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Je m’en vais vers cette terre inconnue,
Me battre dans une guerre jamais voulue,
Car fidèle à celle dont je suis dévolu,
Dans une relation parfois ambiguë.
Je te laisse en te disant au revoir ;
Ne lui en veut pas d’accomplir mon devoir,
Car c’est fier de la paix promouvoir,
Que je m’exécute sans déboire.
De grâce, sois fort pour que je le sois,
Car ton soutien m’est nécessaire quand vient l’effroi,
Et que devant tant d’horreur je pourrais perdre la foi ;
Alors sois fidèle au poste, car j’ai besoin de toi.
Et si dans ce combat je venais à tomber,
Alors ne juge pas ceux qui m’y ont envoyé,
Mais fustige sans relâche la bêtise humaine,
Qui sans égard m’aura enlevé à toi que j’aime.
creative2006
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Publications sur Toute La Poésie
A toi qui reste…
14 février 2009 - 12:44
Certaines rencontres…
14 février 2009 - 11:53
Je me souviens de cette exceptionnelle rencontre ;
Curieux certainement nous étions de nous découvrir,
Mais alors anxieux de cette vérité qui allait s’établir,
Qui sans nul doute marquerait le début ou la fin de ce conte.
« Le charme opéré, les masques sont tombés,
Le voile levé, les illusions envolées… »
Etait-ce alors une histoire sans lendemain ?
Là , au carrefour de ce chemin, serait-ce déjà la fin ?
Quoiqu’il en soit, la saison des amours n’était plus,
Et l’été ne laissait présager, hélas, rien de sur.
Chacun vaquions à nos occupations,
Mais en secret nourrissions le début d’une passion.
Oui, « la vie nous réserve de belle surprise… »
Tu es, aujourd’hui, ce qui m’est arrivé de plus beau ;
Et je voudrais simplement te dire sans méprise,
Je t’aime et ce ne sont pas là que des mots.
Curieux certainement nous étions de nous découvrir,
Mais alors anxieux de cette vérité qui allait s’établir,
Qui sans nul doute marquerait le début ou la fin de ce conte.
« Le charme opéré, les masques sont tombés,
Le voile levé, les illusions envolées… »
Etait-ce alors une histoire sans lendemain ?
Là , au carrefour de ce chemin, serait-ce déjà la fin ?
Quoiqu’il en soit, la saison des amours n’était plus,
Et l’été ne laissait présager, hélas, rien de sur.
Chacun vaquions à nos occupations,
Mais en secret nourrissions le début d’une passion.
Oui, « la vie nous réserve de belle surprise… »
Tu es, aujourd’hui, ce qui m’est arrivé de plus beau ;
Et je voudrais simplement te dire sans méprise,
Je t’aime et ce ne sont pas là que des mots.
Les désillusions d'une rencontre...
14 février 2009 - 11:52
La vie nous réserve de belles surprises.
Qui l'eut cru qu'en surfant sur la toile,
Dans ses méandres surgirait une étoile,
Exerçant sur vous une si douce emprise.
Passé alors le cap du timide salut,
Nous voilà haletant et le coeur palpitant,
Parti dans le jeu de la séduction voulue,
Par notre nous animal, maladroit souvent.
Petit à petit on ose se découvrir.
Sans même avoir vraiment levé le voile,
On fini rapidement par se dévêtir.
Le fruit alors consommé on se sent à poil.
Le charme opéré, les masques sont tombés
Le voile levé, les illusions envolées.
Que reste-t-il alors de cette échappée belle?
Le souvenir d'une rencontre exceptionnelle.
Qui l'eut cru qu'en surfant sur la toile,
Dans ses méandres surgirait une étoile,
Exerçant sur vous une si douce emprise.
Passé alors le cap du timide salut,
Nous voilà haletant et le coeur palpitant,
Parti dans le jeu de la séduction voulue,
Par notre nous animal, maladroit souvent.
Petit à petit on ose se découvrir.
Sans même avoir vraiment levé le voile,
On fini rapidement par se dévêtir.
Le fruit alors consommé on se sent à poil.
Le charme opéré, les masques sont tombés
Le voile levé, les illusions envolées.
Que reste-t-il alors de cette échappée belle?
Le souvenir d'une rencontre exceptionnelle.
Les désillusions d'une rencontre...
05 octobre 2008 - 11:54
La vie nous réserve de belles surprises.
Qui l'eut cru qu'en surfant sur la toile,
Dans ses méandres surgirait une étoile,
Exerçant sur vous une si douce emprise.
Passé alors le cap du timide salut,
Nous voilà haletant et le coeur palpitant,
Parti dans le jeu de la séduction voulue,
Par notre nous animal, maladroit souvent.
Petit à petit on ose se découvrir.
Sans même avoir vraiment levé le voile,
On fini rapidement par se dévêtir.
Le fruit alors consommé on se sent à poil.
Le charme opéré, les masques sont tombés
Le voile levé, les illusions envolées.
Que reste-t-il alors de cette échappée belle?
Le souvenir d'une rencontre exceptionnelle.
Qui l'eut cru qu'en surfant sur la toile,
Dans ses méandres surgirait une étoile,
Exerçant sur vous une si douce emprise.
Passé alors le cap du timide salut,
Nous voilà haletant et le coeur palpitant,
Parti dans le jeu de la séduction voulue,
Par notre nous animal, maladroit souvent.
Petit à petit on ose se découvrir.
Sans même avoir vraiment levé le voile,
On fini rapidement par se dévêtir.
Le fruit alors consommé on se sent à poil.
Le charme opéré, les masques sont tombés
Le voile levé, les illusions envolées.
Que reste-t-il alors de cette échappée belle?
Le souvenir d'une rencontre exceptionnelle.
A la guerre...
28 septembre 2008 - 08:29
Chaque jour, je te vois, tu es en moi.
Tu m'as vu naître et disparaître...
Chaque nuit, je te vois, quel effroi!
En moi tout se broie, quel mal-être!
C'est toi, ma misère et mes colères.
A cause de toi, j'erre loin de ma terre.
Tu m'as ôté les miens,
Alors que je n'étais qu'au sein.
Tu m'as enlevé, formé ou déformé,
Pour sûr à jamais brisé.
Drogue et alcool pour m'enfermer...
Aujourd'hui je suis terrorisé.
Sans coeur, sans foi ni loi, tu fais rage,
Ma vie et mon avenir, détruisant.
Mais jusqu'où poursuivras-tu ce saccage?
Arrête! Je ne suis qu'un enfant.
Tu m'as vu naître et disparaître...
Chaque nuit, je te vois, quel effroi!
En moi tout se broie, quel mal-être!
C'est toi, ma misère et mes colères.
A cause de toi, j'erre loin de ma terre.
Tu m'as ôté les miens,
Alors que je n'étais qu'au sein.
Tu m'as enlevé, formé ou déformé,
Pour sûr à jamais brisé.
Drogue et alcool pour m'enfermer...
Aujourd'hui je suis terrorisé.
Sans coeur, sans foi ni loi, tu fais rage,
Ma vie et mon avenir, détruisant.
Mais jusqu'où poursuivras-tu ce saccage?
Arrête! Je ne suis qu'un enfant.
