Amalgame
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Publications sur Toute La Poésie
Vers lunaires
20 avril 2009 - 10:14
Ne craignant que les bruits menaçant mon audace
Je fuis comme les pleutres vivant au creux des prés
J’incarne cette lumière, fuyante, de la lune
Aux aurores qui ravivent vos tourments
En une brise de jour
Brisant l’obscurité inquiète;
La noirceur de ma chaire vespérale
Ainsi que jamais ne pleurent les étoiles de mes yeux
Même aux litiges qui guettent mes secrets
Où ma conscience es captive
Car, fuyant, je me libère
Des frimas, des songes
Incessant de la vie
À vous, rêveurs qui bercez mes feux
Je dédis ces phrases célestes
Versées comme des larmes
Rieuses comme vos rêves.
Tendre noirceur
20 avril 2009 - 10:11
Si douce obscurité
Pleine des silences amoureux
Au seuil des ennuies capricieux
Là où ma folie m’a quitter
Nos corps, parlant
Aux noms de nos âmes
Murmurant nos fantasques élans
Du fond des nuits, des ténèbres infâmes
Qui pourtant, ne noircissent point
La chaleur de nos tendresses
Le bonheur de nos mains
Dansantes sur les dunes, en une caresse
Mon ardeur n’est qu’un flot
Ruisselant sur ton cœur
Qu’un regard sans pleure
Qui tache mes rêves des amours les plus beaux.
Pleine des silences amoureux
Au seuil des ennuies capricieux
Là où ma folie m’a quitter
Nos corps, parlant
Aux noms de nos âmes
Murmurant nos fantasques élans
Du fond des nuits, des ténèbres infâmes
Qui pourtant, ne noircissent point
La chaleur de nos tendresses
Le bonheur de nos mains
Dansantes sur les dunes, en une caresse
Mon ardeur n’est qu’un flot
Ruisselant sur ton cœur
Qu’un regard sans pleure
Qui tache mes rêves des amours les plus beaux.
Tendre crépuscule
23 mars 2009 - 11:13
T’en souviens-tu mon doux amour
De ces baisers, de ces soupirs
Perdus aux creux des nuits
De ces regards, de ces mots
Murmurés comme des secrets aux soirs?
Mon cœur palpitant contre le tient
À la lueur d’une flamme
Belle et d’ambre, comme une aube
Fiévreuse et prompte comme une gitane
Dansante sous les cieux de mon cœur
Captivant nos prunelles
Aveugles pourtant au désespoirs de ses lumières
Moi, mon bel amour
Je ne voyais que toi, chaire vivante
Et âme consciente de nos fantasques caresses
Si tendres dans nos jardins au crépuscule
Loin des bruits lunaires, mais si près de mon corps amoureux.
À toi, nuit méprisée
23 mars 2009 - 10:57
Librement, je cris
Mon âme, mon cœur
Rempli de haine, d’horreur,
De dégoût des nuits
La nuit est masque vespéral
Qui abrite l’être volage
Aux creux de ses paysages
Mais revit, fiévreuse, les nouvelles Érinyes des entrailles de mon mal!
Obscur est mon esprit qui toujours se souvient
Avoir vu ses regards
Et subit ses tortures, tard
Dans sa noirceur tôt sur mon chemin
Nuit! Ô nuit!
Brouillard incessant des heures
Te voilà détestée, maudite par mon malheur
Aussi profond que tes tristesses, aussi sombre que tous tes bruits!
Mon âme, mon cœur
Rempli de haine, d’horreur,
De dégoût des nuits
La nuit est masque vespéral
Qui abrite l’être volage
Aux creux de ses paysages
Mais revit, fiévreuse, les nouvelles Érinyes des entrailles de mon mal!
Obscur est mon esprit qui toujours se souvient
Avoir vu ses regards
Et subit ses tortures, tard
Dans sa noirceur tôt sur mon chemin
Nuit! Ô nuit!
Brouillard incessant des heures
Te voilà détestée, maudite par mon malheur
Aussi profond que tes tristesses, aussi sombre que tous tes bruits!
Pensée artistique
17 mars 2009 - 10:49
Et surtout qu'aucune larme ne souille
Mon rêve, mon bel idéal!
Entendez-vous?
Mon illusion est un sentiment
Mon âme ailée, mon cœur discret et silencieux comme un pommier bourgeonnant
Car les couleurs ferment mes yeux
Je suis aveugle à la noirceur du monde
Et la douleur est un mot inexistant
Il est ce dont on parle sans comprendre
C'est une ombre hantant les cauchemars des êtres vertigineux et vespéraux
Ma vie est un visage
Mes prunelles sont de pierre
Dans le tiède octobre
Mousse méchante
Scélérate! Sur mon œil ouvert et naïf
Pensif surtout: exister est une fatalité!
Non! Devrais-je dire vivre…!
Car un arbre quel qu' il soit certainement ne ressent rien de fatal
sinon la scie qui le mutile et son fruit chutant sur le sol… mais ressent –il vraiment?
Vis-je? Sais-je? Suis-je?
Suis-je quel qu'être, quelle qu'âme, quel que cœur vacillant comme une onde?
Sais-je la réalité?
Vis-je réellement?
Confusion éparse
Comme un murmure fantasque
Ma pensée n'est-elle pas étourdissante,
Magnifique et capricieuse?
Telle la foudre,
Telle la rage fougueuse et incontrôlable,
Tel le désir devenu besoin de m'exprimer!?
Suis-je devenu artiste ou n'est-ce pas là l'art de penser?
Mon rêve, mon bel idéal!
Entendez-vous?
Mon illusion est un sentiment
Mon âme ailée, mon cœur discret et silencieux comme un pommier bourgeonnant
Car les couleurs ferment mes yeux
Je suis aveugle à la noirceur du monde
Et la douleur est un mot inexistant
Il est ce dont on parle sans comprendre
C'est une ombre hantant les cauchemars des êtres vertigineux et vespéraux
Ma vie est un visage
Mes prunelles sont de pierre
Dans le tiède octobre
Mousse méchante
Scélérate! Sur mon œil ouvert et naïf
Pensif surtout: exister est une fatalité!
Non! Devrais-je dire vivre…!
Car un arbre quel qu' il soit certainement ne ressent rien de fatal
sinon la scie qui le mutile et son fruit chutant sur le sol… mais ressent –il vraiment?
Vis-je? Sais-je? Suis-je?
Suis-je quel qu'être, quelle qu'âme, quel que cœur vacillant comme une onde?
Sais-je la réalité?
Vis-je réellement?
Confusion éparse
Comme un murmure fantasque
Ma pensée n'est-elle pas étourdissante,
Magnifique et capricieuse?
Telle la foudre,
Telle la rage fougueuse et incontrôlable,
Tel le désir devenu besoin de m'exprimer!?
Suis-je devenu artiste ou n'est-ce pas là l'art de penser?