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larmes d'or

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Publications sur Toute La Poésie

pensée mouvementé

31 janvier 2009 - 10:41

Ô triste biche qui vagabonde
tu t'éloigne parmi pré et forêt
toujours tu reviend sans ne jamais te perdre
mais jamais par le même chemin

Ô oisillon qui sautille
de ton nid jamais tu ne sors
pourtant il n'y a pas une expédition
sans connaître le monde, que tu n'aurai rêver

Ô requin féroce
qui glisse fluidement dans ces eaux
il n'y a pas un poisson
que tu n'ai manquer d'attaquer...



Ô pensée,
qui flotte parmi mot, monde et image
pourquoi es-tu toujours aussi troubler
pourquoi ne cesse-tu pas de toujours autant te métamorphoser...

sous le ciel

31 janvier 2009 - 12:03

couvert du ciel
nous éteindrons les étoiles, et même la lune
étendu sur le sable, sur les dunes
nous rencontrerons les anges, ces dieux éternels

le vent glissera sur nos corps
l'eau perlera sur notre peau
jusqu'a ce que nos souffles morts
se taise... et nous verrons à quel point ceci est si beau

oui le ciel noir
peut être beau, seulement si
nous y sommes confondu par cette foire
qui nous y lie
dans cette foire qui nous montre les joies de la vie
alors, seulement alors
peut paraître beau le ciel si noir
car nous y serons tout les deux
plus brillant que des dizaine de soleils réunit
aussi brillant que la vie!

face a mes peines

19 janvier 2009 - 02:57


En l'abysse noir de mes pensées,
je me nois toujours un peu plus profondément parmis des mots et sujets obscurs.
Je perd tout mes moyens,
il n'y a que mes yeux et ma conscience,
qui contemple sans arrêt ce long labyrinthe.
Il habrite derrière chaque murs,
des mystères sombres.

Que ma conscience et mes yeux,
pour faire fasse a mes souffrances
et pour en comprendre le sens.
Si mes mains n'étaient pas paralysées par la peur,
elles couvriraient mes yeux pour m'habriter de cette horreur.
Si mes pieds n'étaient point point paralysés d'effroi,
ils feraient marchent arrière pour fuir encore une fois...
Et non ...
Que ma conscience et mes yeux,
pour faire face à la réalité qui me ronge.
Que ma conscience et mes yeux,
plus aucune fuite ne m'est permise.

Toute ma vie j'ai fuit.
Une seule pause a permis à la réalité de me rattrapper.
Je suis glacé par la terreur.
Je suis face à mes peines, seule sans pouvoir fuir, je dois les affronter.

Lorsque toute les mers auront couler,
que me restera-t-il a faire?

Inoubliable?

09 janvier 2009 - 03:48

Je sens la tiédeur d'un souffle sur mes joues
Pourtant le mien n'est plus
J'oublie de respirer, mon estomac se noue
Tout en mon être n'est que bonheur absolue

J'oublie tout, j'oublie même que je suis,
Je suis emporter en ce bleu couleur de nuit
Je tourbillonne, j'ai le tourni
Sers moi plus fort en tes bras que cesse ce vertige qui m'envahi

Des lèvres se posent sur les miennes
Mais je ne sens rien,
Je suis toute engourdis, même mes mains,
Ne sentent plus la douceur des tiennes

Ceci était supposer être un moment inoubliable,
Pourtant, ni mon odorat, mon toucher, ma vue, mon ouïe, mon gouter
Ainsi que mon esprit,, ma pensée
Ne se souviennent se baiser...

Mon coeur se souvient

04 janvier 2009 - 08:50

Mon coeur se souvient
D'un jour ou tout est mort
Mais ma tête parvient
À oublier avec effort

Mon coeur se souvient
D'un jour ou tout était froid
Ce n'était pas la neige qui couvrait tout les chemins
Mais bien cette tragédie qui nous donnait si froid

Mon coeur se souvient
D'un jour ou tout semblait calme, normal
Tout nous semblait lointain
Dans se royaume glacé, se rêve hivernal

Chacun de nos coeurs se souvient
De ce jour ou tu est parti en vain
Le froid avait tout glacé entre toi et moi
Mais en nos coeur tout était plus froid





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