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bernard1949

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Publications sur Toute La Poésie

L'hirondelle du printemps

10 novembre 2008 - 08:16

La petite hirondelle Russe,

Un beau jour,une petite hirondelle,
Dans nos contrés,vint se poser
De la langue de Voltaire,
Appris à la connaître,
Pour avec vers et rimes, s’exprimer.

De vilains corbeaux,
Jaloux de son Ă©rudition,
Qui ne savaient dire que croac,
Eux qui n’étaient beaux,
Cela sans aucuns tacts,
S’en moquèrent sans aucunes autre raison

La petite hirondelle ne s’en souciait,
Poursuivant son chemin, elle les dédaignait,
Survolant un monde imparfait,
Pour y trouver des gens de bien,
Pour avec eux, y tissés des liens.

Annonciatrice du printemps,
Elle en rendait les gens content,
Leur racontant ses voyages,
A travers tous les régions sauvages.

Continue ton vol, petite hirondelle,
Tu n’en seras que plus belle,
De partager en toute harmonie,
Cette jolie poésie…………

Conte de Brigitte pour moi et mon petit fils Noah

09 novembre 2008 - 12:40

Merci,ma petite sœur poétique,merveilleuse conteuse et poétesse dans l'âme





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CONTE DE NOAH ET SON PAPY


Je vais vous raconter l’histoire d’un petit garçon, très intelligent, NOAH qui était tombé par hasard sur des papiers importants de son grand père. Très curieux, le petit garçon fit une découverte qui le bouleversa : son papy n’avait plus beaucoup de temps à vivre !

Après bien des pleurs pour ce Papy qu’il aimait tant, il fit au moment de sa prière du soir, un vœu très spécial pour lui.

NOAH : « Oh toi mon ange gardien, toi qui veilles sur moi là haut dans les cieux, aide moi à sauver mon papy, s’il te plait ! Sinon que deviendrai-je sans lui s’il mourait maintenant ? Je serai prêt à tout pour le sauver ! »

Puis il fit sa prière en pleurs et il partit se coucher le cœur gros ! Son sommeil fut envahi de sanglots et de chagrin. Là haut on eut pitié de cet enfant délaissé par ses parents, pour qui la vie de son grand père, son unique refuge, avait autant d’importance. Là haut, ils eurent pitié de lui et ils voulurent le mettre à l’épreuve.




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Le lendemain, au cours d’une promenade quotidienne avec son papy où ils se promenèrent sur les sentiers d’une forêt qu’ils ne connaissaient pas, ils furent emportés par un étrange tourbillon et enveloppés dans une poussière d’étoiles nullement nocive pour eux. Elle les amena sur une terre inconnue, près des rives d’un ruisseau d’une pureté inégalée.

On y voyait un grand nombre de poissons s’y promener sans crainte dedans ! Ils se trouvaient comme plongés dans un monde irréel, un conte de fée……Ils y avaient été amenés pour rencontrer un enfant, petit ange de la musique qui lui seul, pouvait leurs donner les clefs de la guérison de son papy.

NOAH et son papy, tout étonnés, se demandèrent où ils se trouvaient ! Ils aperçurent un enfant qui portait une harpe ! Il jouait avec les poissons qui n’en avaient nullement peur. Mais quand ils s’approchèrent de lui doucement, ils virent que ce petit garçon était doté de deux magnifiques ailes blanches ! Ils n’en croyaient pas leurs yeux. Étaient-ils morts tous les deux ? Etait ce ca le paradis ?

GIOVANNY se retourna et leurs fit un immense sourire de bienvenue

GIOVANNY : « Bonjour NOAH, bonjour BERNARD ! Tu vois petit enfant d’homme, là haut on a entendu ta prière et ton vœu spécial pour ton papy ! Nous sommes prêts à te donner une chance pour lui mais pour cela il te faudra passer quatre épreuves et montrer ton courage car tu entreras dans un univers beaucoup moins splendide que celui-ci et beaucoup moins accueillant ! Es tu prêt à accepter ces épreuves ? Je te préviens que certaines de celles-ci sont quand même dangereuses !

