Solitude, solitude quand tu me prends
Que tu viens mais sans un mot t'assois
Là prés de moi, un vieux démon se reprend
Et le temps passe, celui qui fait ce poids...
Solitude quand vient l'ennui d'un envi,
Une envie d'un envi jamais fait
Toujours regretté, toujours la nuit,
Rien, personne et plus le même effet...
Solitude, solitude est tu là ? un moment
Que je me sente moins seul, las
Pour ressentir dans tes paroles le vent,
Sans jamais pouvoir voir tes yeux hélas...
Solitude pourquoi tu pleurs avec
Ses larmes que l'on ne voit
Avec ses armes et moi le mec
Tu te trompes, sans lever la voix....
Solitude quand tu t'enfuis devant
En avant, avançant toujours toujours,
Jusqu'à arriver là -bas au vent
Jusqu'Ã ce point de non-retour...
Solitude, solitude s'il te plait ne meurs pas
Pense à ceux qui sont seul et ont besoin
De toi, que tu les guides pas à pas,
Pense à ceux qui ont besoin de tes soins...
Solitude reste avec moi, laisse moi
Aider la seule personne lÃ
Celle en qui, moi, toi ou lui ont foi
S'il te plait ne t'en vas pas...
Solitude, solitude répond à mon appel
Tout seul je ne supporterais
Pas un instant, sans un grain de sel
Un moment que tu me prêterais...
Solitude merci, je crois, enfin je pense
Je ne suis plus aussi seul maintenant
De m'avoir accompagner dans mon errance
Mais que veux tu, tu n'es plus là , c'est dément...
Solitude, solitude pardonne moi
Je t'ai trahis, avec toi et contre ça
Tu es là et moi je ne suis, ça doit
Oui, on est maudit pour cela...
Solitude je n'ai plus les mots
Je suis comme toi,
Je ne dois plus être un sot
Je suis comme moi...
Solitude, solitude je t'écris ce que je peux
Juste par ce que c'est toi, tu aimes bien
Et puis tes yeux s'illuminent, c'est merveilleux
Je ne t'offres simplement qu'un petit rien...
Solitude j'ai tant toi en moi, que dire
Je t'emmène au bout de la nuit
Vers ces endroits insolite, le pire
Comme le meilleur, vient on s'y enfui...
Solitude, solitude au creux de ton oreille
Il me faudra d'abord passé cette nuit
Je te le dis, et durant un instant tu t'éveilles
Je ne sais rien, je suis personne, je suis...
toncartkt
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Publications sur Toute La Poésie
Solitude dans la nuit
23 juillet 2009 - 02:40
Et que
23 juillet 2009 - 02:38
Que dire,
Il vaut mieux être gentil, ou être con
Quand les autres sont con d'être gentil
Et qu'un gentil con a toujours le don
D'être heureux sans être indécis...
Que faire,
Faut il rester le même, toujours présent
Toujours trop con pour être, ou ne pas
Être le même pour chacun, errant
Sans jamais retrouver nos pas...
Que penser,
Quand l'esprit s'est perdu,
Le temps l'a vaincu et l'attente
D'une réponse n'est plus
Tombée dans une pente...
Que croire,
Et qui écouter, quand personne dit
Personne ne parle et moi
Moi je suis là , et je suis ici
Mais plus personne ne me voit...
Quoi dire,
Et que penser de ce qu'ils disent,
Quand ils parlent enfin, en fin
Sans jamais avoir la mise
Juste un seul mot étein...
Quand faire,
Tout ce qui est réfléchis,
Ce qui s'en va et arrive
Pourquoi tant de gâchis
De l'autre cotés de la rive...
Qui penser,
Ou penser à qui, c'est plutôt ça
C'est plus tôt finis, et puis tampis
Ou pas, il me rattrapera
Et puis sera parti...
Qui croire,
Entre ma conscience et la sienne
La mienne et celle de personne,
Un coup de feu monotone,
Mais plus de boite crânienne...
Il vaut mieux être gentil, ou être con
Quand les autres sont con d'être gentil
Et qu'un gentil con a toujours le don
D'être heureux sans être indécis...
