DE VOUS A MOI
Se détache de cette nuitée une silhouette graciée
Déambule dans l’effervescence votre esquisse distinguée
Doux présage illuminé ; votre regard m’accorderiez-vous ?
Embrase, ce lieu, une présence sublime de ce regard croiser,
Comme une révélation unique ; vos prunelles chatoyées de pensées
Aux firmaments des brillants ; votre sourire me le dévoueriez-vous ?
Etincelle magique de cet émoi, offrande échangée
Dans une bise de désir délectée, attirance acquiescée
Un don du soupire; Ce mot m'offririez-vous?
Les lèvres, suaves pétales roses, contractent l’appétence,
A initier le plaisir du derme effleuré sans offense et ni outrance
A cette enveloppe et cette chair si chère, vous dessaisiriez-vous ?
De la grâce, la beauté émanée, convoitisée
Couronnée par un vent d'envie échappé
Votre main fiévreuse, cette flamme allumeriez-vous?
L’ardeur de l’étreinte donne le souffle aux désirs charnels
L’envolée des mains incendiaires aux frôlements sensuels
Votre corps, douceur de crème, me l’étendriez-vous ?
Fragrance de nos essences mêlées, ivresse parfumées
Etrenne notre fusion brûlante ; passionnément vénéré
Amante de ce présent, votre amour me donneriez-vous ?
De l’alchimie qui jailli des corps et des âmes en mouvement
Pousse l’exaltation à son paroxysme aux plus doux des sentiments.
Amant de cet instant, en votre destin et votre sein me garderiez-vous ?
Aux doux cœurs envahis et enlacés de divins tournoiements Ptimots
Amalgame de deux fièvres croissantes ; épouser ce nouveau chemin
Alliance du divin, je vous chante: De vous à moi, de moi à vous.
Aventurine
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De Vous à Moi
26 octobre 2008 - 04:48
N'oublies pas
01 octobre 2008 - 05:58
Si quelques fois l’ombre fait place à ta lumière
Si quelques fois dans l’obscurité, tu te perds
Si quelques fois ta main bafouée, dans le noir se terre
N’oublies pas que je suis lÃ
Si parfois la chair de ta chair si chère
Erre dans l’ombre éparpillée de chimères
Dans ce silence d’or qui bat et aime sa mère
N’oublies pas que je suis lÃ
Si le poids du passé t’écrase, efface ton sourire,
Fébrile, pas à pas ta vie défile, dérive éphémère
Laisse moi ouvrir mes lèvres et t’embrasser de rire
N’oublies pas que je suis lÃ
Je reste dans ton ombre pour jaillir ta lumière
Laisse moi te caresser de je t’aime, ma mère
A cœur ouvert sur des horizons à découvert
Foisonne une berceuse d’enfant vague à la mer
N’oublies pas que je suis lÃ
Si quelques fois de moi tu doutes, un peu amer
Sur des actes manqués, au cœur refoulant l’air
N’oubli jamais qu’au plus profond je te vénère
N’oublies pas…
Si quelques fois dans l’obscurité, tu te perds
Si quelques fois ta main bafouée, dans le noir se terre
N’oublies pas que je suis lÃ
Si parfois la chair de ta chair si chère
Erre dans l’ombre éparpillée de chimères
Dans ce silence d’or qui bat et aime sa mère
N’oublies pas que je suis lÃ
Si le poids du passé t’écrase, efface ton sourire,
Fébrile, pas à pas ta vie défile, dérive éphémère
Laisse moi ouvrir mes lèvres et t’embrasser de rire
N’oublies pas que je suis lÃ
Je reste dans ton ombre pour jaillir ta lumière
Laisse moi te caresser de je t’aime, ma mère
A cœur ouvert sur des horizons à découvert
Foisonne une berceuse d’enfant vague à la mer
N’oublies pas que je suis lÃ
Si quelques fois de moi tu doutes, un peu amer
Sur des actes manqués, au cœur refoulant l’air
N’oubli jamais qu’au plus profond je te vénère
N’oublies pas…
Chimères de l'Ame
01 octobre 2008 - 04:51
Sur les torpeurs de ma vie, ma ruine gît la inerte
Sur des illusions languies mon âme meurtrie vol au-delÃ
Dénouée de cette épaisse fumée insalubre et putréfiante
Mes entrailles avides de corruption et perversions avortent ici bas
L’inertie des heures blafardes éternelles se fige
Longue attente sans supplice, ce corps à la merci
Mes démons obscures perfides se profilent érigent
Mon cadavre solennel et indécemment inconscient trahis
Défiant toutes contre verses entêtantes
Sans injures les morsures du temps s’enfile
Inconnue d’une société tragique et futile
Attente d’une révolte, en apesanteur ce cri flotte
Vomissures d’amertumes en proies à la folie
Funanbule sur le tranchant de la tragédie
Dangereusement la mélancolie charge et m’attaque
Mais qui viendra me délivrer de cette agonie ?
