Tourisme sexuel…
Jolis mots… pour un crime !
Marchandise proposée,
Marchandise louée…
Enfance violée,
Innocence souillée
Pour quelques instants
De plaisir immonde…
Criminel voyageur
Le pantalon sur les pieds
Vient satisfaire
Ses instincts pervers…
Et assassine
L'enfant du trottoir !
Plaisir assouvi…
Remonte son pantalon,
Conscience tranquille
Repart vers va vie bien lisse,
Cache sa noirceur
Sous son costume
Taillé sur mesure,
Laisse sur le trottoir
Une âme morte,
Meurtre impuni…
Seul un regard d'enfant
Le condamne !
Tourisme sexuel…
Jolis mots… pour un crime !
©Véronique AUDELON
(extrait du recueil "L'insouciance perdue", disponible sur : http://www.thebooked...due-p-6356.html)
Petite Fée
Inscrit(e) : 14 août 2008Hors-ligne Dernière activité : sept. 01 2008 03:49
À propos de moi
Poétesse depuis l'adolescence, j'écris aussi des nouvelles, dessine principalement au crayon, fait depuis peu de la gravure sur verre mais manque cruellement de temps pour tout faire !!! J'ai publié quatre recueils de poésie et je gère deux sites, publication poèmes et nouvelles et créations virtuelles...
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Tourisme...
01 septembre 2008 - 03:53
Jeux d'eau...
30 août 2008 - 09:48
Dans la salle de bains
Il a déposé des bougies parfumées,
Assis sur le rebord de la baignoire
Il la regarde en souriant
Toute recouverte de mousse.
Elle l'asperge en riant,
Sa chemise est toute trempée
Il l'enlève et se rassoit.
Son torse nu la trouble,
Elle connait trop la douceur
De sa peau lorsque sa bouche
Caressante s'y promène...
Ses yeux mi-clos l'invitent,
Il ne résiste pas !
Sa main douce et tendre
Se perd dans ses cheveux blonds
Parsemés de bulles de savon,
Il cherche son regard, le capture,
Aime y voir le désir qu'elle a de lui,
Attisant ses propres envies,
Il adore tant la caresser.
Leurs bouches tendrement se frôlent,
Jouent à se mordiller
Et s'unissent passionnément,
Elle entoure ses bras mouillés
Autour de son cou, il frissonne...
Sa main glisse, brûlante,
De sa nuque à son épaule
Vers la douceur des seins blancs,
Sa respiration s'accélère,
Son corps frémit, elle gémit,
Resserre son étreinte, l'appelle doucement,
Alors que ses doigts sensuellement
Plongent lentement sous la mousse
Vers le jardin des délices.
(Ã Toi...)
©Véronique AUDELON
Il a déposé des bougies parfumées,
Assis sur le rebord de la baignoire
Il la regarde en souriant
Toute recouverte de mousse.
Elle l'asperge en riant,
Sa chemise est toute trempée
Il l'enlève et se rassoit.
Son torse nu la trouble,
Elle connait trop la douceur
De sa peau lorsque sa bouche
Caressante s'y promène...
Ses yeux mi-clos l'invitent,
Il ne résiste pas !
Sa main douce et tendre
Se perd dans ses cheveux blonds
Parsemés de bulles de savon,
Il cherche son regard, le capture,
Aime y voir le désir qu'elle a de lui,
Attisant ses propres envies,
Il adore tant la caresser.
Leurs bouches tendrement se frôlent,
Jouent à se mordiller
Et s'unissent passionnément,
Elle entoure ses bras mouillés
Autour de son cou, il frissonne...
Sa main glisse, brûlante,
De sa nuque à son épaule
Vers la douceur des seins blancs,
Sa respiration s'accélère,
Son corps frémit, elle gémit,
Resserre son étreinte, l'appelle doucement,
Alors que ses doigts sensuellement
Plongent lentement sous la mousse
Vers le jardin des délices.