Que faire,
Faut il rester le même, toujours présent
Toujours trop con pour être, ou ne pas
Être le même pour chacun, errant
Sans jamais retrouver nos pas...
Que penser,
Quand l'esprit s'est perdu,
Le temps l'a vaincu et l'attente
D'une réponse n'est plus
Tombée dans une pente...
Que croire,
Et qui écouter, quand personne dit
Personne ne parle et moi
Moi je suis là , et je suis ici
Mais plus personne ne me voit...
Quoi dire,
Et que penser de ce qu'ils disent,
Quand ils parlent enfin, en fin
Sans jamais avoir la mise
Juste un seul mot étein...
Quand faire,
Tout ce qui est réfléchis,
Ce qui s'en va et arrive
Pourquoi tant de gâchis
De l'autre cotés de la rive...
Qui penser,
Ou penser à qui, c'est plutôt ça
C'est plus tôt finis, et puis tampis
Ou pas, il me rattrapera
Et puis sera parti...
Qui croire,
Entre ma conscience et la sienne
La mienne et celle de personne,
Un coup de feu monotone,
Mais plus de boite crânienne...
L'impression sans l'envie de l'écrire
23 juillet 2009 - 02:35
L'impression sans l'envie de l'écrire
L'impression d'un rien qui construit tout un monde,
Un rêve qui s'éprend de la nuit passé
Un cauchemar heureux pour une nuit immonde
Parler du jour, du temps, il en est juste assez...
L'impression de rien d'une vie sans la route
Comme un chemin perdu que l'on veut découvrir
Il ne faut retourner, que le sentier des doutes
Que le soleil nous cache et nous gâche à ravir...
L'impression et rien, une impression est pire
Quand de se dire est bien, mieux que dormir sans vie
Cette chose est le rêve empli de mille rire
Sur notre seule mort... alors à ton avis...
C'est une impression
Un délire
Comme la mission
De ne rien dire
Vivre dans l'érosion
D'écrire
Sans prison
A lire
Sans raison...
Décrire
Le mouvement
Sans rire
Comme avant
Sans nuire
Ni pour autant
Détruire
Aux feux, aux vents
Tes histoires...
Ton histoire...
L'impression se dissipe en l'instant d'un instant,
L'impression vient mourir, mais pas moi, et pourtant...
L'impression d'un rien qui construit tout un monde,
Un rêve qui s'éprend de la nuit passé
Un cauchemar heureux pour une nuit immonde
Parler du jour, du temps, il en est juste assez...
L'impression de rien d'une vie sans la route
Comme un chemin perdu que l'on veut découvrir
Il ne faut retourner, que le sentier des doutes
Que le soleil nous cache et nous gâche à ravir...
L'impression et rien, une impression est pire
Quand de se dire est bien, mieux que dormir sans vie
Cette chose est le rêve empli de mille rire
Sur notre seule mort... alors à ton avis...
C'est une impression
Un délire
Comme la mission
De ne rien dire
Vivre dans l'érosion
D'écrire
Sans prison
A lire
Sans raison...
Décrire
Le mouvement
Sans rire
Comme avant
Sans nuire
Ni pour autant
Détruire
Aux feux, aux vents
Tes histoires...
Ton histoire...
L'impression se dissipe en l'instant d'un instant,
L'impression vient mourir, mais pas moi, et pourtant...
je l'ai vu
27 septembre 2008 - 10:59
Je l'ai vu
Je m'approche près d'elle et vois ses lèvres douces,
Une certaine peur, de mauvaises pensées,
Un moment de malheur, comme un instant de mousse,
Je m'approche près d'elle autant que terrassé...
Et je sens qu'il fait froid sous le soleil brûlant,
La flèche dans le cœur, qu'est ce qu'on est heureux,
L'amour se sent ainsi, épines dans le sang...
Avant que soient les pleurs, il devient si creux...
Oui je l'ai regardé, j'avais un œil furtif,
Je lui ai dit un jour, adieu sans croire en dieu
Le pic de la glace n'est plus, mon cœur se vide, naïf...
L'eau qui tombe de là vient couler de mes yeux...
Puis le poids des maux, ceux jamais entendu...
Puis son doux regard, mais moi, je ne suis plus...