Des parcelles de chimères s’entrelacent et s’embrasent
Sur mon fléau se penchent perplexes, sur mon sort s’écrasent
Et dans un élan de violence et de grâce m’affligent cette claque
Tout vole en éclat ! Abasourdie, je jubile de cette extase.
Sur des illusions languies mon âme meurtrie vol au-delÃ
Dénouée de cette épaisse fumée insalubre et putréfiante
Mes entrailles avides de corruption et perversions avortent ici bas
L’inertie des heures blafardes éternelles se fige
Longue attente sans supplice, ce corps à la merci
Mes démons obscures perfides se profilent érigent
Mon cadavre solennel et indécemment inconscient trahis
Défiant toutes contre verses entêtantes
Sans injures les morsures du temps s’enfile
Inconnue d’une société tragique et futile
Attente d’une révolte, en apesanteur ce cri flotte
Vomissures d’amertumes en proies à la folie
Funanbule sur le tranchant de la tragédie
Dangereusement la mélancolie charge et m’attaque
Mais qui viendra me délivrer de cette agonie ?
Des parcelles de chimères s’entrelacent et s’embrasent
Sur mon fléau se penchent perplexes, sur mon sort s’écrasent
Et dans un élan de violence et de grâce m’affligent cette claque
Tout vole en éclat ! Abasourdie, je jubile de cette extase.
Danse la Providence
01 octobre 2008 - 02:34
Ma belligérance aux sentences de décadences
A semée mon sentier sur d’autres transhumances
Isolant d’anciennes sensations d’évanescences
Laissant insolemment le soleil hâlé nos ressemblances
Ce scintillement sublime notre esquisse luminescence
Sur toi, Mon Excellence, Messager de clairvoyance
Sur toi, Mon Eminence, pleins d’indulgences, je pose mes espérances
Ouvrons nos passions lustrées éprises de belles Providences
Notre déhiscence embrase nos cœurs dans une romance
En transe, nous dansons sur cette ex-vétérance
Valsons en cadence sur cette flagrance
Qui encense nos sentiments d’une douce véhémence
Ton omniprésence ensorcelle mon esprit par ta futile présence
Caresse subtile de ta flamme reluisante de Noblesse
Embrassons nos sens sous les cieux, les yeux des Déesses
Spectatrices de nos âmes sœurs somptueusement amoureuses
Jouissons de cette croyance d’alliance
Mêlé d’effervescence, d’émotions intenses
Signons de nos sceaux cette superbe quintessence
Unissons nos songes de cette éternelle jouvence
A semée mon sentier sur d’autres transhumances
Isolant d’anciennes sensations d’évanescences
Laissant insolemment le soleil hâlé nos ressemblances
Ce scintillement sublime notre esquisse luminescence
Sur toi, Mon Excellence, Messager de clairvoyance
Sur toi, Mon Eminence, pleins d’indulgences, je pose mes espérances
Ouvrons nos passions lustrées éprises de belles Providences
Notre déhiscence embrase nos cœurs dans une romance
En transe, nous dansons sur cette ex-vétérance
Valsons en cadence sur cette flagrance
Qui encense nos sentiments d’une douce véhémence
Ton omniprésence ensorcelle mon esprit par ta futile présence
Caresse subtile de ta flamme reluisante de Noblesse
Embrassons nos sens sous les cieux, les yeux des Déesses
Spectatrices de nos âmes sœurs somptueusement amoureuses
Jouissons de cette croyance d’alliance
Mêlé d’effervescence, d’émotions intenses
Signons de nos sceaux cette superbe quintessence
Unissons nos songes de cette éternelle jouvence
Douce Ivresse
01 octobre 2008 - 02:33
Sur ma balancelle, A l’ombre du cerisier
Douce ivresse décantée, la tête renversée
Au pale soleil vermeil sur mes joues chauffées
Perles de feu, calcine ma mélancolie apeurée
Une pluie cristalline ; abreuve mes yeux
Elixir pathétique de songes capiteux
Au cœur d’une vague d’amertume salée
Mourante sur mes lèvres figées
Douce nature berce moi encore
Caresse de ta brise, ma folie
A ton feuillage menu m’étreindre
Enrobe moi de tes sucs ; jusqu'Ã la lie
Où salive d’envies l’acre et râpeux ennui
Parfume d’un zest acide, mes ivres lubies
Douce ivresse décantée, la tête renversée
Au pale soleil vermeil sur mes joues chauffées
Perles de feu, calcine ma mélancolie apeurée
Une pluie cristalline ; abreuve mes yeux
Elixir pathétique de songes capiteux
Au cœur d’une vague d’amertume salée
Mourante sur mes lèvres figées
Douce nature berce moi encore
Caresse de ta brise, ma folie
A ton feuillage menu m’étreindre
Enrobe moi de tes sucs ; jusqu'Ã la lie
Où salive d’envies l’acre et râpeux ennui
Parfume d’un zest acide, mes ivres lubies