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macha

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Publications sur Toute La Poésie

Au flot de ton sang, il bouillone

19 septembre 2009 - 09:43

Au flot de ton sang, il bouillonne

Quand ta tendresse sa porte
M’ouvrira, J’irai m’y réfugier
Comme un éternel obsédé
Du bonheur couché sur mes yeux

Je viendrai prendre ta délicatesse
Comme le trésor d’une déesse
Qui m’offrirai son luxueux paradis
Là où les amours vivent l‘infini

Je me coucherai sur tes bontés
Dans le silence de tes secrets
Pour émerveiller ma lucidité
De t’aimer, fou de ta beauté

Je glanerai sur ton corps ébahi
Les fruits de ton amour vrai
Perles de plaisirs démesurées
Quand ton corps m’offrira l’inouï

Il est des couleurs inhabituelles
Qui offrent de nouvelles ardeurs
Quand tes yeux me les déposent
Au fond de mon cœur trop joyeux

Les pulsions de ton cœur enjoué
Battent au tempo de ma tendre folie
Elles se joignent au doux creux
De ma pensée soudain libérée

Elle te crie ces mots trop beaux
Ils coulent sereins en tes veines
Au flot de ton sang ; il bouillonne
Sur l’air de mes violents je t’aime
☼₣€

nous nous aimons

18 septembre 2009 - 05:26

Nous nous aimons

Du fond de mon cœur
J’ai excité ton désir
Pour là t’offrir
Caresse de ma douceur

Gai j’ai stimulé
Tes yeux d’azur
Pour que purs
Ils éclairent ma beauté

Le velouté de mes doigts
A enfiévré ta douce peau
Caresses sans pas faux
Pour t’étourdir sous mon toit

Premiers petits baisers
Pour révolter ta sagesse
Quand ton intimité
Fut tombé dans l’ivresse

Et ton corps vers l’exil
Du bonheur est allé
Se coucher sur la réalité
De mon cri : Te plait-il !

J’ai passionné ton amour
Pour me donner encore plus
Don de soi toujours nu
Pour habiller chacun de mes jours


Comme une tête brulée
Je suis venu violenter
Ma sagesse à t’aimer
Pour ne plus avoir à t’oublier

Exalté me voilà près de toi
Quand je voudrai pour toi et moi
Que Le bonheur en notre amour soit
Un fruit doux que l’on porte en soi

Que murisse cœur fanatique
Notre amour comme clique
Où se progressent les cantiques
Pour trouver notre parfait authentique

Emotifs allons sages vers l’éternité
Cachés dans tous nos beaux secrets
L’amour ne pourra jamais nous quitter
Tant nos cœurs sorciers se sont alliés
☼₣€

re!

17 septembre 2009 - 06:25

merci chers amis
pour votre visite et vos commentaires

je ne doute pas que chaque écrit ne puisse pas plaire à tout le monde
cela porrait être pris comme un vouloir de supériorité
on critique pour mieux se faire admirer
un peu comme le top modèle qqui critique sa collegue pour etre elle meme être mieux apprécier
j'avoue cela peu marcher, mais cela de toute façon n'a q'un temps
la supercherie se dévoile toujours un jour
je l'ai toujour dit j'aime la critique constructive, celle du questionnement
maus certss pas celle quand simplemet on dit ce n'est pas bon
car cela peut l'être pour soi même mais pas pour l'autre
alors faut il donc relativiser

amiti poetique

tikalo

Arpèges à quatre rimes

17 septembre 2009 - 10:34

Arpèges à quatre rimes

S’offrent quatre rimes utiles
Trouver sur le sable d’une ile
A la promenade de bons amis
Qui comme moi aime poésie

O toi belle poésie
Ma douce amie
A mon envie qu’il est utile
De t’avoir sur mon ile

Cette pensée si utile
Qui au loin de cette ile
Chante belle poésie
Elle berce tous nos amis

O mes très sages amis
Ecoutez-la, soyeuse poésie
Elle vient là, de mon ile
Toujours présente au matin utile

Ô que Belle est votre ile
Et Je m’y sens bien utile
Quand l’aime tous mes amis
Celle ! Qui est belle poésie

Car de mes yeux il n’est d’ile
Où se trouvera toujours utile
D’écrire votre charmante poésie
Pour le bonheur de tous nos amis
☼₣€

Oui: Ton monde je l'aime

16 septembre 2009 - 02:58

Oui ! Ton monde je l’aime

J’ai visité le monde
Tout y était joli
Tout y était inouï
Ses collines j’ai franchi
Elles étaient infinies
Leurs pitons étaient établis
Je m’y étais mis à l’abri
Esprit reposé dans ce paradis
Je visite ton monde
Tes collines dans leur nu
Parcouraient ta saine vertu
Que mes yeux ont touché têtus
Et sur leurs pitons bien trop purs
Je m’y suisalors perdu
Aux pensés de mon corps ingénu


Le soleil brillait
Les paysages senteurs étaient
Où les fruits murissaient
On les cueillait à l’été
Pour les savourer
Comme pêches rêvées
Ton soleil m’émerveille
C’est ton été qui s éveille
Quand ton paysage est merveille
Où ton fruit me surveille
Pour que d’amour vrai je le cueille
Et toujours t’aimer pareil
Au péché amoureux de l’éveil
Où ton amour m’accueille


Oui! Ce monde je l’aimais
Je lui disais je t‘aime
Comme un trésor de la nature
Que l’on voudrait garder pur
Souvenir de mon esprit qui s’assure
Oui! Ton monde je l’aime
Et Je te dis je t’aime
Comme à perle de culture
Que je veille trésor de tes yeux azur
Dans mon esprit où perdure
La tendresse de ton cœur en amure
Pour que ta fidélité soit mon armure
Armure de nos beautés qui se rassurent


Les horizons étaient couleurs de feu
Jamais mes yeux de ce sitôt
Ne les quitteraient pour plus beau
Pourquoi trouver le plus beau du plus beau
Quand leurs pastels suintent de ce là haut
Sommets du bonheur, où pics de l’ego
Vous endorment dans la félicité sans mot
A l’abri des orages délestés des accrocs
Pour laisser place à ta lumière d’à propos
Ton horizon était tout mon enjeu
Jamais là, je ne le quitte dans mon mieux
Pour trouver meilleur mot que ce mot délicieux
Eternels mots qui coulent sur ta ferveur aux cieux
Pour coucher ta beauté en mon cœur soucieux
Qui cherche l’horizon des présages amoureux

Le monde je l’aime
Et ton monde encore plus je l’aime
Soit-il : Je t’aime
☼₣€