Quant à vous BERNARD, papy de NOAH, vous ne pourrez pas accompagner votre petit fils car vous serez bloqué ici auprès du ruisseau, jusqu’à la fin des épreuves ! »

NOAH : « Je veux sauver mon grand père ! J’accepte ! Même si je ne suis pas grand, j’irai ! »

BERNARD le papy : « Mon petit chéri, quel vœu as-tu fait ? Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose, tu as ton avenir devant toi ! Renonce, je n’ai pas peur de mourir ! Ne te met pas en danger pour moi, s’il te plait ! »

GIOVANNY ouvrit comme une porte sur un monde parallèle !

GIOVANNY : « Va, petit enfant d’homme ! Va et poursuit ton chemin vers ta destiné ! Il est semé d’embuches mais si ton cœur est pur, tu y arriveras ! »

NOAH regarda une dernière fois son Papy, l’embrassa, se retourna vite pour ne pas fléchir et il partit en courant vers ce lieu qui devait amener la guérison à cet être qu’il aimait si fort. Il n’a que six ans et sa peur était grande mais l’amour lui donnait des ailes et du courage pour combattre cette peur qui le tenaillait.

Plus il avançait et plus le paysage devenait de plus en plus étrange. Certains endroits étaient comme incendiés ! Quelqu’un devait aimer jouer avec le feu ici ! Ca sentait le roussi un peu partout ! Puis il finit par entendre des grondements bizarres ! Il en eut la chair de poule !

NOAH : « (il était là) Seigneur, donnez moi la force d’être courageux, s’il vous plait ! »

IL entendit une voix : « Suis ta route petit enfant d’homme ! Le courage et la sagesse viendront en toi ! » Cette voix le rassura un peu mais son petit ventre grouillait de peur !




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Il vit soudain une énorme flamme s’abattre sur un buisson pas très loin de lui. Ca le fit sursauter ! Qu’était ce que ca ? Puis une bête monstrueuse ailée apparut devant lui. C’était un énorme dragon comme dans les légendes que son Papy lui racontait !

LE DRAGON : « Que fais tu là petit imprudent ? Ne sais tu pas qu’il est interdit de s’aventurer ici sous peine de mort ! Je sens que je ne vais faire de toi qu’une bouchée ! »

NOAH avait très peur mais il essaya de se raisonner et de se rappeler les histoires que son grand père lui racontait ! Il lui disait tout le temps : « Tout le monde a un talon d’Achille ! Il suffit de le trouver et tu pourras gagner sur une personne ou une bête bien plus grosse que toi ! » Il se mit à tourner autour du dragon, évitant ses méchants coups de queue.

NOAH : « Tu n’es qu’un gros lourdaud et je suis plus jeune et plus souple que toi ! Essaye donc de m’attraper si tu le peux ! »

Le corps du dragon était couvert d’une carapace à la merci des coups mais il avait à sa hauteur, près du talon un emplacement assez visible non écaillé ! Celui-ci n’était muni que de son courage comme arme ! Un souvenir défila dans son esprit : comment son grand père l’avait fait rire, en le chatouillant et il avait été incapable de se défendre ! Alors il finit par se rapprocher de l’endroit inespéré !

Il avait trouvé une plume d’oie et il se mit à chatouiller le dragon de toutes ses petites forces ! Celui-ci bien entendu se mit à rire de plus en plus fort ! Le petit garçon s’y mettait à cœur joie et riait avec lui ! On aurait dit deux amis qui s’amusaient comme des fous !

LE DRAGON : « Arrête petit enfant d’homme, tu vas me faire mourir de rire ! »

A ces mots le petit garçon sursauta et arrêta net ce qu’il faisait !

NOAH : « Non, pas ca s’il te plait ! Je ne veux pas que tu meurs ! Tu es mon ami ! Je veux juste que tu m’aides à sauver mon papy, en me donnant la clef ! » Puis il se mit à genoux aux pieds du dragon, le suppliant de l’aider ! De grosses larmes coulaient sur son visage.

LE DRAGON se redressa pensif : « Petit enfant d’homme, tu aurais pu continuer et me faire mourir de rire mais au lieu de ca, tu t’es arrêté et là, tu es à ma merci ! Je pourrai faire ce que je veux de toi, tu as l’air si vulnérable ! Pour récompenser ta bonté, ton courage, je t’offre cette clef !