(Ã Toi...)
©Véronique AUDELON
Une goutte d'eau...
30 août 2008 - 09:45
Un soir où sous ta douche
Je m'étais transformée
En goutte d'eau,
J'ai goûté avec délice
A la saveur de ta peau,
Glissant le long de toi
Tout doucement,
Tout doucement...
Oh, je t'en prie,
Ne sèche pas ton corps...
Laisse-moi rester
Un peu, encore...
©Véronique AUDELON
Je m'étais transformée
En goutte d'eau,
J'ai goûté avec délice
A la saveur de ta peau,
Glissant le long de toi
Tout doucement,
Tout doucement...
Oh, je t'en prie,
Ne sèche pas ton corps...
Laisse-moi rester
Un peu, encore...
©Véronique AUDELON
Près de Toi...
20 août 2008 - 11:03
Si j'étais
Baiser tendre et doux,
Courant voluptueusement
Sur le grain de ta peau
Frissonnant sous l'assaut...
Près de Toi, me garderais-tu ?
Si j'étais
Caresse câline et coquine,
Habillant sensuellement
Ton corps de désir
Jusqu'Ã l'exquise ivresse...
Près de Toi, me garderais-tu ?
Si j'étais
Rosée fragile et veloutée,
Abreuvant amoureusement
Les pétales de ton coeur
De gouttes de bonheur...
Près de Toi, me garderais-tu ?
Je suis femme
Tendre et douce comme un baiser,
Câline et coquine comme une caresse,
Fragile et veloutée comme la rosée...
Près de Toi, garde-moi !
©Véronique AUDELON
Baiser tendre et doux,
Courant voluptueusement
Sur le grain de ta peau
Frissonnant sous l'assaut...
Près de Toi, me garderais-tu ?
Si j'étais
Caresse câline et coquine,
Habillant sensuellement
Ton corps de désir
Jusqu'Ã l'exquise ivresse...
Près de Toi, me garderais-tu ?
Si j'étais
Rosée fragile et veloutée,
Abreuvant amoureusement
Les pétales de ton coeur
De gouttes de bonheur...
Près de Toi, me garderais-tu ?
Je suis femme
Tendre et douce comme un baiser,
Câline et coquine comme une caresse,
Fragile et veloutée comme la rosée...
Près de Toi, garde-moi !
©Véronique AUDELON
Le hamac...
20 août 2008 - 11:01

Dans le hamac accueillant, lascivement allongée,
Sur son ventre doux, un livre ouvert posé.
Le mistral un instant de son ouvrage l'a distrait,
Elle sent la caresse du vent sur sa peau veloutée,
Pense à d'autres frissons, vagues de sensualité,
Puis ferme les yeux, se laisse aller à rêver...
Sur ses paupières fermées, un baiser déposé,
Mutin, il descend, effleure son joli nez,
Se pose sur ses lèvres, papillon de douceur,
Butine sa bouche de baisers bonheur.
Sa peau frissonne… deux mains tendres et libertines
Délicatement déboutonnent sa chemise de dentelle fine…
Le tissu fin glisse voluptueusement,
Découvrant son corps d'ondine, impatient…
Elle sent la brûlure divine de la bouche gourmande,
Frémit de plaisir, prête à l'offrande...
Le désir tend ses seins lourds aux caresses de l'amant,
Les doigts glissent sur son ventre brûlant,
Savourent la douceur de ses cuisses
Avant que de se perdre au jardin des délices…
Alors qu'elle abandonne son corps à la volupté
De ce doux moment d'éternité...
Un oiseau chantant dans l'arbre tout près
De son gazouillis, la ramène à la réalité.
Elle ouvre les yeux, délicieusement troublée,
Regarde la chemise sagement boutonnée...
Puis saisissant le livre sur son ventre abandonné,
Par sa lecture, de nouveau, se laisse absorber !
(Ã Toi...)
©Véronique AUDELON