Je m'approche près d'elle et vois ses lèvres douces,
Une certaine peur, de mauvaises pensées,
Un moment de malheur, comme un instant de mousse,
Je m'approche près d'elle autant que terrassé...
Et je sens qu'il fait froid sous le soleil brûlant,
La flèche dans le cœur, qu'est ce qu'on est heureux,
L'amour se sent ainsi, épines dans le sang...
Avant que soient les pleurs, il devient si creux...
Oui je l'ai regardé, j'avais un œil furtif,
Je lui ai dit un jour, adieu sans croire en dieu
Le pic de la glace n'est plus, mon cœur se vide, naïf...
L'eau qui tombe de là vient couler de mes yeux...
Puis le poids des maux, ceux jamais entendu...
Puis son doux regard, mais moi, je ne suis plus...
mon hiver
27 septembre 2008 - 03:01
À l'aube si rougeâtre...de ce matin d'hiver,
Aube couleur de sang, tiraiillant notre conscience...
Une éternité autre que le mal si perver,
Eternité d'un temps, perdu dans la patience...
Et imaginer vivre tel un mort au combat,
Imaginer la vie, ceci avec prudence...
Un opéra de vivre, bientôt qui finira...
Opéra du sursis loin de la pertinence,
J'ai perdu l'ignorance, d'être loin de moi...
Perdu sur un chemin, loin d'être à la messe...
Et naître avec pédance là sans aucun émoi,
Naître avec un dessein, fait sans délicatesse...
On aime un peu le vice, car lui il pense à nous...
Aime que l'on l'oubli et retourne sa veste,
Etre enivrer d'épice...et devenir un fou...
Enivrer ce délit un peu comme la peste...
Ce beau pouvoir...prestige...je n'ai que trops dormis,
Beau songe pour commencer, mais cauchemars perfide...
Une étreinte me fige...célérité enfuis...
Etreinte si préssé, pour contenir l'acide...
La migraine est me semble, de quoi recommencé...
Migraine d'amour ci...pas un oeil ne se ferme,
Un apéro de sable, un défit prononcé...
Apéro à l'humour, pour finir en bon terme...
Mais prude est ci l'entente, entre soleil et nuit...
Prude est cet affamé, autant qu'il la désire...
Il traîne un peu de menthe, d'une fraîcheur enfouis...
Traîne sur les pavés...las contre tout ces dires...
Une amie elle reste...comme c'était prédis,
Ami qui restera au moment dificile...
Et revenir sans leste...c'est seul, que tout finis...
Revenir du trépas, de cet hiver futile...
Aube couleur de sang, tiraiillant notre conscience...
Une éternité autre que le mal si perver,
Eternité d'un temps, perdu dans la patience...
Et imaginer vivre tel un mort au combat,
Imaginer la vie, ceci avec prudence...
Un opéra de vivre, bientôt qui finira...
Opéra du sursis loin de la pertinence,
J'ai perdu l'ignorance, d'être loin de moi...
Perdu sur un chemin, loin d'être à la messe...
Et naître avec pédance là sans aucun émoi,
Naître avec un dessein, fait sans délicatesse...
On aime un peu le vice, car lui il pense à nous...
Aime que l'on l'oubli et retourne sa veste,
Etre enivrer d'épice...et devenir un fou...
Enivrer ce délit un peu comme la peste...
Ce beau pouvoir...prestige...je n'ai que trops dormis,
Beau songe pour commencer, mais cauchemars perfide...
Une étreinte me fige...célérité enfuis...
Etreinte si préssé, pour contenir l'acide...
La migraine est me semble, de quoi recommencé...
Migraine d'amour ci...pas un oeil ne se ferme,
Un apéro de sable, un défit prononcé...
Apéro à l'humour, pour finir en bon terme...
Mais prude est ci l'entente, entre soleil et nuit...
Prude est cet affamé, autant qu'il la désire...
Il traîne un peu de menthe, d'une fraîcheur enfouis...
Traîne sur les pavés...las contre tout ces dires...
Une amie elle reste...comme c'était prédis,
Ami qui restera au moment dificile...
Et revenir sans leste...c'est seul, que tout finis...
Revenir du trépas, de cet hiver futile...