Bercée par l’amour, je devine son altitude,
Je me noie dans ce rêve infini,
A l’ombre de la solitude,
Ce bonheur fut même un peu trop exquis
Tu résonne dans ma tête, tu hante mon esprit
Comme une imagination maladive
Dans mon cœur, un court-circuit
Tu viens, tu t’en vas comme une pensée hâtive
Le bonheur, ce moqueur se réjouit
Lorsque mon cœur s’entaille
Ils me servent de ruelle, ces fantaisies
Lorsque mon sang se caille
Souviens-toi de moi
Laisse-moi ton sourire
Pour cacher mes émois
Laisse-moi ton souvenir
Que ton cœur se mélange un peu au mien
Puisque ton silence m’exaspère
Si tu veux, formons un lien
Oublions les orages d’hier
J’étais victime du vautour
Avant ton sourire, je voulais fuir
Désormais, je veux devenir proie de ton amour
L’amour, dans mon cœur, je le vois luire
Tu scintille dans mon cœur
Comme une étoile filante
Avec toi, je veux vivre mes dernières heures
Sans toi je suis une morte-vivante
Viens, je t’invite, au pays des rêves
Ecrivons notre histoire
Marchons vers ce chemin sans fin, sans trêve
Viens, marquons notre territoire
Cléopatre
Inscrit(e) : 25 août 2008Hors-ligne Dernière activité : oct. 04 2012 06:17
À propos de moi
Chers poètes/lecteurs/lectrices
Je me présente, Cléopâtre, Reine du Nil. Oui, je suis bien en effet la réincarnation de Cléopâtre en bien plus jeune(Rires) Peut-être suis-je la benjamine ici je ne sais pas encore d'après ce que je vois cela est vrai. Il est vrai que j'ai un coeur sensible qui déborde d'émotions et que des mots tranchants fait souffrir mon coeur de femme mais j'ai besoin de plus de critiques pour améliorer mes écrits. Mon but c'est de vous transmettre mon amour pour la poésie. Soyez sincères et directes mes humbles confrères et sachez que vous êtes tous les bienvenus!
Cordialement,
Cléopâtre
Je me présente, Cléopâtre, Reine du Nil. Oui, je suis bien en effet la réincarnation de Cléopâtre en bien plus jeune(Rires) Peut-être suis-je la benjamine ici je ne sais pas encore d'après ce que je vois cela est vrai. Il est vrai que j'ai un coeur sensible qui déborde d'émotions et que des mots tranchants fait souffrir mon coeur de femme mais j'ai besoin de plus de critiques pour améliorer mes écrits. Mon but c'est de vous transmettre mon amour pour la poésie. Soyez sincères et directes mes humbles confrères et sachez que vous êtes tous les bienvenus!
Cordialement,
Cléopâtre
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Je suis une femme au coeur bléssé
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Bercée par l’amour
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A mon César
03 septembre 2008 - 08:14
Sombrée dans un
Eternel
Bonheur d’être
Amoureuse de l’ange qui a
Saisis mon cœur
Torturée par son
Indifférence et cette tristesse
Enfouie dans ce cœur brisé de
N’avoir pas pu lui dévoiler mon secret..
Eternel
Bonheur d’être
Amoureuse de l’ange qui a
Saisis mon cœur
Torturée par son
Indifférence et cette tristesse
Enfouie dans ce cœur brisé de
N’avoir pas pu lui dévoiler mon secret..
Procès à mon cœur..
03 septembre 2008 - 05:32
Procès à mon cœur..
Cher procureur,
Que faire d'autre à part d'écrire ces maudites lettres qui ne t'atteindront jamais le cœur.. Te parler..hélas de mes sentiments n'aboutira à rien. Mais cette encre éternelle qui dévoile la profondeur de mon âme ne s'effacera jamais. Je me cache sous le poids de cet angle périlleux qui ne décrit pas plus qu'une partie de mon destin malheureux. Je m'enfuie de cette vie qui m'étouffe d'ennuie et j'oublie.. J'oublie tout espoir de renaître et de vivre. Je refuse de te suivre, de n'être que l'ombre de ton ombre. Je déserte ces rêveries, je me repose dans cette pénombre. L'air de rien, tu me souris d'amertume comme si de briser un cœur n'est qu'une coutume et par tes coups d'indifférence, je m'enferme dans cette souffrance. Je résiste encore..mais plus pour longtemps.. Car je saigne dans mon cœur, trompée par ma candeur, je suis blessée par tes fourberies. Comme une gueuse, je recherche un peu de ton honnêteté mais toi tu n'oses m'avouer qu'à tes yeux, je ne suis..que rien. Je n'ai nullement besoin qu'on me mente ni qu'on m'asperge de pitié. Je veux souffrir d'une manière juste.. Lapide-moi de ces mots tranchants qui me poignarderont le cœur! Déteste-moi autant que tu veux pour qu'enfin je puisse définir le verbe haïr! Couvre-moi d'asphalte pour que je ne puisse plus respirer! Car avec tes mots mielleux et ton sourire mesquin, tu as su me condamner l'âme. Mais enfin, admire si tu le désires, la bravoure de ce cœur qui dénonce tel qu'un meurtrier, que son plus grand crime c'est de t'avoir aimé contre ton gré..
Bien cordialement,
Une femme au cœur écroué..
