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@kuassarim

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Messages que j'ai posté

Dans la publication : je pense à lui

29 mai 2009 - 11:15

Bonsoir..

Poésie poignante ...
douloureuse.
très émue par tes mots....

C''est à ton père que tu devrais adresser tes mots....

Sublimes vers...

Amitiés
Estelle


Merci des ton appréciation
Quant à mon père, ces vers lui sont bien adressés et je lui ai envoyés avant de les publier ici.
Amicalement
Akuassarim.

Dans la publication : Parfois, j'erre en aveugle

17 mars 2009 - 11:04

Je suis plutôt antimilitariste, mais j' aime bien le mot "combat" quand son issue ne comporte que des vainqueurs.
Et des combats il y en a à mener, et des ennemis il y en a à combattre !
On peut combattre la guerre, l' individualisme, les peines et les malheurs en tous genres.
Alors oui il y a la quête, mais souvent elle s' apparente au combat.
La vie n' est pas un long fleuve tranquille comme on dit, et souvent il faut donner des bons coups de pagaie pour ne pas se laisser couler.
le combat c' est la force la rage de vivre !
En nous combattent Eros et Thanatos !

Amitiès

Pour ma part, je suis un militaire
et je sais qu'il n'y a pas de combat sans vaincu
certes, il y a des combats tout à fait louables contre les injustices ou la souffrance humaine.
c'est vrai en nous combattent Eros et Thanatos, mais chacun sait que finalement c'est Thanatos qui gagne.
C'est pourquoi,je préfère voir la vie comme une quête même si je sais aussi qu'elle n'est qu'un combat.
Elle est aussi échange lorsque l'on communique et de cela je te remercie beaucoup
Amicalement

Que te dire...Sinon qu'il y a un temps pour tout.
Celui des combats imperieux, des revoltes instinctives et l'âge où l'on aspire à la paix. Celle avec soi-même.
Quand je te parlais de tristesse, c'était sans déplorer, parce que l'on a tous en soi une mémoire de souffrance.
Grandir, encore grandir, et c'est en vieillissant que l'on prend conscience et plaisir d'avoir inscrit sa propre petite légende au travers de ce qui fut habité, à l'interieur de soi, par ce qu'on n'osait pas désacraliser. Il y a des piedestals qui n'ont pas lieu d'être. Déboulonner pour renaître.
On est finalement peu, mais précieux pour soi et peut-être pour d'autres, ceux sur qui l'on porte un regard de tendresse, et qui nous le rendent bien. Ne jamais desesperer...


Grâce à tes mots, je me retiens de désespérer.
De ton précédent commentaire (celui qui m'a inspiré le troisième quatrain) j'avais compris que, si on voit la vie seulement en terme de victoire ou de défaite, on se condamne à une triste existence. Avec un raisonnement plus nuancé, la vie est plus belle et l'espoir revient. C'est cette approche que tu m'as fait choisir que je voulais exprimer par ce quatrain.
Amicalement

Dans la publication : Me promenant un soir

23 décembre 2008 - 06:06

pour le premier quatrain:
pensée compte deux ! le "e" n'est muet qu'a la fin du vers, il faudrait faire commencer la deuxième partie du vers par une voyelle pour faire taire ce "e"
u-ne -pen-sé-e -con-duc-tri-ce:8 pieds
u-ne -pen-sé-e é-duc-tri-ce : 7 pieds (pour mémotechnique)
bien sur vous me direz que je suis trop tatillon...surement cependant la langue française possède plus de trésor que l'on croit, savez vous ce que l'on peut faire d'un "e" comme trésor phonétique ? des centaines de millier de merveilles !
pour "premier" v4,"lieu" v8, il faut compté le i tout seul, ce qui vous rajoute un pied, mais cette regle est la plus difficile, ce qui force un peu plus encore mon admiration de vous voir tenter ce genre d'utilisations perilleusses,il faut se fier a un dictionnaire de versifi pour verifier, ou demander a gardia qui imite très bien cet objet (je parle du dico)
même erreur que la première pour idées
en tout cas pour le reste : perfect, pratiquement aucune erreur d'hémistiche, aucune erreur du tout de genre de rime (les plus fréquentes pourtant)

je passe a la musicalité
est ce expres que vous jouez dans la première strophe avec des sons de cette manière (labiale et dentale : p b et t) et du liquide apposée r ou l