Prends la et poursuit ton chemin mais attention l’endroit où tu vas te rendre est encore moins hospitalier qu’ici ! Regarde cette lumière sur ta droite, c’est la suite de ton destin ! Dès l’instant où tu auras franchi cette porte tu ne me verras plus ! Tu vas me manquer petit enfant d’homme ! Allez, file vite ! »

NOAH se leva et alla faire un câlin au dragon tout étonné qui ne put s’empêcher de verser une grosse larme qui inonda le petit garçon et après un au revoir très affectueux, celui reprit sa route vers son destin….





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NOAH fut transporté dans les ténèbres dés qu’il eut franchi la porte. Il était comme en apesanteur. Il dérivait dans le vide. Il était au bord de la nausée. Il se croyait perdu à tout jamais et son petit cœur n’arrêtait pas de battre à tout rompre. Il finit par perdre connaissance.

Quand il se réveilla, il constata avec effroi qu’il était sur une corniche dans le noir. Sans le vouloir il bouscula une pierre. Aucun son ne résonna au bout de la chute ! Il faisait tellement noir ! Il avait très peur ! Il n’osait guère bouger de place. Il essaya d’habituer ses yeux aux ténèbres mais c’était si difficile, voir même impossible.

La phobie du noir chez les enfants et même parfois chez les adultes est une maladie parfois très difficile à gérer.

Il entendit une voix venir de très loin et de très bas lui dire : « Viens NOAH, viens me rejoindre ! On est si bien ici : plus de soucis, plus de peur ! Viens, je n’attends que toi ! Laisse-toi tomber, tu n’as rien à craindre. Tu ne ressentiras plus rien, ni peur, ni chagrin. »

Cette voix lui donnait la chair de poule et il ne savait vraiment pas pourquoi ! Il se releva et à tâtons, il avança le long de la corniche. Il tenait son petit corps collé contre la paroi. Chaque pas était de plus en plus difficile. Il essayait d’éviter de tomber.

La voix était toujours là, sombre et lugubre, répétant sans cesse les mêmes mots pour l’attirer vers le fond. Il avait l’impression de monter. La fatigue se faisait sentir de plus en plus. Il finit par s’assoir un moment et là, ahuri il vit monter vers lui deux lueurs rouges incandescentes.

Au lieu de le réchauffer, celles-ci étaient glaciales. Il était comme hypnotisé, tétanisé. Ce fut une autre voix plaintive qui le sortit de sa torpeur et l’obligea à réagir.

La voix : « Non, ne l’écoute pas, il veut ton âme ! Il te fera prisonnier comme moi et tu ne reverras plus personne ! Ne l’écoute pas NOAH, entend ma voix, je t’en supplie ! Viens vers moi et prend ma main. Nos deux destins sont scellés ! Ne vas pas vers lui ou tu finiras dans l’oubli ! »

Le petit garçon eut un grand frisson et patiemment, malgré sa fatigue, il reprit sa marche vers cette voix si douce qui l’attirait du bon côté.

La colère de l’être des ténèbres se fit entendre de plus belle : « Tu m’appartiens NOAH et je t’aurai. Tu n’as pas le choix si tu veux revoir ton grand père ! Et toi petit intrigant, laisse le tranquille ! »

Ceci dit le petit garçon entendit la voix enfantine comme lui et si douce pleurait de douleur et de crainte : « Laisse-moi, tu me fais très mal ! Laisse-moi s’il te plait ! »

NOAH en colère malgré son jeune âge pressa les pas malgré sa peur du noir. Puis à force d’avancer à tâtons, il tomba sur une main enfantine.

NOAH : « C’est toi ? Tu vas bien ? Répond moi, s’il te plait ! »

LENFANT : « Laisse-moi, fuis vers la lumière ! Tu ne peux plus rien faire pour moi ! Sauve-toi ! Continue de grimper si tu en as la force ! »

NOAH ne réfléchit pas deux fois, il suivit l’élan de son cœur. Celui-ci lui dicta son choix. Il donna un baiser sur la joue de l’enfant et il lui dit : « Va près de mon Papy ! Tu es libre maintenant ! Continue la quête pour moi et dit lui que je l’aime de tout mon cœur et que je lui demande pardon de ne pas avoir été jusqu’au bout. Je n’ai pas le choix ! »

Puis après ces mots il se jeta dans le vide en disant : « C’est moi que tu veux ! Laisse-le partir ! Arrête de lui faire du mal ! »

Sa chute sembla durer une éternité quand il fut rattrapé par l’ange GIOVANNY qui le ramena près d’une autre porte.