Cher procureur,
Que faire d'autre à part d'écrire ces maudites lettres qui ne t'atteindront jamais le cœur.. Te parler..hélas de mes sentiments n'aboutira à rien. Mais cette encre éternelle qui dévoile la profondeur de mon âme ne s'effacera jamais. Je me cache sous le poids de cet angle périlleux qui ne décrit pas plus qu'une partie de mon destin malheureux. Je m'enfuie de cette vie qui m'étouffe d'ennuie et j'oublie.. J'oublie tout espoir de renaître et de vivre. Je refuse de te suivre, de n'être que l'ombre de ton ombre. Je déserte ces rêveries, je me repose dans cette pénombre. L'air de rien, tu me souris d'amertume comme si de briser un cœur n'est qu'une coutume et par tes coups d'indifférence, je m'enferme dans cette souffrance. Je résiste encore..mais plus pour longtemps.. Car je saigne dans mon cœur, trompée par ma candeur, je suis blessée par tes fourberies. Comme une gueuse, je recherche un peu de ton honnêteté mais toi tu n'oses m'avouer qu'à tes yeux, je ne suis..que rien. Je n'ai nullement besoin qu'on me mente ni qu'on m'asperge de pitié. Je veux souffrir d'une manière juste.. Lapide-moi de ces mots tranchants qui me poignarderont le cœur! Déteste-moi autant que tu veux pour qu'enfin je puisse définir le verbe haïr! Couvre-moi d'asphalte pour que je ne puisse plus respirer! Car avec tes mots mielleux et ton sourire mesquin, tu as su me condamner l'âme. Mais enfin, admire si tu le désires, la bravoure de ce cœur qui dénonce tel qu'un meurtrier, que son plus grand crime c'est de t'avoir aimé contre ton gré..
Bien cordialement,
Une femme au cœur écroué..
Le rêve d'un enfant
01 septembre 2008 - 04:35
Le rêve d'un enfant..
Glissant sur ses doigts humides
Des larmes tièdes qui le vident
Le temps s'est arrêté..
Sa vie est bouleversée
Sur son front, un nuage de sueur
Il essaye de contrôler sa peur
Bercé par son rêve d'enfant
Brisé fut cet être innocent..
Sur sa peau giflée, des traces de bleus
Plus foncées que sa peau, moins que ses yeux
Il essuie sur ses joues, des larmes
Qu'il détient comme ses seules armes
Faiblement il subit des coups
Sans crier sa peine, sans le moindre dégoût
Dans son cœur, une larme de douleur
Ce que son âme recherche de l'amour, c'est sa couleur
Assis comme une ombre au fond de sa chambre
Il regarde sa mère d'une colère disparu
Elle trappe encore..
Sur ce corps abattu
Cet enfant au rêve disparu..
Ses yeux pleins de larmes, il crie haut et fort
'Bats moi si tu veux, je t'aime encore!'
Glissant sur ses doigts humides
Des larmes tièdes qui le vident
Le temps s'est arrêté..
Sa vie est bouleversée
Sur son front, un nuage de sueur
Il essaye de contrôler sa peur
Bercé par son rêve d'enfant
Brisé fut cet être innocent..
Sur sa peau giflée, des traces de bleus
Plus foncées que sa peau, moins que ses yeux
Il essuie sur ses joues, des larmes
Qu'il détient comme ses seules armes
Faiblement il subit des coups
Sans crier sa peine, sans le moindre dégoût
Dans son cœur, une larme de douleur
Ce que son âme recherche de l'amour, c'est sa couleur
Assis comme une ombre au fond de sa chambre
Il regarde sa mère d'une colère disparu
Elle trappe encore..
Sur ce corps abattu
Cet enfant au rêve disparu..
Ses yeux pleins de larmes, il crie haut et fort
'Bats moi si tu veux, je t'aime encore!'
L'euphorie d'un crime parfait
31 août 2008 - 05:01
L'EUPHORIE D'UN CRIME PARFAIT
Mon âme est sa prisonnière
Mon cœur a perdu la guerre
Contre cette douleur éphémère
Il m'a affligé en plein cœur
Je meurs d'amour
Pour ses yeux qui pleurent
Je saigne dans mon cœur
Cette arme m'a transpercé le cœur
Son alchimie m'a touché le cœur
Je meurs, quel parfais bonheur !
Son regard intense m'a ensorcelé
Ce sort m'a approfondi la plaie
Si l'aimer est une faute,
Condamnez-moi pour ce péché
Punissez-moi car je meurs amoureusement
Mon âme est condamnée dans sa prison
Mon cœur est en sa possession
Je suis prisonnière d'un amour à jamais
Je suis victime de ce crime parfait
C'es lui le coupable, mon meurtrier
Il a tiré sur mon cœur, l'a blessé en douceur
Ce crime l'a emprisonné
Dans mon cœur mourant, il est enfermé
Condamné de ce crime parfait
Voilà le sort de mon meurtrier..
Mon âme est sa prisonnière
Mon cœur a perdu la guerre
Contre cette douleur éphémère
Il m'a affligé en plein cœur
Je meurs d'amour
Pour ses yeux qui pleurent
Je saigne dans mon cœur
Cette arme m'a transpercé le cœur
Son alchimie m'a touché le cœur
Je meurs, quel parfais bonheur !
Son regard intense m'a ensorcelé
Ce sort m'a approfondi la plaie
Si l'aimer est une faute,
Condamnez-moi pour ce péché
Punissez-moi car je meurs amoureusement
Mon âme est condamnée dans sa prison
Mon cœur est en sa possession
Je suis prisonnière d'un amour à jamais
Je suis victime de ce crime parfait
C'es lui le coupable, mon meurtrier
Il a tiré sur mon cœur, l'a blessé en douceur
Ce crime l'a emprisonné
Dans mon cœur mourant, il est enfermé
Condamné de ce crime parfait
Voilà le sort de mon meurtrier..