c'est du plus bel effet

j'ai répété deux fois pour sentir ma langue jouer avec mon palais (merci j'ai eu l'impresion d'embrasser une femme, qui a dit que la littérature était vieillote et sans libido?...hi!hi!)
c'est ce qui arrive quand sur peu de ligne on ecrit de suite "promenant" "semble" "esprit" "plein" "entrain" "attrapant" "assemble" "plume" "naître" "premier" "quatrain"
pre ble pre ple tre tre ble tre pre tre
excellent!
je continue, je ne vous ennuie pas trop?
une rime de 8 mono syllabes c'est ce qui s'appelle une rime riche
le second quatrain , grace au son, tire la couverture vers la fin du vers, et le dernier fait l'inverse, par le jeu rythmique des sujets verbes qui attire l'accent exclamatif au debut du vers

mais ce n'est que mon avis

Dragon (fou)


Salut Dragon,
après recherche dans un dictionnaire de versification et lecture de quelques poèmes classiques, je comprends bien la règle concernant le l"e" caduc, règle que certains considère obsolète mais que j'ai le désir de respecter. Par contre, je ne rejoins pas ton découpage de "lieu" et "premier" que j'ai trouvé comptant pour 1 et 2 pieds dans certains poèmes (lecomte delisle par ex)
De plus, on les prononce naturellement ainsi, contrairement à hier (hi-er) par exemple.
Cela dit, je cherche encore une solution pour pensée et idées sans tout chambouler dans mon texte.
Amicalement,Akuassarim

Dans la publication : Geignements dépressifs

23 décembre 2008 - 04:57

... les femmes, je ne sais que les indisposer!!
tiens donc, cherche plutôt les femmes qui aiment la poésie, et je suis sûre que tes vers les feront vibrer!!
lol! j'essaie de te faire sourire!
bisous
nina


Ce n'était pas le cas de celle à l'origine de ces vers...
Merci, de tes encouragements...pour rire ;)

Dans la publication : Geignements dépressifs

23 décembre 2008 - 09:20

moi ce qui m'intrigue c'est qu'alors que tu maîtrises visiblement la métrique (même si j'ai déjà vu inspirations mieux... plus... disons... hem ;) ! plus soutenues ?) Donc ! ce qui m'intrigue c'est que tu aies laissé ce "e" faire dans ton vers un pied de trop

le "e" muet ou semi-muet doit être absorbé par une voyelle, isolée, (à, ô), ou n'importe quelle autre qui commence le mot suivant
"vi-e de" ça compte trois

je sais la difficulté de la correction (à mon avis tu dois changer carrément la rime donc aussi le premier vers)
mais bon tu vois, je te fais mentir quand tu écris :
Ainsi, je suis si seul que j'aimerais oser
Mettre un terme à tout ça, mais je suis bien trop lâche.


Tu n'es pas seul je suis là ;) et tu as intérêt à mettre un terme à tout ça, trois quatrains impeccables une fois la faute corrigée :)

.


Bien vu ,Gardia
J'avais bien remarqué ce "e" qui traîne en tapant ce quatrain alors que j'étais persuadé d'avoir pris en compte les remarques de dragon sur mon dernier poème. Mais je n'ai pas eu le courage (j'ai été trop fainéant) pour remettre mes vers sur l'ouvrage au moment de cliquer. D'ailleurs, je dois aussi trouver des solutions pour "me promenant un soi".
Promis, je vais essayer de faire taire ce "e" mais je voudrais conserver ma rime de "merde" ( pas facile)

Gardia ! Zorro de la poésie , ça nous manquait un peu, le petit professeur qui est en toi vient de se rallumer.... tu as raison , voilà les vacances et il ne faut pas perdre la main....
Ceci dit Gardia c'est certainement ce genre de commentaire qu'il faut faire dans ce cas là , aurais tu aussi étudié la psychanalyse ?(à prendre au premier degré , je ne déconne pas là ! )
Au fait , il n'est pas si mal que ça ce poème , moi je l'ai bien aimé ...Et puis on a tous à un moment de notre vie un petit coup de déprime ,et quand on a la chance d'aimer la poésie , ça passe relativement vite ...


Exact! Herr Freud! En général, je préfère écrire que bouder dans mon coin quand le moral est en berne. D'ailleurs, j'écris plus souvent quand je ne n'ai pas le moral. 9a doit se voir avec mes thèmes récurrents. Merci, d'avoir aimer.