ces mains pour nous vêtir d'amour que l'on proclame
Des mains comme un poème aux portes de secours
Des mains comme un regret dans les yeux d’une femme
Qui aime ou vous condamne à force de détours
Ses mains comme l’on donne en silence son âme
Que l’autre n’entend pas…
Que l’autre ne sait pas.
Ces mains pour se laver, du tranchant d’une lame
Ces mains rouges de sang, qu'on saigne et que l'on coupe
Qu'un juge s'Entribune
Au nom d'une autre cour