GIOVANNY : « Tu viens encore de passer une épreuve avec succès. Tu es devant la dernière. Repose-toi un moment. Remet toi de tes émotions et franchit là dès que tu le peux mais ne traine pas trop car ton grand père ne va pas très bien ! »

Après quelques instants pour se rendre compte qu’il n’était plus à la merci de cet être sinistre, le petit garçon prit sur lui-même et sa fatigue et franchit le portail.


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Il se retrouva sous un soleil ardent avec près de lui une petite gourde remplie d’eau et un morceau de pain. Il mit celui-ci dans sa poche et la gourde à son cou.

Puis il entendit la voix de GIOVANNY lui dire : « Suis ton cœur, il te dirigera vers le bon chemin. »

NOAH soupira : « Qu’allait-il encore lui arriver ? » Le visage de son Papy s’imposa à sa mémoire. Il scruta l’horizon et il dit tout haut : « Papy montre moi le chemin ! Tu es mon cœur, dirige moi ! Je t’aime grand père ! »

Puis il se mit en route droit devant lui, à la recherche de cet endroit paradisiaque qu’il voyait en songe. Ses pas devenaient de plus en plus lourds. Il avait l’impression de rôtir au soleil .Il humecta ses lèvres avec un tout petit peu d’eau. Il avançait comme un robot, petite mécanique de la vie sous un soleil de plomb.

Il essayait de chanter les chansons que lui avait apprises son grand père. Il n’arrêtait pas de tomber et de se relever, refusant on ne sait pourquoi de toucher à cette eau, cette source de survie. Les hallucinations commençaient à venir lui tenir compagnie.

Il voyait sa maman ricanait parce qu’il lui demandait un câlin ou son père l’envoyer promener en lui disant qu’il n’avait pas le temps de s’occuper d’un môme. Il n’arrivait même pas à pleurer. C’était trop dur pour lui.

Il fredonnait : « Grand père je viens te rejoindre, on ira au paradis, dit ! Je te vois là bas ! Pourquoi es tu allongé ? Tu ne devrais pas être ici ! Attends-moi papy, j’arrive ! Je vais te donner de l’eau et à manger ! J’ai tout gardé pour toi ! Papy pourquoi es tu aussi loin ? « Il délirait mais à force de sa petite volonté, celle de sauver son grand père, il arriva vers la personne allongée et il s’agenouilla à ses côtés.

NOAH : « (Il lui fit ouvrir les yeux, des yeux émeraude) Tu n’es pas mon papy mais tu as besoin de ca « et il lui donna son eau et son pain et s’évanouit dans ses bras. Le brave et vaillant petit soldat n’en pouvait plus .Il se laissa aller aux songes de l’oubli.



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Quand il se réveilla, il regarda autour de lui. Il était dans les bras de son grand père qu’il aimait tant à l’endroit même où il l’avait quitté. Les yeux de celui-ci étaient remplis de larmes qui coulaient à flots sur ses joues.

Puis il tourna à nouveau la tête et il vit l’ange GOVANNY qui égrenait des notes de musique sue sa harpe : « Eh bien NOAH il t’a fallu du temps pour te réveiller. Tu as passé tes épreuves avec succès ! Tu peux être fier de toi ! Tu es courageux, honnête et bon !

Tu t’es lance à corps perdu dans cette quête à la vie et tu as gagné ! Bravo tu peux rejoindre avec ton papy le monde des vivants. Désormais, grâce à ton courage et ta volonté sa vie sera prolongée ! »

A ces paroles, ils furent à nouveau transportés par cette poussière d’étoiles qui les ramena à leur point de départ ! Ils se regardèrent en silence et ne pouvaient guère dire un mot ! Leurs yeux et leurs cœurs parlaient pour eux deux.

Ils repartirent mains dans la main, chantant tout deux cette chanson qui désormais serait leur refrain d’amour. Ils savaient très bien tous les deux qu’ils ne pourraient jamais raconter à qui que ce soit leur histoire mais ils s’en fichaient : ils étaient trop heureux de vivre……..

