1200 asa d'histoire,
d'une vie en blanc et noir.
Au grand angle des réalitées,
j'aime á regarder la difformité des contours.
Au développement, la lumiere a percée et du blanc, il ne reste qu'un joli noir....satiné.
serge
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22 mai 2009 - 01:11
FLIP
06 octobre 2008 - 11:49
Quand de la faille profonde s'échappent les pressentiments qui nous lêchent l'ame,
quand l'enfer se voit!
quand l'enfer se sent!
quand l'enfer est autour de nous!
Nous ne pouvons plus, nous n'avançons plus,nous touchons le fond...
Nous nageons dans la boue brulante, dans la boue qui décharne, dans la boue qui dissout nos dents et nos yeux,dans la boue qui dresse nos cheuveux sur nos têtes..
Il se peut que ce monde explose, il se peut que ce monde implose, il se peut qu'enfin ce soir....je vole.
quand l'enfer se voit!
quand l'enfer se sent!
quand l'enfer est autour de nous!
Nous ne pouvons plus, nous n'avançons plus,nous touchons le fond...
Nous nageons dans la boue brulante, dans la boue qui décharne, dans la boue qui dissout nos dents et nos yeux,dans la boue qui dresse nos cheuveux sur nos têtes..
Il se peut que ce monde explose, il se peut que ce monde implose, il se peut qu'enfin ce soir....je vole.
cellules grises
27 août 2008 - 03:21
De ma bouche ouverte, s'échappe des rêves. Comme des mouches dans un bocal, ils se heurtent aux parois de ma nouvelle demeure. Certaines ombres ici bas, n'ont pas ce problème lá. Les barreaux sont pour elles sinonyme de sécurité. La libèrté fait peur á certain, sensation de vertige face á l'immensité...Ici, la vie est reglée, sans surprise, les secondes les années se chevauchent. Voyager dans le temps est un doux rêve que je croyais irréalisable et pourtant le temps c'est arreté le jour ou j'ai troqué ma montre contre une clef. les ames torturées se jettent contre les murs et glissent jusqu'au sol, carressant l'éspoir de passer sous les portes...Le corp ne sert á rien á ceux qui vivent ici, il est lourd, douloureux, inutile et sali ! Seul les esprits forts pouront rejoindre le ciel, grimper sur les oiseaux qui nous narguent de leurs ailes. Un jour, la derniere clef mettra fin á mes rêves. Un beau matin, le soleil brulera á nouveau ma peau transparente...je ne me retournerai pas, je ne reviendrai pas...
Vous qui pouvez courrir, aimer, pleurer et rire. vous qui pensez que la vie est mal faite, que la liberté est un leurre...regardez tous ces etres qui crèvent dans la douleure. Le ciel gris écrase l'homme, du moins je le croyais...aujourd'hui ce ciel signifie liberté. J'aimerais tant lever les bras pour enfin le toucher.
les cellules grises se multiplient au rythme ou les notres disparaissent. Paradoxe effrayant, il n'est déja plus temps. La machine est en route depuis des decénnies, rien ne l'arretera car la peur vous commande. Vous pensez qu'il suffit de nous jeter ici pour chasser le malaise qui vous étouffe aussi? Vous vous trompez sur toute la ligne...
Nous sommes la gangraine, les mis en quarentaine.Vous soignez vos blessures par des emputations... Je n'ai jamais tué, volé ou meme jugé...! Je me retrouve ici, mais un jour je prouverai á vous qui m'avez condamnés á quel point je suis libre et vous emprisonés! Tous les barreaux du monde ne pourront empecher le feu qui nous tenaille d'éternellement bruler...
Vous qui pouvez courrir, aimer, pleurer et rire. vous qui pensez que la vie est mal faite, que la liberté est un leurre...regardez tous ces etres qui crèvent dans la douleure. Le ciel gris écrase l'homme, du moins je le croyais...aujourd'hui ce ciel signifie liberté. J'aimerais tant lever les bras pour enfin le toucher.
les cellules grises se multiplient au rythme ou les notres disparaissent. Paradoxe effrayant, il n'est déja plus temps. La machine est en route depuis des decénnies, rien ne l'arretera car la peur vous commande. Vous pensez qu'il suffit de nous jeter ici pour chasser le malaise qui vous étouffe aussi? Vous vous trompez sur toute la ligne...
Nous sommes la gangraine, les mis en quarentaine.Vous soignez vos blessures par des emputations... Je n'ai jamais tué, volé ou meme jugé...! Je me retrouve ici, mais un jour je prouverai á vous qui m'avez condamnés á quel point je suis libre et vous emprisonés! Tous les barreaux du monde ne pourront empecher le feu qui nous tenaille d'éternellement bruler...
régression
20 août 2008 - 11:44
Au coeur du bruit,
les mots m'offrent le silence.
L'apaisante courbure de lettres emmêlées.
Au regard interieur de mes yeux experience,
je me blottis bien au chaud, tout contre mes pensées
Mon océan
20 août 2008 - 01:03
Mon océan
Miroir d'étoiles, infinie beauté mouvante,
aux reflets changeants d'un amour liquide.
Ta puissance attire les hommes intrepides,
qui se perdent à tout jamais lorsque tu chantes.
Imprévisible océan, berceau de toutes les vies,
ton insondable mystère, me hante jours et nuits.
Ma frêle embarcation au large de tes desirs,
craque de toutes parts mais ne peut revenir.
Je me fais tout petit, les grands jours de tempête,
des montagnes de larmes emportés par le vent,
et quand enfin ton cris subitement s'arrête,
je goûte à l'accalmie, de tes sourires changeants.
Mon océan, permets moi de naviguer longtemps,
car ma vie prend son sens au gré de tes courants.
Et si un jour d'hiver tu m'envoies par le fond,
que sur ma Pierre tombale ils écrivent ton nom….
Miroir d'étoiles, infinie beauté mouvante,
aux reflets changeants d'un amour liquide.
Ta puissance attire les hommes intrepides,
qui se perdent à tout jamais lorsque tu chantes.
Imprévisible océan, berceau de toutes les vies,
ton insondable mystère, me hante jours et nuits.
Ma frêle embarcation au large de tes desirs,
craque de toutes parts mais ne peut revenir.
Je me fais tout petit, les grands jours de tempête,
des montagnes de larmes emportés par le vent,
et quand enfin ton cris subitement s'arrête,
je goûte à l'accalmie, de tes sourires changeants.
Mon océan, permets moi de naviguer longtemps,
car ma vie prend son sens au gré de tes courants.
Et si un jour d'hiver tu m'envoies par le fond,
que sur ma Pierre tombale ils écrivent ton nom….