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ai je besoin de dire je t' aime
pour que tu puisses un jour me croire?
suis je obligé de crier sous mes murs,
que tu représente tous mes désirs ,
pour que tu saches que t' es mon emblème?
a-t- il fallu que tu lises mes mots ,
pour que tu apprennes combien tu vaux?
faut il toujours être là toutes les nuits
pour parvenir à t' arracher ces mauvais ouïes?
suis je sensé te prendre dans mes bras
pour te faire quitter tes embarras ?
plus aucun mot ne me sera apport
pour te faire croire cet envie si fort
celui de vouloir t' aimer sans tort .
plus aucune parole ne me sera fiable
pour te montrer que t' es l' être désirable.
plus aucune plume viendra à bout
pour te dire que tu comptes plus que tout
plus besoin de toutes les nuits
pour t' aider à oublier tes ennuies
plus la peine d' être dans mes bras
pour pourchasser tes tracas
car mon coeur t' a déjà tout réservé
au fond de lui a juré de toujours te protéger,
que penser à de telles choses te serait insensé.
aboubacar ghanem
Inscrit(e) : 16 janv. 2009Hors-ligne Dernière activité : févr. 13 2009 08:47
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Invité
24 janv. 2009 - 22:38
Publications sur Toute La Poésie
ai - je besoin de dire je t' aime
16 janvier 2009 - 03:18
illusion du bonheur
16 janvier 2009 - 03:11
j' ai souvent entendu parler de lui
que tout ce qu' on fait c' est pour lui
qu' il est notre compagnon fidèle
qu' avec lui une âme acquis l' éternel
et qu' une fois en face de nous
après l' avoir cherché de partout
il ne nous abandonne pas
qu' il reste l' ange gardienne
où que nous puissions aller , pour guider nos pas
on m' a dit qu' il faut juste sourire
sourire même quand la vie cherche à nuire
quand les larmes cherchent leur mots à dire
et attendre à ce qu' il vienne nous séduire
c' est là où tant d' hommes se sont senti trahis
observant dans l' impuissance le pire des gâchis
celui d' avoir tant attendu et voir leur coeur appauvris
existe - t - il vraiment , ce bonheur idéal?
soyez , espérez , mais de ma vie
je ne lui vendrai pas son spiral
car nous sommes un monde maudit
condamnés à subir du mal
le sacré coup de sa scie
que tout ce qu' on fait c' est pour lui
qu' il est notre compagnon fidèle
qu' avec lui une âme acquis l' éternel
et qu' une fois en face de nous
après l' avoir cherché de partout
il ne nous abandonne pas
qu' il reste l' ange gardienne
où que nous puissions aller , pour guider nos pas
on m' a dit qu' il faut juste sourire
sourire même quand la vie cherche à nuire
quand les larmes cherchent leur mots à dire
et attendre à ce qu' il vienne nous séduire
c' est là où tant d' hommes se sont senti trahis
observant dans l' impuissance le pire des gâchis
celui d' avoir tant attendu et voir leur coeur appauvris
existe - t - il vraiment , ce bonheur idéal?
soyez , espérez , mais de ma vie
je ne lui vendrai pas son spiral
car nous sommes un monde maudit
condamnés à subir du mal
le sacré coup de sa scie
j' ai peur! amour
16 janvier 2009 - 03:09
Toi Youmna, l'amour de sang
Toi que j'aime depuis longtemps
Est-ce que comme moi sur tes épaules
Tu sens l'âme qui te frôle
Toi qui ris de tout de rien
Qui ne crains rien de demain
Moi Ghanem qui vit le beau
Ce soir amour je te l'avoue
J'ai peur ! J'ai peur !
Que nos ombres si légères
Demain se changent en pierre
Que les étoiles qui nous guident
Qu'un jour tout se vide
J'ai peur ! J'ai peur !
Que demain tout s'arrête
Que l'ennui s'installe dans nos tètes
Que le vent du hasard
Se prennent dans nos guitares
Toi mon aimé, la femme de mes gouts
Toi qui veux gouter à tout
Mon amour pour toi, t'est le plus bel arbre
Viens faire tes semences
Obtenir les fruits de l'aisance
Toutefois, j'ai peur ! J'ai peur !
Toi qui as de la jeunesse
Tout le courage l'espoir et la tendresse
Alors écoutes et vois tes entourages
Leur je t'aime perdus dans les naufrages
J'ai peur ! J'ai peur !
De la vie qui nous attends
Des mensonges incessants
Pour nous tout est facile
Le bonheur est fragile
Mon amour j'ai peur !
Que les dieux en colères
Songent sur toi qui me fait plaire
Ou sur moi qui ne digère
Ton absence, bien si légère
J'ai peur ! J'ai peur !
Viens à mes cotes
Pour me les citer
Les je t'aime mon amour
Pour rassurer mes jours
Et aussi par tes tendres mains
Me rassurer de demain
Je t'aime ! J'ai peur !
Ne me laisse pas dans cet air
De loin à Dakar je te sens
Mais de prés en Egypte je le sens
Nous deux dans l'avenir
Et une famille dans l'élixir
Je t'aime Youmna, c' est pourquoi j'ai peur.
Toi que j'aime depuis longtemps
Est-ce que comme moi sur tes épaules
Tu sens l'âme qui te frôle
Toi qui ris de tout de rien
Qui ne crains rien de demain
Moi Ghanem qui vit le beau
Ce soir amour je te l'avoue
J'ai peur ! J'ai peur !
Que nos ombres si légères
Demain se changent en pierre
Que les étoiles qui nous guident
Qu'un jour tout se vide
J'ai peur ! J'ai peur !
