N’est il pas de bonne raison
Que de vire de ses passions
N’est ce pas la solution
A tord ou à raison
Les passions se nourrissent des pulsions
Il n’y a point d’inspirations
Mais souvent de grands frissons
Moment de grandes exaltations
Les mystères des pulsions
Non point de réflexions
Car ils sont les tentations
De tous nos émotions
Toujours nous cherchons
A déchiffrer nos émotions
Laissons les vivres à foison
Sans trouver de solution
Vivre est dans la raison
Mais aimer est dans la passion
Fruit des plus belles émotions
Alors vive les pulsions
GranLou
GranLou
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Passions
08 novembre 2008 - 02:14
Le FOU aime la REINE
07 novembre 2008 - 12:46
Un Fou se languit pour une reine
Mais comment aimer une souveraine
Son cœur bat pour les princes ou les chevaliers
Lui sans destrier, armé de simples clochettes sur sa tête de fêlé
Seul dans ses rêves il ose y penser
Galopant à ses cotés, enserrés ses bras enroulés
Pauvre Fou qui chaque matin voit la belle
La saluant, se courbant devant elle
Mais de sa bouche aucun mot ne sort sauf une pauvre voyelle
La peindre il sait pourtant, dessin couleurs d’aquarelle.
Mais pour briller au près d’elle il faut être au moins géni
Avoir le verbe haut à faire tourner l’esprit
Miroiter le soleil comme l’aiment les pies
Ou la plonger dans le torrent de la vie.
Le Fou, lui n’as que son cœur à donner
Sous ses habits de palefrenier
Costume de valet ne laissant deviner ses bontés
Seul richesse dans un homme sachant aimer
Mais le cours de la vie est autrement écrit
Pour plaire, aimer n’est point assez, s’en est ainsi
Il faut faire rêver et se servir de la magie
Laissant croire à un amour venu d’un autre pays
Le Fou de tout cela n’a point la faculté
Ne sachant en lui-même tricher
Pour lui parler est dire la vérité
Il ne sera ainsi jamais se faire aimer
N’ayant peur de se faire châtier
Par le Roi et les preux chevaliers d’oser ainsi courtiser
A-t-on déjà vue un Fou et une Reine convoler
Même dans les contes de Fées cela ne peut exister
GrandLou
Mais comment aimer une souveraine
Son cœur bat pour les princes ou les chevaliers
Lui sans destrier, armé de simples clochettes sur sa tête de fêlé
Seul dans ses rêves il ose y penser
Galopant à ses cotés, enserrés ses bras enroulés
Pauvre Fou qui chaque matin voit la belle
La saluant, se courbant devant elle
Mais de sa bouche aucun mot ne sort sauf une pauvre voyelle
La peindre il sait pourtant, dessin couleurs d’aquarelle.
Mais pour briller au près d’elle il faut être au moins géni
Avoir le verbe haut à faire tourner l’esprit
Miroiter le soleil comme l’aiment les pies
Ou la plonger dans le torrent de la vie.
Le Fou, lui n’as que son cœur à donner
Sous ses habits de palefrenier
Costume de valet ne laissant deviner ses bontés
Seul richesse dans un homme sachant aimer
Mais le cours de la vie est autrement écrit
Pour plaire, aimer n’est point assez, s’en est ainsi
Il faut faire rêver et se servir de la magie
Laissant croire à un amour venu d’un autre pays
Le Fou de tout cela n’a point la faculté
Ne sachant en lui-même tricher
Pour lui parler est dire la vérité
Il ne sera ainsi jamais se faire aimer
N’ayant peur de se faire châtier
Par le Roi et les preux chevaliers d’oser ainsi courtiser
A-t-on déjà vue un Fou et une Reine convoler
Même dans les contes de Fées cela ne peut exister
GrandLou
L'hoome de la rue
07 novembre 2008 - 12:29
Toi l’homme du caniveau
Qui rêve d’un lit bien chaud
Alors que dehors la glace a pris le corps à l’eau
Tu grelottes sous ton maigre manteau
Toi mon frère qui par les temps qui cours
S’est retrouvé à la rue en pleine basse cours
Tu regardes les passants faire les sourds
N’étant bon qu’à faire de beaux discours
Toi qui tends la main
Pour ne plus avoir faim
Assis à coté de ton chien
Croises tu souvent d’être humain
La fraternité n’est pas toujours
Dans la race qui vous fait naître au jour
Mais dans le regard de votre compagnon de toujours
Chien fidèle jusqu’aux moindres détours
Toi cette homme avec qui un jour peut être
Je partagerai ta couche en hêtre
Banc public où le soir il ne fait point bon y être
Car y dormir en hiver est un combat avec la vie sur terre
Qui t’as fait basculer dans ce cauchemar et l’enfer
Le grand Capital et son gant de fer
Te jetant à la porte comme on lance un dé en l’air
Ta vie n’étant point son affaire.
Dans ces moments de grandes solitudes
Ou l’on perd tous ses repères ses attitudes
Ou un billet et un sourire peut être béatitude
Qu il doit être dur de rester digne aux insultes
Mais si un jour je suis comme toi
Et que l’on m’ait retiré mon toit
Je souscrirai à ta nouvelle loi
Survivre un jour à la fois
Alors Messieurs Dames les bons pensants
Si un jour vous me croisez en passant
N’ayez de remords en donnant
Quelques pièces de monnaie à un pauvre mendiant
L’avenir est le parchemin de la vie
Où l’on peut lire le texte où l’on est assis
Mais aveugle je suis
Si je pense en connaître le suivi
Qui rêve d’un lit bien chaud
Alors que dehors la glace a pris le corps à l’eau
Tu grelottes sous ton maigre manteau
Toi mon frère qui par les temps qui cours
S’est retrouvé à la rue en pleine basse cours
Tu regardes les passants faire les sourds
N’étant bon qu’à faire de beaux discours
Toi qui tends la main
Pour ne plus avoir faim
Assis à coté de ton chien
Croises tu souvent d’être humain
La fraternité n’est pas toujours
Dans la race qui vous fait naître au jour
Mais dans le regard de votre compagnon de toujours
Chien fidèle jusqu’aux moindres détours
Toi cette homme avec qui un jour peut être
Je partagerai ta couche en hêtre
Banc public où le soir il ne fait point bon y être
Car y dormir en hiver est un combat avec la vie sur terre
Qui t’as fait basculer dans ce cauchemar et l’enfer
Le grand Capital et son gant de fer
Te jetant à la porte comme on lance un dé en l’air
Ta vie n’étant point son affaire.
Dans ces moments de grandes solitudes
Ou l’on perd tous ses repères ses attitudes
Ou un billet et un sourire peut être béatitude
Qu il doit être dur de rester digne aux insultes
Mais si un jour je suis comme toi
Et que l’on m’ait retiré mon toit
Je souscrirai à ta nouvelle loi
Survivre un jour à la fois
Alors Messieurs Dames les bons pensants
Si un jour vous me croisez en passant
N’ayez de remords en donnant
Quelques pièces de monnaie à un pauvre mendiant
L’avenir est le parchemin de la vie
Où l’on peut lire le texte où l’on est assis
Mais aveugle je suis
Si je pense en connaître le suivi