Metalexia

Tristesse, voila un mot bien morne
Que le malheur avec habileté orne
Quand les larmes t'envahissent,
Ces larmes qui viennent de ton coeur que tes sentiments emplissent.
Peut être une joie, ou une douleur
Petit à petit ton espoir meurt
Tu as envie de crier ta fureur qui est si noir
Ou de fuir cette vie derisoir
Mais quand tu crois être perdu,
Le bonheur s'empare de toi sans retenue...

Imaginez un paysage
Avec un homme sans visage
Du moins qui paraissait ne pas avoir d'age
Un homme, creux, vide, blanc
Que l'on devait remplir de sentiments.
Façonné de tel manière
Qu'a chacun il puisse plaire.
Mais il ne resteras à jamais,
Qu'un humain contrefait . .

Ton regard m'apporte une lueur d'espoir,
Et ton sourir une flamme dans le noir,
Ce profond et obscure silence,
Qui a plongé mon coeur dans ce gouffre immense.
On nous dit de voir la realité sous un autre angle,
Mais se serai s'echapper, que l'ireelle nous etrangle;
On dit aussi qu'il y a bien plus a vivre que ce que l'on vois
Mais comment voir plus loin que vos barrières, vos lois?

J'avance, je tombe, pour mieux me relever,
Mais un jour je tomberai et resterai paralysée.
Comique cette âme ecrasée par la fatalité,
Cette âme etouffée par la réalité.

Je regarde mes amis, mes fréres d'armes,
Tomber et se noyer dans leurs larmes
Les gens spectateurs du desespoir,
Les laissent sombrer dans le noir,
leurs yeux embrumés par l'amertume,
Pleurent jusqu'a ce qu'arrive la lune.
Moi j'avance jusqu'au jour
Ou cette fois, se sera mon tour.

Sombre melancolie où le bonheur s'oubli,
Tu as gagnée tous les hommes ainsi que leur vie,
Tu es allé chercher ceux qui pérsévérent
Au plus profond de leur misère.
Tous les anges porteurs d'espoirs,
Tu leurs coupent les ailes et les vois choir.
Mais moi j'avance toujours,
Mais un jour se sera mon tour ...

j'ai avancée, je suis tombé
Mais toujours je me suis relevé
Mon âme a subi le chatiment de ma déstinée
Mais jamais je ne cesserai d'avancer ...

L'encre sur mes copies
aussi noir que la nuit,
contrastant avec le papier blanc
comme mes nuit.
Mon regard dans le vide,
mon rire sarcastique tranchant le silence
et perturbant ceux qui pense.
Mais plus rien ne m'importe a present,
quand je regarde le soleil couchant,
prend ma main, avançons vers l'infini,
ne t'inquiète pas c'est bientot la nuit,
blanche comme mes copies
l'encre noir recouvrant le ciel du soir
le soleil a renvérsé son encrier
sur le ciel embrumé.