Que demain tout s'arrête
Que l'ennui s'installe dans nos tètes
Que le vent du hasard
Se prennent dans nos guitares
Toi mon aimé, la femme de mes gouts
Toi qui veux gouter à tout
Mon amour pour toi, t'est le plus bel arbre
Viens faire tes semences
Obtenir les fruits de l'aisance
Toutefois, j'ai peur ! J'ai peur !
Toi qui as de la jeunesse
Tout le courage l'espoir et la tendresse
Alors écoutes et vois tes entourages
Leur je t'aime perdus dans les naufrages
J'ai peur ! J'ai peur !
De la vie qui nous attends
Des mensonges incessants
Pour nous tout est facile
Le bonheur est fragile
Mon amour j'ai peur !
Que les dieux en colères
Songent sur toi qui me fait plaire
Ou sur moi qui ne digère
Ton absence, bien si légère
J'ai peur ! J'ai peur !
Viens à mes cotes
Pour me les citer
Les je t'aime mon amour
Pour rassurer mes jours
Et aussi par tes tendres mains
Me rassurer de demain
Je t'aime ! J'ai peur !
Ne me laisse pas dans cet air
De loin à Dakar je te sens
Mais de prés en Egypte je le sens
Nous deux dans l'avenir
Et une famille dans l'élixir
Je t'aime Youmna, c' est pourquoi j'ai peur.
d' elle, mon bonheur
16 janvier 2009 - 03:03
Mes lueurs d'espoir ternissaient
Au bord de la mer
Regrettant mes années si amères
Je vois dans les horizons une lumière
Je rassemble tout
J'embarque , observer de près
Voir ces étincelles et leur bout
Sous les plaintes , de loin , une chose souriait
Je ne pus m'empêcher de pleurer
Versant des larmes pour avoir tant donné
Pour avoir offert ma générosité
A des hommes incapables d'aimer
Pour avoir cru en la gloire d'un monde
Où rien n'y est , et n'est que nauséabonde
Mon voyage fut long
Malgré le chagrin
Un goût de vivre montait d'un échelon
C'était du bonheur son échantillon
J'aperçus un si beau paysage
C'était le reflet de son beau visage
Un vent doux caressant , allait et venait
C'était ses petites jolies et tendres mains
Deux lumières comme le soleil et la lune
C'était ses beaux petits yeux
Cette clarté belle et diurne
Je n'ai pu le croire
Il a fallu tant souffrir pour savoir;
Que de loin une fille m'attendait
Qu'une fille pouvait tout remédier
Assembler le puzzle de ma vie où tout s'égrenait
Et que d'elle , le bonheur imageait
C'est un monde nouveau qu'elle m'a offert
Merci Youmna , de me rappeler que je suis à plaire
Au bord de la mer
Regrettant mes années si amères
Je vois dans les horizons une lumière
Je rassemble tout
J'embarque , observer de près
Voir ces étincelles et leur bout
Sous les plaintes , de loin , une chose souriait
Je ne pus m'empêcher de pleurer
Versant des larmes pour avoir tant donné
Pour avoir offert ma générosité
A des hommes incapables d'aimer
Pour avoir cru en la gloire d'un monde
Où rien n'y est , et n'est que nauséabonde
Mon voyage fut long
Malgré le chagrin
Un goût de vivre montait d'un échelon
C'était du bonheur son échantillon
J'aperçus un si beau paysage
C'était le reflet de son beau visage
Un vent doux caressant , allait et venait
C'était ses petites jolies et tendres mains
Deux lumières comme le soleil et la lune
C'était ses beaux petits yeux
Cette clarté belle et diurne
Je n'ai pu le croire
Il a fallu tant souffrir pour savoir;
Que de loin une fille m'attendait
Qu'une fille pouvait tout remédier
Assembler le puzzle de ma vie où tout s'égrenait
Et que d'elle , le bonheur imageait
C'est un monde nouveau qu'elle m'a offert
Merci Youmna , de me rappeler que je suis à plaire
un monde dans un reve
16 janvier 2009 - 02:59
j' ai vu dans mon rêve une belle image
le monde était uni et courait au rattrapage
tout le monde main dans la main droit vers ce rivage
là où le bonheur réside où le bien demeure sans sondage
le rivage du merveille celui de l' éclairage
là où n' existe qu' un seul langage
qu' une seule race, celle du mélange
j' ai vu dans mon rêve une ville comme paris
là où blanc et noir ensemble sourient
comme le 12 juillet en 98 Ã Saint-Denis
j' ai vu dans mon rêve la vie dans sa perfection
celle dont on obtient tout, suffit- il d' une imagination
une vie de jouissance et de fierté
une vie émouvante, celle de la charité
j' ai vu dans mon rêve un monde uni
avec toutes les âmes ensemble assorties
affrontant toutes les étapes de la vie
pour le meilleur et pour le pire restent à jamais unies.
le monde était uni et courait au rattrapage
tout le monde main dans la main droit vers ce rivage
là où le bonheur réside où le bien demeure sans sondage
le rivage du merveille celui de l' éclairage
là où n' existe qu' un seul langage
qu' une seule race, celle du mélange
j' ai vu dans mon rêve une ville comme paris
là où blanc et noir ensemble sourient
comme le 12 juillet en 98 Ã Saint-Denis
j' ai vu dans mon rêve la vie dans sa perfection
celle dont on obtient tout, suffit- il d' une imagination
une vie de jouissance et de fierté
une vie émouvante, celle de la charité
j' ai vu dans mon rêve un monde uni
avec toutes les âmes ensemble assorties
affrontant toutes les étapes de la vie
pour le meilleur et pour le pire restent à jamais unies.