BRIGITTE le 20/10/2008 avec l'aide de mon ange

Ma philosophie de la poésie

08 novembre 2008 - 08:50

La philosophie de la poésie……


La poésie est un art,
Aux autres,on leur en fait part,
En leurs faisants cadeaux,
De mots tellement beaux.

Elle est comme une peinture ,
Dont les couleurs,on s’y aventure,
Pour de celles-ci,en jouir,
A notre plus grand plaisir

Nos vers sont nos pinceaux,
Qui traces de jolies rimes ,
Au doux temps d’un rythme,
Que tous,on aimes tant.

Les poètes n’ont pas d’âge,
Dans l’innocence de gens sages,
Ils décrivent une joie de vivre,
Qui ne peut que nous faire sourire.

J’aime tout ce qui est beauté,
Mêmes si il y as des réalités
Dont je ne peut les oubliés ,
Surtout ne point me les cachés.

Ma compensation est dans l’écriture,
M’en faire une joie de votre lecture,
Pour ainsi me le dire ,
Heureux je suis de vous lire

Amis poètes,amies poétesse,
Ce n’est pas vous faire politesse ,
Que de vous dire un grand merci,
Pour tous les jolis poèmes que ici je lis.

Ma plus grande espérance,
Est que dans de beaux mots d’innocence,
Je ne peut y voir qu’une renaissance,
De cette belle langue qui nous vient de France…

Enfants,adultes,laissez votre plume,
Glissé dans une légère brume
De rêves conclués,de rêves à concrétisés,
Dans la poésie,tout n'y est que immense bonté


(Ma philosophie de la poésie)

Bernard Verpraet,

Mon banissement

07 novembre 2008 - 08:24

Commentaire de l'administrateur
- FrancoisGoin a la mĂŞme IP que lebullopsien, ce n'est probablement pas un enfant
- Quand bien même il avait été un enfant, le problème n'aurait pas été tel que vous le décrivez.
Tim


---

Je demande mon banissement de ce forum;
Certains de mes ami(es)savent ou me trouver............

Je suis heureux que François Groin soit protégés par ses parent.............


Alors pour mon banisseent,excusez moi TIM,mais vous êtes incapables de gérer votre forum,vous n'avez suivit la charte et laisser proférés insultes,vulgarité et j'en passes.............

Excusez moi les bons poètes que j'estime,mais je ne peut rester dans un forum de poésie ou la grossierté est le maître mot..........

Donc pour me faire bannir,je vais utiliser votre parler...........

TIM.........vous êtes un indigne d'administrer un forum ou la poésie est a partager avec toutes et tous,peu importe l'âge.....................

Votre charte dépend de la charte générale des forums,et en la connaissant très bien,(j'ai plusieurs forums)vous n'avez pas les capacités de la gérance d'un forum

Adieu pour certains,au plaisir de ne plus vous revoir.................

Vous ĂŞtes Obliger maintenant de me bannir(manquement Ă  la charte)

Mon paradis qui est le mien

06 novembre 2008 - 03:20



Le paradis qui est le mien



Une ruelle escarpé,

Faites de vieux pavés,

Un portail de fer forgé,

Ouverture d'un monde sacré.



J'y rentre tout en tristesse,

Courbé sous une peine sans cesse,

Et miracle, mon cœur devient allégresse

De la vue de jolis sentiers ratissés avec finesse,



Dans ce lieu de paix et sérénité,

J'y connais chaque allée,

Mes pas me guident dans un jardin fleuri,

Ou les tombes me tiennent compagnie.



Dans ce joli paradis,

J'y retrouve mes aimants,

Trop vite partis,

Qui sont pourtant ici. .



Je m'assieds sur un banc de pierre,

En fusion complète par la prière,

Leurs donnant des nouvelles ,

De leurs sœurs et frères,.



Doux moment de spiritualité,

Dont depuis tant et tant d'année,

Je n'arrive Ă  m'en passer,

Ne pouvant les oubliés.

Eux que j'ai tant désirés



Apres de longs moments de douce pensée ;

Je m'en retourne avec sérénité,

Rejoindre le monde des vivants,

Quittant ce joli paradis, ou je m'y plais tellement

.







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